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Analogique


Le terme analogique désigne les phénomènes, appareils électroniques, composants électroniques et instruments de mesure qui représentent une information par la variation d'une grandeur physique (ex. une tension électrique). Ce terme provient du fait que la mesure d'une valeur naturelle (ou d'un élément de signal électrique ou électronique) varie de manière analogue à la source.
Ainsi par exemple, un thermomètre indique la température à l'aide d'une hauteur de mercure ou d'alcool coloré sur une échelle graduée. Ceci est un système analogique.
Une grandeur est dite analogique si sa mesure donne un nombre réel variant de façon continue. Il existe une infinité de valeurs pour une grandeur analogique.
Le mode analogique se distingue du mode numérique auquel on l'oppose par convention. Une grandeur physique, telle un signal électrique, une position dans l'espace, une certaine hauteur d'un liquide, etc., sont des valeurs analogiques. Ces valeurs peuvent toutefois être représentées par des nombres (par quantification et échantillonnage).
La précision et la rapidité (temps de réponse) d'un signal analogique sont adaptées au système ou dispositif qui le traite. Pour un signal numérique, la précision est donnée par le système de codage lequel permet de convertir la source analogique au mode numérique ou au support sur lequel sont enregistrées les données numériques.


Le nom provient de l'emploi d'électronique analogique (circuits analogiques) comme calculateur : il existe une analogie entre le système mécanique (premier type de calculateur apparu) et le système électronique (deuxième type apparu). L'électronique analogique a été exploitée entre les années 1950 et 1970 pour résoudre les équations différentielles rencontrées entre autres dans des problèmes de mécanique. Cette technique tend à être remplacée par le mode numérique (troisième mode apparu). Le principal motif de l'abandon progressif de l'analogique au profit du numérique à partir des années 1980 est d'ordre économique et industriel. Avec le numérique est apparue la "compression de données" et l'optimisation des formats audio, image et vidéo. Ainsi, leur transmission, leur enregistrement, leur utilisation et leur stockage a pu être proposé au public dans des formules industrialisée en grande masse, donc bien moins coûteuses à produire.

Avantages et inconvénients
Pour mesurer, évaluer ou capter un élément naturel (son, image, phénomène...), il est obligatoire de disposer d'une interface analogique (pour éventuellement ensuite numériser cette source). Ainsi, un microphone, le dispositif optique d'une caméra, d'un microscope, une unité de radiologie... sont autant de dispositifs analogiques.

Comparaison numérique/analogique
Un système analogique convertit les informations en une autre valeur qui varie de façon analogue à la source, alors qu'un système numérique convertit les informations en une valeur comprise dans une liste prédéfinie de valeurs (et donc limitée), et échantillonnée dans le temps. Un système numérique possède donc une limite de résolution lors de la transcription d'un phénomène physique.
Dans un système analogique, plus une information est retransmise, plus les erreurs de transmission augmentent. Dans un système numérique, l'information peut garder le même niveau de précision. En effet contrairement à son homologue analogique, un système de transmission numérique peut garantir la fiabilité des informations transmises par détection d'erreur (exemple le CRC).
Dans le domaine artistique, les controverses existent sur le choix entre des supports numériques ou analogiques. Par exemple certains mélomanes ont critiqué l'arrivée du son numérique (notamment compressé) et le CD à partir de 1982. Ils ont souligné la qualité et les spécificités du disque vinyle (analogique) par rapport au Compact Disc audio.
Toutefois, tous les appareils photo, vidéo et audio analogiques engendraient certains phénomènes devenus inconnus pour leur version numérique : distorsion, bruit de fond, pleurage, scintillement, etc... Ce qui ne signifie pas que le mode numérique n'engendre pas pour sa part, certains problèmes qualitatifs également. La musique ou le cinéma utilisent toujours des procédés d'amplification ou de stockage analogiques (Amplificateur audio, Pellicule photographique).
Systèmes analogiques

Instrumentation
Un ampèremètre analogique, qui permet de mesurer l'intensité d'un courant électriqueL'intensité électrique en sortie d'un microphone analogique varie en fonction de l'intensité sonore qu'il capte : nulle ou très faible lors d'un silence et très élevée lors d'une explosion. Sur l'appareil de mesure, on constate une variation d'intensité analogue à celle de la source.
Une montre analogique utilise la rotation mécanique d'aiguilles pour indiquer l'heure, les minutes, les secondes; par opposition, une montre numérique affiche directement des nombres temporels. Toutefois, la "numérisation" concerne le c½ur du système. Au lieu de ressorts et d'engrenages, une base de temps électronique (exemple à quartz) et des circuits électroniques alimentés par une pile génèrent le découpage temporel.
Un bargraphe est une forme de visualisation analogique d'une donnée numérique.

