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Antoine-Jean Gros, Portrait de François Gérard, âgé de 20 ans (1790), New York, Metropolitan Museum of Art.
François Gérard, né à Rome le 4 mai 1770 et mort à Paris le 11 janvier 1837, est un peintre d'histoire, portraitiste et illustrateur néo-classique français.
Élève de Jacques-Louis David, il fut l'un des principaux peintres du premier Empire et de la Restauration. Peintre de cour sous Napoléon Ier, puis Premier peintre des rois Louis XVIII et Charles X, Gérard bénéficia d'une grande renommée, non seulement française, mais aussi européenne. Surnommé « le peintre des rois, le roi des peintres », il fut en effet le portraitiste de toutes les familles souveraines européennes. Son salon, un des plus réputés de son temps, accueillit les plus grandes personnalités.
François Gérard naît à Rome, en 1770 . Fils de Jean Simon, baron Gérard, intendant du cardinal François-Joachim de Pierre de Bernis, et de l'Italienne Cléria Mattei, il passe les dix premières années de sa vie dans « la ville éternelle ». Il y montre très vite de réelles dispositions pour le dessin.
En 1782, son père, revenu à Paris avec sa femme et ses trois fils, passe au service de Louis Auguste Le Tonnelier de Breteuil, ministre de la maison du roi, qui fait admettre le jeune François à la Pension du Roi : établissement pour jeunes artistes talentueux. Deux ans plus tard il devient élève d'Augustin Pajou, sculpteur alors très vogue, puis de Nicolas Guy Brenet, artiste peintre. Fasciné par l'art développé par Jacques-Louis David, le jeune François Gérard rejoint son atelier à partir de 1786, où il a pour camarades Anne-Louis Girodet, Antoine-Jean Gros ou encore François-Xavier Fabre. En 1789, il obtient le second prix de Rome, derrière Anne-Louis Girodet, son ami de jeunesse. Il se représente au concours l'année suivante, mais la mort de son père le contraint à abandonner l'épreuve.
Sa mère désirant retourner vivre à Rome, Gérard part avec toute sa famille dont il a désormais la charge, dans le courant de l'été 1790. Le séjour romain n'est pas long, bientôt la famille Gérard est contrainte de retourner à Paris, pour éviter l'inscription sur la liste des émigrés, et ainsi préserver leur modeste patrimoine.
Sur place, les principaux commanditaires des œuvres artistiques sont mis à mal par la révolution ; les peintres se retrouvent bientôt sans commandes. C'est le cas de Gérard. Il perd sa mère en 1793 et doit subvenir aux besoins de ses deux frères et de sa jeune tante, Marguerite Mattei, qu'il a ramenée d'Italie. « Par commodité et afin d'éviter l'éclatement familial, il épouse cette dernière en 1795. »
Grâce à la protection de son maître David, Gérard obtient un logement et un atelier au Louvre, plus la commande d'une série d'illustrations (La Fontaine, Virgile) pour l'éditeur Didot. Pour éviter la conscription militaire, il obtient, toujours par l'intermédiaire de David[réf. souhaitée], un poste de juré au Tribunal révolutionnaire, où il rejoint son collègue le peintre paysagiste Claude-Louis Châtelet Il y siégera peu, prétextant une maladie. Bien que n'ayant que peu participé aux évènements révolutionnaires, ce passé lui sera notamment reproché au moment de la Restauration, et Gérard devra se défendre des attaques de ses détracteurs, en prouvant qu'il ne faisait pas partie des jurés lors du procès de Marie-Antoinette.
Réunion d'artistes dans l'atelier d'Isabey (1798) par Boilly, où l'on distingue F. Gérard, assis face au chevalet, examinant de près un tableau aux côtés d'Isabey, debout.
