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3 articles taggés 1755

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Marie-Antoinette (1755-1793)

Marie-Antoinette (1755-1793)
Reine (02/11/1755 - 16/10/1793)


Epouse de Louis XVI, Marie-Antoinette reste l'une des plus célèbres reines de France. Par son comportement léger et irréfléchi, par son indifférence à la souffrance du peuple, elle a suscité la haine et l'a sans cesse alimentée. Contre-révolutionnaire convaincue, elle n'a cédé en rien aux insurgés, avec une force et un courage qu'on ne lui soupçonnait pas. Celle que le peuple appelait "l'Autrichienne" ou "Madame Déficit" semble avoir elle-même tracé son chemin vers l'échafaud.

Marie-Antoinette (1755-1793)

Née de François de Lorraine et de Marie-Thérèse d'Autriche, Marie-Antoinette passe une enfance encadrée par les diverses gouvernantes chargées de son éducation. Sa voie est déjà toute tracée par sa mère, qui envisage de la marier au petit-fils de Louis XV.

Toutefois, son éducation se base plus particulièrement sur l'apparence que sur la connaissance. Elle apprend à se maintenir correctement, à danser et à jouer de la musique mais les lettres, les langues et l'histoire restent longtemps pour elle des domaines inexplorés. Elle grandit ainsi dans une atmosphère moins rigoureuse qu'à Versailles, loin des contraintes et proche de la nature.

Les efforts de Marie-Thérèse d'Autriche finissent par être récompensés : pour renforcer les relations entre la monarchie française et les Habsbourg, le duc de Choiseul entame les négociations du mariage entre Marie-Antoinette et Louis XVI. Dès sa quinzième année, la jeune autrichienne est conduite à Versailles pour épouser le dauphin.

Les festivités qui suivent la cérémonie sont monumentales mais tournent au cauchemar pour le peuple parisien. Alors qu'un feu d'artifice fabuleux et coûteux est lancé au dessus de la capitale, la foule se bouscule et plus de cent personnes périssent étouffées.

Marie-Antoinette (1755-1793)

Délaissée par son époux et peu habituée aux usages de la cour française, Marie-Antoinette se laisse rapidement entraîner dans une vie festive et futile, n'accordant que peu d'attention à l'étiquette et dépensant des fortunes en broutilles. Elle s'entoure d'une coterie de jeunes aristocrates impopulaires, avides et libertins. Les recommandations et conseils maternels n'ont pas beaucoup de poids et Marie-Thérèse noie l'ambassadeur d'Autriche, Mercy d'Argenteau, et sa fille sous une pile de lettres inquiètes.

Lorsque son époux accède au trône, le 10 mai 1774, elle n'envisage pas de changer son comportement, si ce n'est qu'elle s'appuie de plus en plus sur sa nouvelle influence pour chasser certains courtisans ou ministres, selon son humeur. Son impopularité enfle parmi le peuple parisien, d'autant plus que sept ans après son mariage, elle n'a toujours pas donné de descendance au roi. De nombreuses calomnies courent sur ses présupposées infidélités, notamment avec le jeune officier suédois, Axel de Fersen.

Marie-Antoinette (1755-1793)

Ce n'est qu'en 1778 qu'elle met au monde son premier enfant, une fille nommée Marie-Thérèse-Charlotte. Trois ans plus tard, elle donne enfin le jour au dauphin, Louis-Joseph, ce qui n'apaise pas pour autant les hostilités du peuple. De plus, son origine autrichienne, qu'elle revendique sans discrétion, ne joue guère en sa faveur. On lui attribue même de manière péjorative le surnom d'"Autrichienne". En 1785, l'affaire du collier éclate et, malgré son innocence, finit de lui faire perdre tout crédit aux yeux du peuple. Dès lors, on l'accuse de tous les maux du royaume, aussi bien des mauvaises récoltes que des failles budgétaires.

Lorsque la Révolution éclate, Marie-Antoinette, affectée par la mort du dauphin, Louis-Joseph, ne scille pas une seconde et pousse le roi à résister. Mue par son orgueil, la reine s'oppose à tous les compromis qui lui sont présentés par les plus modérés, tels que La Fayette, Mirabeau ou Barnave. L'idée même d'une monarchie constitutionnelle la répugne. Elle préfère se tourner vers ses frères, Joseph II et Léopold II, en leur demandant de l'aide.