Arts
Pour le cinéma, le montage analogique est celui où le monteur manipule directement la copie de travail (pellicule) ; dans le montage numérique, il n'y a plus de pellicule car toutes les images sont numérisées et le montage s'effectue sur un ordinateur à partir de ces fichiers vidéos et audio.
Électronique analogique.
L'électronique analogique est un système ou dispositif électronique qui met en jeu des courants et tensions électriques variant dans des limites fixées, mais sans paliers ni niveaux prédéfinis, contrairement à l'électronique numérique laquelle préfigure une série de « modèles ». La grandeur analogique étudiée peut prendre une infinité de valeurs différentes et constituer un flux continu et variable, alors qu'une grandeur numérique ne peut que prendre des valeurs discrètes et échantillonnées dans le temps.




Tags : Analogique, Dico musical, Musique, Musique A, 2
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#Posté le mercredi 18 avril 2012 10:05

Modifié le lundi 03 décembre 2012 20:02

BALADEUR NUMERIQUE MP3


Un baladeur numérique est un appareil portable de petite taille permettant de restituer des sons, des vidéos et des images stockés sous forme numérique. L'iPod d'Apple est un des baladeurs numériques les plus connus.
Les baladeurs audio numériques peuvent stocker et restituer uniquement des sons et de la musique. Ils sont communément appelés baladeurs MP3 ou même simplement MP3, en référence au premier format de fichiers audionumériques connu du grand public, le MP3. Plus rarement, ils peuvent aussi être appelés Jukebox MP3. Le MP3 est le format le plus répandu, lu par tous les baladeurs, mais il est loin d'être le plus efficace pour compresser les fichiers tout en gardant une bonne qualité d'écoute. Certains baladeurs permettent de lire les fichiers à des formats plus optimisés : le format AAC est recommandé pour l'iPod, d'autres baladeurs proposant la lecture du WMA et/ou des fichiers OGG.
Outre la lecture de fichiers sonores, les baladeurs audio numériques peuvent servir à écouter des émissions de radio (par exemple sous forme de podcasts), des livres audio et toute sorte de contenu audio numérisé, comme des exposés scientifiques ou des cours. Plusieurs contenus audio peuvent être téléchargés gratuitement sur Internet.
Les baladeurs numériques plus évolués peuvent reproduire, en plus de l'audio, d'autres types de contenus numérisés, comme les vidéos et les photos. On les désigne généralement sous le nom de baladeurs multimédias (ou PMP, Portable Multimedia Player en anglais) ou parfois encore de baladeurs MP4.
Certains baladeurs numériques disposent de fonctions annexes comme l'enregistrement audio (pour une utilisation comme dictaphone par exemple) ou le tuner FM (pour écouter la radio).
Les baladeurs munis de mémoire flash ou d'un disque dur peuvent se comporter comme des clés USB et servir de mémoire de masse (voir les autres types de mémoires de masse dans le tableau ci-contre). Il est alors possible d'utiliser un baladeur numérique comme unité de sauvegarde et pour transporter des fichiers d'un ordinateur à un autre.
Le baladeur Creative muvo avec 512 Mo de mémoire flash et radio FMLes principaux composants d'un baladeur sont :
Une unité de stockage destinée à sauvegarder les fichiers. Elle est constituée de composants de mémoire flash, d'un disque dur ou parfois d'un CD-ROM. Les baladeurs à mémoire flash sont plus compacts que les baladeurs à disque dur et ont généralement une plus faible capacité de stockage (habituellement entre 128 Mo et 32 Go, soit environ 30 à 8000 chansons). Les lecteurs à disque dur comptent entre 4 et 320 Go de mémoire. Ils sont généralement moins cher que ceux à mémoire flash à capacité égale mais ils consomment plus d'énergie, ce qui réduit l'autonomie de l'appareil, et leur temps d'accès aux données est plus long.
Un processeur spécialisé dans la conversion numérique-analogique associé à un amplificateur audio.
Un compartiment pour les piles électriques ou une batterie pour permettre un fonctionnement autonome.
Une interface de communication avec un ordinateur (connecteur USB ou FireWire, liaison Bluetooth ou Wi-Fi, etc.).
Des boutons de commande et généralement un écran de contrôle. Sur les baladeurs multimédia, l'écran est plus grand pour permettre la visualisation des vidéos et des images.
Une prise audio pour des écouteurs.
Pour certains, un petit microphone pour enregistrer des sons.
Le stockage musical numérique grand public apparaît en 1982, quand Philips et Sony commercialisent le disque compact (CD) et se partagent les royalties. Mais le mariage des deux géants est de courte durée, car au milieu des années 90, chacun veut imposer un nouveau support, qui est cette fois-ci enregistrable. Après l'échec de la cassette DAT de Sony, Philips tente de lancer le DCC, une autre cassette à bande avec son numérique (les cassettes traditionnelles sont analogiques). Dans le même temps, Sony essaye d'imposer un nouveau support : le MiniDisc. Ce simple petit disque magnéto-optique, enfermé dans un boîtier de protection, est encore commercialisé aujourd'hui alors que Philips a arrêté la commercialisation du DCC depuis quelques années.