Au sortir de la Révolution, le succès vient rapidement. Au Salon de 1795, Gérard expose un Bélisaire, se plaçant ainsi dans la continuité de son maître David. Mais c'est surtout avec son œuvre Psyché et l'Amour, exposée au Salon de 1798 que Gérard atteint un début de célébrité. Dès lors, les nombreux portraits de la bonne société qu'il réalise lui assurent une réputation plus qu'établie. C'est ainsi à partir des environs de 1800 que l'artiste commence à réunir autour de lui un salon littéraire où la bonne société parisienne aime à venir discuter et jouer. Grâce à l'intervention de Chaptal, François Gérard reçoit un logement au Collège des Quatre Nations, futur Institut de France, alors que les artistes sont priés par le premier consul Napoléon Bonaparte de quitter le Louvre pour aménager le musée Napoléon. En 1801, Girodet et Gérard reçoivent la commande de deux tableaux illustrant les légendes du barde Ossian pour le salon des Bonaparte à la Malmaison. Le peintre bénéficie alors de la protection de la famille Bonaparte et devient la même année le « Premier peintre » de Joséphine de Beauharnais, puis se voit décerner la Légion d'honneur en 1803, soit peu après sa création. L'élève de Jacques-Louis David est alors le peintre de la future cour impériale française et l'un des peintres les plus recherchés. Son succès dépasse désormais les frontières et ce sont bientôt les grandes familles régnantes d'Europe qui voudront être immortalisées sous les pinceaux de Gérard
François Gérard se voit attribuer la commande de la représentation de la Bataille d'Austerlitz par l'administration impériale, pour le Salon de 1808. L'œuvre monumentale n'est pas achevée à temps et ne sera exposée que pour le Salon de 1810. L'ouvrage rencontre alors un accueil chaleureux. Par le biais de cette grande peinture d'histoire, Gérard entend bien confronter son talent à celui de son confrère Antoine-Jean Gros, peintre attitré des scènes de batailles napoléoniennes. Longtemps attaché au Louvre, le 5 avril 1811 il est nommé professeur de l'École des beaux-arts de Paris en remplacement de Jean Simon Berthélemy et sera remplacé par Michel Martin Drolling en 1837.
L'année suivante (7 mars 1812) il est élu à l'Institut au fauteuil no 8, succédant ainsi au peintre d'histoire Jean Simon Berthélemy. Il est alors le premier élève de David à y faire son entrée. Girodet et Gros seront quant à eux élus en 1816. En tant que peintre de la cour impériale, Gérard peindra le portrait de l'impératrice Marie-Louise après son mariage avec Napoléon, puis celui de leur unique enfant, le roi de Rome.
Sous la Restauration il est nommé Premier peintre du roi en 1817, fonction qu'il exercera sous les règnes de Louis XVIII, et de Charles X. La reconnaissance royale lui vaudra d'être créé baron en 1819. Professeur à l'École des beaux-arts, Gérard n'a formé que peu d'élèves, en comparaison avec son confrère Antoine-Jean Gros. Pour autant, il soutient la nouvelle génération, et notamment les débuts d'Eugène Delacroix. Son œuvre, son salon, ses relations, en feront l'un des personnages les plus influents des milieux intellectuels et artistiques de l'époque.
Vers 1835, sa santé chancelante se détériore rapidement ; fragilisé, il s'éteint à Paris, d'une maladie qui l'emporte en quelques jours, au début de 1837, à l'âge de 66 ans. Sa sépulture se trouve au cimetière du Montparnasse à Paris
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François Simon, dit Michel Simon, est un acteur suisse né le 9 avril 1895 à Genève (canton de Genève) et mort le 30 mai 1975 à Bry-sur-Marne (Val-de-Marne). Michel Simon naît à Genève en 1895 au domicile de ses parents au 27 Grand-Rue (une plaque commémorative signale la maison), la même année que le cinématographe (ce qui lui faisait dire qu'« un malheur n'arrive jamais seul »), d'un père charcutier de confession catholique et d'une mère femme au foyer de confession protestante Il se détourne rapidement de ses études : celles au Collège de Genève s'avèrent médiocres, voire catastrophiques, se cantonnant à l'avant-dernière place de sa classe. Il quitte alors à 16 ans sa famille pour s'installer à Paris, où il réside à l'hôtel Renaissance, rue Saint-Martin, puis à Montmartre. Il exerce divers petits métiers, donnant des leçons de boxe ou vendant des briquets de contrebande à la sauvette. Il est aussi réputé pour dévorer tous les livres qui lui tombent sous la main avec une prédilection pour les écrits de Georges Courteline.
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Gilbert Bécaud, né François Silly le 24 octobre 1927 à Toulon et mort le 18 décembre 2001 à Boulogne-Billancourt, est un chanteur, compositeur et pianiste français.
Au cours de sa carrière, il se produit trente et une fois sur la scène de l'Olympia, où il gagne son surnom de « Monsieur 100 000 volts » en raison de son sens du swing, du fait des passions qu'il soulevait dans son sillage et de ses fans qui, souvent, à ses débuts, cassaient par enthousiasme les fauteuils. Il laisse l'image d'un homme « électrique », toujours en mouvement. Sa cravate à pois, ses quelque quatre cents chansons et sa main sur l'oreille (pour être sûr de chanter juste) sont d'autres images spécifiques qui ont marqué les esprits.
Mes mains, Nathalie, Le Jour où la pluie viendra et Et maintenant s'inscrivent parmi les grandes chansons de l'artiste.