Marie-Antoinette (1755-1793)

Digne et inébranlable, Marie-Antoinette affronte la situation avec un courage qui en étonne plus d'un. Depuis les journées du 5 et 6 octobre 1789, la famille royale est retenue aux Tuileries. Toujours dans un état d'esprit combatif, elle convainc son époux de s'enfuir et le 20 juin 1791, le couple et les enfants s'évadent de Paris. Mais ils sont finalement interceptés à Varennes et ramenés vers la capitale dans une atmosphère particulièrement tendue.

Sous la pression, Louis XVI approuve la Constitution le 14 septembre 1791, mais les rumeurs d'une éventuelle guerre conduite par Léopold II, empereur du Saint Empire romain germanique, contre la France ravivent la haine du peuple à l'égard de la reine. Le manifeste de Brunswick, paru en France le 1er août 1792 attise encore les tensions et mène finalement à l'émeute du 10 août. Les Tuileries sont envahies par la foule furieuse et la famille est enfermée à la prison du Temple.

Marie-Antoinette (1755-1793)

Marie-Antoinette espère encore pouvoir échapper à la mort mais les massacres de septembre 1792 prouvent déjà le contraire. La plupart de ses amis sont tués et la tête sanglante de sa chère princesse de Lamballe est agitée devant sa fenêtre. Quant à son époux, il est finalement jugé puis exécuté le 21 janvier 1793.
Peu de temps après, le dauphin, second fils de Marie-Antoinette, né en 1781, lui est enlevé avant d'être monté contre elle. Le mois suivant, elle est arrachée à sa fille et conduite à la Conciergerie. Son procès est imminent. Noyée sous de monstrueuses accusations, elle garde la tête haute, espérant secrètement qu'on l'épargne. Mais tout est décidé d'avance et les plaidoyers de ses avocats sonnent creux.
Le 16 octobre, aux alentours de quatre heures du matin, Marie-Antoinette est condamnée à mort pour trahison. C'est encore avec toute la dignité qui lui reste qu'elle gravit les marches de l'échafaud.

Marie-Antoinette (1755-1793)

Par son destin tragique, par la haine qu'on lui a vouée des années durant, Marie-Antoinette a profondément marqué l'Histoire de France. Accusée d'avoir été "le fléau et la sangsue des Français" et d'être celle qui a poussé le roi à la trahison, Marie-Antoinette, en cristallisant la fureur du peuple, a considérablement terni l'image de la monarchie avant que la Révolution n'éclate.




Tags : Marie-Antoinette, Histoire, 1755, 1793, (7), Reine
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#Posté le mardi 15 mai 2012 12:00

Modifié le samedi 01 décembre 2012 15:33

Jean-Baptiste Sauce

 
 Jean-Baptiste Sauce
 
 
Jean-Baptiste Sauce, né le 4 mars 1755 à Varennes-en-Argonne et mort le 24 octobre 1825 à Saint-Mihiel, est une personnalité de la Révolution française.
Épicier-chandelier, il était, quoique peu instruit, estimé de ses compatriotes qui l'avaient nommé procureur-syndic de sa commune. En l'absence du maire, Robert-François George, député à l'Assemblée nationale, il était le premier magistrat de la commune qui comptait près de 1 300 habitants.

La nuit du 21 juin 1791

Dans ce fief du Pays d'Argonne, possession du prince de Condé, prince du sang, la journée du 21 juin 1791 a été marquée par des mouvements de troupes des hussards de Lauzun qui intriguent les villageois.

Vers 23h00, alors que le soir tombe, des villageois, prévenus par le maître de poste de Sainte Menehould Jean-Baptiste Drouet et son ami Jean-Chrysostome Guillaume, arrêtent de force la berline soupçonnée de transporter la famille royale. C'est en sa qualité de procureur-syndic, pour protéger les voyageurs de la vindicte des patriotes en attendant les ordres officiels que le citoyen Sauce accueille à son domicile la baronne de Korff et sa suite (en fait Louis XVI, sa famille et quelques fidèles) (épisode de la révolution que l'histoire retiendra sous le titre de "fuite à Varennes"). Il traite ses hôtes avec le respect dû à des voyageurs de passage mais face à l'incertitude de leur identité sans leur accorder les égards dus communément aux personnes de sang royal. Jean-Baptiste Sauce vérifie les passeports qui sont en règle (il s'agit de "vrais faux passeports") et s'apprête à laisser repartir la berline mais Jean-Baptiste Drouetl'en empêche.
Le juge Jacques Destez qui a vécu à Versailles, entre et ployant le genou, ému, s'écrie "Ah, Sire!". Le roi révèle alors son identité : " Eh bien oui, je suis le roi, voilà la reine et la famille royale. Je viens vivre parmi vous, dans le sein de mes enfants que je n'abandonne pas." Les présents sont émus, la grand-mère du procureur-syndic baise les mains du petit Dauphin et de Madame Royale avant de se retirer en pleurs dans sa chambre.