Pour faire tenir autant de musique sur un MiniDisc que sur un CD classique, Sony a dû compresser le son, c'est-à-dire éliminer tout ce que l'oreille humaine ne peut entendre. Au final, on obtient un résultat très proche de la musique originale. Vendus chers, les lecteurs MiniDisc restent longtemps réservés à une « élite ». En outre, les albums à ce format disparaissent très vite des étalages. Mais le coup le plus dur contre ce support de Sony est l'arrivée du MP3. Ce format audio issu de l'informatique, qui, comme le format ATRAC du MiniDisc, compresse le son, permet à des millions d'internautes d'échanger de la musique par Internet, grâce à la taille des fichiers très réduite.
Le premier baladeur à tirer parti de la technologie MP3 est commercialisé sous le nom de Mpman en Asie et sous la marque Eiger Labs aux États-Unis, en 1998. Cependant, la même année, le constructeur de matériel informatique Diamond marque les esprits avec la sortie de son Rio PMP 300. Ce modèle comporte seulement 32 Mo de mémoire, soit environ 30 minutes de musique. Toutefois, un connecteur permet l'ajout de 16 Mo (1/4 d'heure de musique) au moyen d'une carte flash de même type que celles des appareils photo numériques. Concurrencé par le MiniDisc, et bien que proposé à un prix inférieur, de l'ordre de 150 à 230 ¤ (1000 à 1500 FF à l'époque), il ne réussit pas à percer auprès du grand public. Très vite, de multiples marques copient ce concept et lancent d'autres lecteurs MP3 à mémoire flash. Le principal frein à leur succès est le coût des cartes mémoire, parfois aussi élevé que celui des baladeurs. Il existe cependant encore de nombreux modèles de lecteurs de ce type, pouvant embarquer plusieurs gigaoctets de musique.
Baladeur à disque dur ArchosEn 1999, une société californienne, Remote Solutions, annonce, dans l'indifférence générale, la sortie du premier baladeur à disque dur. Elle est très vite concurrencée par deux autres sociétés : Creative et Archos. Les juke-box de Creative ont des dimensions comparables aux lecteurs CD portables tandis que les Archos se rapprochent du gabarit des lecteurs à cassette. Ces lecteurs MP3, précurseurs, connaissent leur petit succès, essentiellement auprès de la communauté informatique. Malgré les tentatives de Thomson (RCA, aux USA) et de Philips, il faut, pour populariser le concept du baladeur à disque dur, attendre la venue d'un autre acteur de poids : Apple. La marque américaine lance l'iPod en 2001. Son design, sa simplicité et la notoriété de son fabricant ont beaucoup aidé au succès de ce baladeur ultra plat. Les premiers modèles embarquent 5 et 10 Go de musique, soit 83 à 170 heures !
Parallèlement, le lecteur CD portable connaît une de ses plus importantes évolutions, avec l'apparition de baladeurs pouvant décoder les CD gravés (CD-R et CD-RW) et remplis de fichiers MP3. Philips est l'une des toutes premières grandes marques à sortir un baladeur CD-MP3, mais des marques asiatiques inconnues du grand public, comme NAPA, sont les premières à lancer leurs propres modèles. Les lecteurs de CD étant encombrants, certaines marques essayent aussi d'imposer des lecteurs-graveurs de mini-CD, de diamètre deux fois inférieur à celui d'un CD classique.
D'un autre côté, l'industrie informatique cherche désespérément à remplacer la bonne vieille disquette de 1,44 Mo. Des sociétés comme Syquest ou Iomega connaissent un court succès, auprès des professionnels, avant d'abandonner, le grand public refusant de payer aussi cher pour des disquettes de 100 Mo ou plus. La clef USB met tout le monde d'accord. Pratique, facile, universelle, elle permet de sauvegarder et d'échanger plusieurs dizaines, centaines voire milliers de Mo de données... et donc plusieurs dizaines/centaines de minutes de musique ! Très vite les constructeurs font évoluer la clef USB en y ajoutant une prise casque et des touches de navigation... pour en faire un baladeur MP3 ultra-compact. Les clefs USB connaissent diverses déclinaisons, certaines n'intégrant pas la prise USB et nécessitant un câble pour les relier à l'ordinateur. Apple investit le marché avec le Shuffle, un baladeur sans écran, dont la version actuelle intègre un clip pour l'attacher aux vêtements.
Dans cette période, le téléphone mobile est doté d'une qualité de son et de suffisamment de mémoire pour devenir un nouveau type de baladeur. Son utilisateur, accédant à l'Internet via le même équipement, peut y charger en tout lieu un vaste choix d'écoute.
Si tous les baladeurs servent à écouter de la musique numérisée, et éventuellement à restituer des images ou des vidéos, les systèmes de protection et de gestion des droits (ou DRM) compliquent leur usage.
Des mesures techniques empêchent en effet les utilisateurs d'iPod de profiter de la musique protégée achetée sur d'autres services que iTunes Store, et les utilisateurs de baladeurs numériques autres que ceux d'Apple ne peuvent pas se procurer de titres sur iTunes Store.
En outre, le nombre de copies des ½uvres téléchargées est limité