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De sa démission du gouvernement au haut-commissariat au Plan, comment François Bayrou est revenu sur le devant de la scène
L'ancien candidat à l'Elysée, fidèle soutien du président Macron, sera chargé de réfléchir aux grandes priorités pour le pays dans les décennies à venir.
Clément Parrot France Télévisions
Mis à jour le 03/09/2020 | 06:53 publié le 03/09/2020 | 06:53
La nouvelle est désormais officielle. François Bayrou effectue son retour à l'avant-scène de la politique nationale, jeudi 3 septembre, en prenant la tête d'un haut-commissariat au Plan, un outil de prospective ressuscité par le gouvernement après avoir été en vigueur de 1946 à 2006. Le président du MoDem, qui avait été contraint de quitter le ministère de la Justice en 2017, effectue ainsi un retour inespéré au plus près du pouvoir. Réélu en juin dernier, le maire de Pau, qui souhaite rester à la tête de sa ville et exercer sa nouvelle fonction à titre bénévole, va désormais s'attacher à définir les priorités et les grandes évolutions du pays pour les décennies à venir. Franceinfo revient sur le "come-back" de l'ancien candidat à la présidentielle, figure historique du mouvement centriste, qui s'est imposé comme un incontournable dans le premier cercle des fidèles d'Emmanuel Macron.
Il s'est fait discret en raison de ses ennuis judiciaires
Au début du quinquennat, François Bayrou, 69 ans, a été contraint de quitter le gouvernement après 34 jours comme garde des Sceaux, en raison de l'ouverture d'une enquête préliminaire sur les soupçons d'emplois fictifs concernant des assistants de députés européens du MoDem. Dans cette affaire, les magistrats cherchent à déterminer si des collaborateurs parlementaires ont été rémunérés par les fonds du Parlement européen alors qu'ils étaient en réalité affectés à d'autres missions pour le MoDem. En décembre 2019, François Bayrou a même été mis en examen, comme une douzaine de responsables du mouvement, pour "complicité de détournement de fonds publics". S'il reste présumé innocent, cette mise en examen semblait empêcher le retour au premier plan du leader centriste, longtemps présenté comme un premier-ministrable. Mais François Bayrou a su attendre. Il a conservé son influence auprès de l'exécutif et sa récente réélection à la mairie de Pau avec plus de 55% des suffrages montre qu'il n'a pas perdu la confiance de ses électeurs. "La vérité, c'est qu'il n'a jamais quitté le jeu politique, ni le premier cercle macroniste", explique au Parisien* un soutien du président. "Qui imagine le haut-commissaire au Plan mis en examen ?" se moque désormais dans Le Monde* Julien Bayou, secrétaire national d'EELV. "Il y a toujours un risque" de voir le dossier judiciaire perturber le maire de Pau, confie à franceinfo le député MoDem Erwan Balanant. "Mais il ne sera pas dans l'exécutif ou au gouvernement, rappelle le parlementaire. Et puis, ce serait bien que la justice avance un peu plus vite pour que l'on purge ce sujet."
Il est devenu un partenaire incontournable de la majorité
Pour François Bayrou, il était hors de question de rester à l'écart dans la dernière ligne droite du quinquennat. Le patron du MoDem sait que son parti est devenu un allié incontournable de La République en marche, qui a perdu récemment la majorité absolue à l'Assemblée.
Les 46 députés du MoDem sont désormais un peu plus qu'une force d'appoint de la majorité. "Peut-être qu'on pèse un peu plus, oui. Mais on a toujours eu une importance, un rôle pivot", estime Erwan Balanant, député du Finistère. Le parti centriste est parvenu à garder ses positions dans le nouveau gouvernement de Jean Castex, tout en conservant ses trois ministres : Jacqueline Gourault, Geneviève Darrieussecq et Marc Fesneau. Comme le rappelle Le Figaro*, François Bayrou avait menacé l'exécutif de ne pas participer au gouvernement si ses proches se voyaient écartés.