Tags : Baladeur numérique MP3, Dico musical, Musique, Musique B, 2
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#Posté le jeudi 08 décembre 2011 16:47

Modifié le mardi 10 avril 2012 09:36

Ballerine

Une ballerine est une chaussure féminine fermée et décolletée à bouts ronds et souvent plate possédant parfois un talon très mince ou aucun talon.
C'est en 1932 que Jacob Bloch, originaire d'Australie, créé à Londres un atelier de confection de chaussons de danse améliorés, qu'il nomme par la suite "Ballerines" Sa passion pour l'opéra, et son sens de l'observation le conduisent à la confection d'un chausson plus confortable pour les danseurs. Le terme « ballerine », datant aux environs du 16ème siècle, désigne à l'origine une danseuse professionnelle de ballet. C'est pourquoi ce terme désigne une chaussure ressemblant aux chaussons de danse.
Quinze ans plus tard, Rose Repetto décide d'améliorer à nouveau les chaussons de danse, pour son fils Roland Petit. Elle invente pour cela une nouvelle technique de confection consistant à coudre la semelle du chausson à l'envers, qui se développera par la suite. À Paris, la popularité de son fils crée un véritable engouement autour de ces ballerines qui s'étendront plus tard à tous les styles de danse.
Les ballerines se développent de plus en plus et arrivent dans le domaine de la mode où la marque Repetto devient une icône à travers le monde. De nos jours, les ballerines allient le côté utile, à l'agréable et à l'esthétisme: comme par exemple, les ballerines swims en caoutchouc créées en 2007.
Les ballerines sont actuellement populaires auprès des filles et femmes de tout âge. Elles sont également une alternative aux talons.

Tags : Ballerine, Musique, Musique B, Dico musical, 2
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#Posté le mercredi 18 avril 2012 03:45

Ballet de cour.


Genre de spectacle né à la fin du XVIe siècle à la cour de France, le ballet de cour conjugue poésie, musique vocale et instrumentale, chorégraphie et scénographie. Dansé par les membres de la famille royale, les courtisans et quelques danseurs professionnels, le ballet de cour est constitué d'une suite d'entrées au cours desquelles les interprètes sont mis en valeur tour à tour. La dernière entrée, appelée « grand ballet », réunit généralement l'ensemble des danseurs.
L'un des premiers et des plus grandioses est le Ballet comique de la reine (1581), suivi d'une production abondante sous le règne de Louis XIII. Délaissé ensuite jusqu'à la Fronde, il renaît de plus belle et connaît son apogée sous Louis XIV, qui en fait progressivement un outil de propagande politique, avec l'aide de Mazarin, mettant en évidence la puissance de la France et de son monarque. Isaac de Benserade en sera le poète principal.
Lorsque Louis XIV renonce à se produire sur scène en 1670, il porte un coup fatal au ballet de cour, mais permettra la naissance de deux genres nouveaux portés principalement par Lully : l'« opéra-ballet » et la « comédie-ballet »
Liste des principaux ballets donnés à la cour de France
Règne d'Henri III
1573 : Ballet des Polonais
1581 : Ballet comique de la reine (15 octobre, par Balthazar de Beaujoyeulx)
Règne d'Henri IV
1592 : Ballets représentés devant le roi à Tours
1595 : Ballet dansé aux noces de Charles, sire de Créqui
1598 : Ballet des grimasseurs - Ballet des folles - Ballet du sérail
1600 : Ballet des Turcs - Ballet des Juifs
1601 : Ballet des seize dames - Premier ballet de la reine - Ballet des princesses des Isles - Ballet des princes de la Chine
1603 : Ballet des quatre saisons
1604 : Ballet de Monsieur de Vendôme - Ballet de l'inconstance
1605 : Ballet de Monsieur le prince de Condé
1606 : Ballet d'Andromède
1607 : Ballet des tirelains
1608 : Ballet des Bacchantes - Ballet des dieux marins - Ballet des Amazones - Ballet des trois âges - Ballet des Indiens
1609 : Ballet du mariage de Monsieur de Vendôme (9 juillet) - Ballet du maître à danser (musique de Pierre Guédron)
Règne de Louis XIII
1610 : Ballet de Monseigneur le duc de Vendôme (12 janvier, musique de Pierre Guédron) - Ballet de Monsieur le Dauphin (28 février)
1611 : Ballet du roi Louis XIII (musique de Michael Prætorius)
1612 : Ballet de Madame de Puisieux (1er mars) - Ballet du courtisan et des matrones
1613 : Ballet du procureur (28 février)
1614 : Ballet des Argonautes (23 janvier, musique de Pierre Guédron) - Ballet de Don Quichotte (3 février)
1615 : Ballet des hypocondriaques - Ballet des amants captifs
1617 : Ballet de la délivrance de Renaud, premier ballet interprété par Louis XIII (29 janvier 1617) - Ballet de la reine (6 février) - Ballet des vendangeurs - Ballet des princes (musique de Pierre Guédron)
1618 : Le Grand ballet du roi (22 février) - Ballet de la folie
1620 : Ballet des chercheurs de midi à quatorze heures (29 janvier)
1621 : Le Grand ballet de la reine représentant le Soleil (musique d'Antoine Boësset)
1624 : Ballet du monde renversé (musique d'Étienne Moulinié) - Ballet des infatigables (18 février)
1627 : Ballet des quolibets (4 janvier)
1628 : Ballet des andouilles
1632 : Ballet de l'Harmonie (14 décembre) - Ballet des effets de la nature (27 décembre)
1633 : Ballet des cinq sens de la nature (10 février)
1635 : Ballet des Triomphes (18 février) - Ballet de la merlaison (15 mars au château de Chantilly)
1636 : Ballet des improvistes (12 février)
1638 : Ballet des Nations (13 janvier)
1639 : Ballet de la félicité (5 mars, musique d'Antoine Boësset)
1640 : Ballet du triomphe de la beauté (19 février)
1641 : Ballet de la prospérité des Armes de France (7 février, au Palais Cardinal, musique de François de Chancy)
1643 : Ballet de la fontaine de jouvence
Règne de Louis XIV
1648 : Ballet du dérèglement des passions (23 janvier, musique de François de Chancy)
1651 : Ballet de Cassandre - Ballet des fêtes de Bacchus (2 mai, musique de François de Chancy)
1653 : Ballet royal de la nuit (23 février)
1654 : Ballet du temps (3 décembre)
1655 : Ballet des plaisirs (4 février)
1656 : Ballet de Psyché (16 janvier)
1657 : Ballet de l'Amour malade (17 janvier)
1658 : Ballet d'Alcidiane (14 février, musique de Lully et autres)
1659 : Ballet de la raillerie (19 février)
1660 : Grand ballet du Soleil
1661 : Ballet de l'impatience (19 février, musique de Lully et autres) - Ballet des saisons (23 juillet, musique de Lully)
1663 : Ballet des arts (8 janvier, musique de Lully et Lambert)
1664 : Les Amours déguisés (février, musique de Lully) - Les Plaisirs de l'Île enchantée (7 mai, musique de Lully et autres)
1665 : Ballet de la naissance de Vénus (26 janvier, musique de Lully)
1666 : Ballet des Muses (2 décembre au château de Saint-Germain-en-Laye, musique de Lully)
1669 : Ballet de Flore (février aux Tuileries, musique de Lully)
1671 : Ballet des ballets (décembre au château de Saint-Germain-en-Laye, musique de Lully)
.
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#Posté le jeudi 08 mars 2012 21:10