Il a toujours gardé l'oreille du président de la République
Depuis le début du quinquennat, Emmanuel Macron consulte régulièrement François Bayrou à chaque étape importante, que ce soit lors des remaniements ou pour décider, par exemple, du maintien ou du report des élections municipales. Le président de la République n'a jamais oublié l'aide décisive apportée par François Bayrou lors de la présidentielle et il a toujours exprimé un soutien indéfectible à son ancien ministre, y compris après sa mise en examen. Le chef de l'Etat avait alors fait savoir par son entourage qu'il nourrissait "un sentiment d'amitié pour François Bayrou" et qu'il continuerait d'échanger "régulièrement" avec lui. Dans Le Parisien, un proche du chef de l'Etat évoque même un "rôle occulte de conseiller permanent à l'Elysée". Emmanuel Macron s'est d'ailleurs réjoui vendredi dernier de l'arrivée de ce fidèle à la tête du haut-commissariat au Plan. "C'est tout sauf un lot de consolation, c'est une responsabilité importante" et "j'écrirai moi-même sa lettre de mission", a expliqué le président, en saluant "l'expérience" de l'ancien ministre, "grand responsable politique" et "européen convaincu". Finalement, le haut-commissariat au Plan ne sera pas rattaché à l'Elysée, comme le voulait François Bayrou, mais aux services du Premier ministre. Un conseiller ministériel évoque dans Le Monde*"une guerre Castex-Bayrou", notamment parce que le président du MoDem réclamait que les différentes agences chargées de la prospective soient sous son autorité. Mais selon Erwan Balanant, il n'y a aucune "hostilité". "François Bayrou aurait sans doute aimé être rattaché à l'Elysée afin de montrer les liens forts qui l'unissent à Emmanuel Macron, mais c'est finalement assez logique qu'il soit rattaché à Matignon, estime le député MoDem. Personne n'est dupe sur le fait que cela n'empêchera pas les conversations entre François Bayrou et Emmanuel Macron de se poursuivre."
Il s'est taillé un costume sur mesure
L'idée de remettre au goût du jour ce haut-commissariat au Plan est revenue au printemps, dans le contexte de la pandémie mondiale de Covid-19. Le manque de masques ou de médicaments, par exemple, a ravivé l'idée de souveraineté économique, rappelle Le Monde. En annonçant la nécessité pour l'Etat dedisposer d'une "instance qui réfléchit à plus long terme et avec moins de contraintes", Emmanuel Macron a aussitôt désigné son candidat pour cette mission : "[François Bayrou] y a beaucoup réfléchi, il a d'ailleurs écrit lui-même sur ce sujet (...) c'est une conviction qu'il porte."
Il est "la bonne personne pour analyser les faiblesses du pays et le projeter dans l'avenir", confirme à l'AFP le chef de file du groupe MoDem à l'Assemblée, Patrick Mignola, selon qui "la planification" est l'un des combats du leader centriste. "Cette nomination, c'est une façon d'utiliser ses compétences, sa vision en dehors du gouvernement" où il est "empêché", en raison de sa mise en examen.
C'est une façon de l'impliquer dans la marche du pays et, parce qu'il a une surface politique, ses observations seront plus entendues.Patrick Mignola, président du groupe MoDem à l'Assembléeà l'AFP
Dans son livre-programme publié avant l'élection présidentielle de 2012, François Bayrou plaidait effectivement déjà pour la nomination d'un haut-commissaire au Plan. "C'est un sujet sur lequel il travaille depuis longtemps, cette idée de se fixer un cap sur le long terme. Je me souviens que lors de la campagne présidentielle de 2012, il proposait un 'ministre des générations futures'", ajoute Erwan Balanant. Cela va permettre un portage politique de ces sujets. France Stratégie [l'ancienne instance de prospective qui va être dissoute dans le nouveau haut-commissariat] travaillait très bien, mais il y avait un manque d'incarnation."
Il y a quelques jours, François Bayrou s'est, en tout cas, dit "prêt" pour le poste de haut-commissaire, dans une interview accordée à La République des Pyrénées où il esquisse sa feuille de route. "Ce qui est vital doit être protégé. Encore faut-il déterminer ce qui est vital et imposer aux décideurs et à l'opinion publique de se saisir des problèmes qui méritent une réponse à 10, 20 ou 30 ans et non pour 10, 20 ou 30 jours."
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Le 21 mai 1981, le septennat du nouveau président s'ouvre par une cérémonie au Panthéon. Puis il nomme son premier gouvernement dirigé par Pierre Mauroy.
Le lendemain, il dissout l'Assemblée nationale. Les élections qui suivent, les 14 et 21 juin 1981, lui donnent la majorité absolue au Parlement. Un deuxième gouvernement de Pierre Mauroy fait entrer quatre ministres communistes. De nombreuses réformes sociales sont alors adoptées.
Sur le plan économique, le septennat est marqué dans un premier temps par une vague de nationalisations (loi du 13 février 1982) et par une politique de maîtrise de l'inflation, infléchie vers l'austérité à partir du tournant de la rigueur, passage à une culture de gouvernement.
Le septennat s'achève en 1988 sous la première cohabitation de la Ve République.
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