Modifié le mardi 10 avril 2012 09:36

bande magnétique

La bande magnétique (ou ruban magnétique) est un support permettant l'enregistrement d'informations analogiques ou numériques à l'aide d'un magnétophone. On y lit les informations en mesurant la polarisation de particules magnétiques (oxyde de fer) incluse dans un substrat souple. On y écrit en modifiant cette orientation.
Une bande demi-pouce pour magnétophone.Elle a tout d'abord été utilisée pour l'enregistrement du son (premières utilisations en France dans les années 1940-50, dans les studios de la RTF – Radiodiffusion Télévision Française — en remplacement des 78 tours). Il s'agissait ici d'enregistrements analogiques sur des magnétophones à bandes ½ pouce (Ampex, Studer etc.).
Pour faciliter l'utilisation, les bandes ont été placées dans des cassettes. Celle qui a eu le plus grand succès est la musicassette de Philips.
Lors de l'apparition de la numérisation, un nouveau format de cassette a été lancé : la Digital Audio Tape (DAT), où l'information numérique est enregistrée transversalement sur la bande à l'aide d'une tête rotative.
Les premiers enregistreurs vidéo étaient des appareils à vocation professionnelle utilisés par les chaînes de télévision, ils fonctionnaient avec des bandes magnétiques (format à préciser).
Par la suite, les avancées de l'électronique grand public permirent le lancement, par plusieurs fabricants avec des fortunes diverses, de différents types de cassettes vidéo associées avec leur matériel enregistreur/lecteur, à destination des amateurs d'enregistrement vidéo :
La V2000 de Philips, bonne qualité ou longue durée d'enregistrement, mais trop chère car trop complexe.
La Betamax de Sony, la meilleure qualité, un peu chère, mais très prisée des professionnels.
La VHS d'un consortium de fabricants japonais avec comme chef de files JVC, la moins performante mais de qualité suffisante pour les amateurs, la moins chère, a fini par devenir le standard des magnétoscopes de salon.
Pour les caméscopes une version mini du VHS a été développée et a eu un certain succès.
Tous ces systèmes ont pour support une bande magnétique, l'information qui y est stockée est analogique, elle est enregistrée en diagonale sur la bande à l'aide d'une tête rotative.
Il existe d'autres formats utilisant une bande magnétique et stockant la vidéo en numérique : le format Video 8, le mini DV (utilisé sur les caméras DV). Voir Cinéma et vidéo amateurs.
Les bandes magnétiques ont été utilisées comme mémoires de masse dès les débuts de l'informatique. Dès les années 1950 le format des bandes devient rapidement standard : une bande mesurait au maximum 2 400 pieds de long (732 mètres) pour ½ pouce (13 mm) de large ; des bobines plus petites de 200, 300 ou 600 pieds ont aussi été produites. À l'origine, l'enregistrement s'effectuait sur 7 pistes (6 de données plus une pour la parité) à des densités de 556 ou 800 bpi mais avec le développement des ordinateurs avec des jeux de caractères à huit bits (ex. l'EBCDIC d'IBM), l'enregistrement est passé à 9 pistes (8 de données plus une pour la parité) et la densité pouvait être de 800 ((en)NRZI : Non-Return-to-Zero Inverted), 1650 ((en)PE : Phase Encoded) ou 6250 ((en)GCR : Group Coded) bpi.

L'enregistrement est soit linéaire, c'est-à-dire que les pistes sont parallèles à la bande, soit hélicoïdal.
Pistes linéaires Vs. pistes hélicoïdales.Les formats et densités évoluent sans cesse. En 2005, le format Ultrium LTO3 (Linear Tape-Open), par exemple, peut stocker 400 Go sur une cartouche de quelques centimètres de côté (environ 10 × 10 × 2 cm).
Les données ne sont pas stockées de façon contiguë du début à la fin de la bande. Elles sont stockées dans des blocs séparés par des intervalles ((en) gap). Ces intervalles permettent au lecteur de bande de s'arrêter avant de reprendre une lecture ou une écriture : il n'est pas possible d'arrêter le déroulement de la bande puis de le reprendre là où il s'était interrompu. Quand la lecture doit être interrompue, même momentanément (par exemple, lorsque la mémoire tampon est pleine), la bande est rembobinée jusqu'au gap précédent. Parfois, on appelle la taille du bloc « facteur de blocage ». C'est à cause de cette organisation que les dérouleurs de bandes entraînent la bande suivant un mouvement saccadé, avec de longues lectures (vers l'avant), puis un bref arrêt, un court rembobinage, avant de reprendre la lecture.
Format logique d'une bande magnétique.
Il est possible de lire les informations dans les deux sens, et cette faculté a été notamment utilisée dans les algorithmes de tri.
Le mécanisme de protection en écriture. L'anneau est retiré de la rainure à l'arrière de la bande.Comme pour tout support magnétique, il est possible de mettre le support en mode lecture seule. Sur une bande magnétique, ceci est accompli en retirant l'anneau de la rainure située à l'arrière de la bande.
Les premiers mètres de bande sont appelés l'« amorce ». L'amorce est terminée par une étiquette réfléchissante (appelée (en) sticker) collée sur la bande. Un dispositif de détection photoélectrique sur le dérouleur de bandes détecte cette étiquette qui délimite le début de la zone de données et termine l'étape de « chargement » de la bande. Une seconde étiquette est positionnée à la fin de la bande, et marque la fin de la zone de données. Typiquement, quand celle-ci est détectée par le lecteur, il rembobine la bande automatiquement.
Le sticker de début de bande.Ce système connaît plusieurs défauts : si l'étiquette de début est perdue, le lecteur va tout embobiner sur le second moyeu, pour s'arrêter quand l'étiquette de fin sera détectée, indiquant (à tort) qu'il est au début de la bande. Si on commande la lecture de la bande à ce moment-là, le lecteur va enrouler la totalité de la bande sur le second moyeu avant de produire une erreur. Le rembobinage de la bande sur son moyeu initial peut s'avérer une opération délicate. Parfois, seule l'étiquette de fin est perdue, et il faut en recoller une nouvelle et renouveler l'écriture des données, la dernière partie étant tronquée. Également, le sticker est collé le long d'un bord de la bande : il ne faut pas se tromper de bord si l'on doit en coller un nouveau, autrement il ne sera pas détecté.
Une bande ½ pouce grand format.Le bon rapport prix/densité des bandes magnétiques en font toujours un support de choix pour les sauvegardes informatiques. Malgré les progrès très importants réalisés en matière de technologies de stockage sur disques magnétiques ou optiques à la fin du XXe siècle, les bandes magnétiques restent un support privilégié de sauvegarde et d'archivage des données en raison de leur très grande capacité et de leur caractère amovible qui permettent de les délocaliser aisément. Au XXIe siècle, elles sont ainsi utilisées dans les « fermes » de serveurs sur PC qui sous-tendent les grands sites web. Ceux-ci gèrent des volumes de données incomparablement plus importants que les plus grands des ordinateurs centraux d'antan. Les technologies d'archivage sur bande ont suivi cette même approche modulaire : chaque baie peut contenir une dizaine ou une vingtaine de bandes magnétiques et les baies peuvent se regrouper, par exemple par 8 ou 10, pour une capacité totale allant jusqu'à plusieurs dizaines de téraoctets. Les bibliothèques de bandes sont donc le moyen le plus accessible d'assurer la sauvegarde et l'archivage de toutes ces données.
Certains formats de bandes magnétique en cartouche (ou cassette) ont permis leur emploi dans les trois domaines précités. C'est le cas pour les DAT (Digital Audio Tape) utilisées aussi bien dans des magnétophones, les camescopes, ou systèmes de sauvegarde informatique.
La durée de vie des données sur une bande ½ pouce est de l'ordre de 10 à 20 ans.

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#Posté le samedi 31 décembre 2011 16:04

Modifié le lundi 05 mai 2014 17:18

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