Tandis que sonne le tocsin, la foule est plus curieuse qu'aggressive. Les troupes en contact avec la population et abandonné par leurs officiers fraternisent avec les villageois.

Vers minuit et demi, le duc de Choiseul entre dans le village et fait stationner ses hommes devant la maison Sauce. Une certaine anarchie commence à s'installer d'autant plus que les villageois des communes avoisinantes se sont précipités à Varennes et assiègent la maison du procureur-syndic. Le roi souhaite repartir, ce qui lui est accordé mais la route étant dangereuse, il lui est suggéré d'attendre le petit matin ce que le roi accepte.

À trois heures, la reine, à bout de nerfs, demande à faire arrêter le tocsin. On s'empresse de la satisfaire.

Vers 5 heures et demie du matin, deux envoyés de l'assemblée nationale arrivent à Varennes, présentant les larmes aux yeux l'ordre d'arrêter la famille royale et de la reconduire à Paris. Le roi, posant la missive sur le lit où dorment ses enfants, dit à la reine : "Il n'y a plus de roi en France". La reine, d'un geste rageur, reprend le papier s'écriant "Je ne veux pas qu'il souille mes enfants". Un murmure réprobateur s'élève de la foule.

Certains fidèles de la monarchie proposent au roi de l'aider à fuir mais Louis XVI préfère attendre les troupes du marquis de Bouillé qui stationnent à Stenay.

À la reine qui espérait obtenir le soutien de madame Sauce, l'épicière répondit :
"Madame, vous vous souciez des intérêts de votre mari; souffrez que je me soucie des intérêts du mien".

Madame Elisabeth s'entend répondre par un ancien soldat habitant le village : "Je suis citoyen avant d'être sujet".

À 7 heures, les patriotes de Varenne incitent les envoyés de l'assemblée à ramener les fugitifs à Paris. Pour gagner du temps; le roi prend un copieux petit-déjeuner, espérant encore mais en vain l'arrivée des troupes de Bouillé.

À 8h00, ce 22 juin 1791, tandis que les officiers royalistes sont conduits à Verdun pour y être incarcérés, les voyageurs pénètrent dans la berline qui prend la route de Paris

Epilogue

Jean-Baptiste Sauce perd sa charge quand on apprend que Louis XVI lui a envoyé 20 000 livres en témoignage de reconnaissance pour le comportement respectueux envers la famille royale lors de cet épisode. Il quitte Varennes pour Saint-Mihiel,. Il est en mission à Gondrecourt-le-Château quand les troupes prussiennes (dont font partie certains émigrés exaltés) pénètrent dans la ville.

Les Prussiens souhaitent laver l'affront fait à la famille royale à Varennes en arrêtant Jean-Baptiste Sauce (Manifeste de Brunswick). Désirant avant tout protéger ses cinq enfants, madame Sauce s'enfuit mais tombe dans un puits. On l'en sort mais ses jambes sont fracturées. Elle meurt de ses blessures quelques jours plus tard.

Jean-Baptiste Sauce termine sa vie comme greffier en chef du tribunal de Saint-Mihiel, puis comme greffier de la cour de justice criminelle du département de la Meuse.
 
 


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Tags : Jean-Baptiste Sauce, Jean-Baptiste, 4 mars 1755, 4 mars, 1755, Varennes-en-Argonne, Décès, 24 octobre 1825, 24 octobre, 1825, Saint-Mihiel, Meuse
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#Posté le vendredi 04 mars 2022 02:30

Élisabeth Vigée Le Brun

 
Élisabeth Vigée Le Brun 
 
Élisabeth Vigée Le Brun, aussi appelée Élisabeth Vigée, Élisabeth Le Brun ou Élisabeth Lebrun, née Louise-Élisabeth Vigée le 16 avril 1755 à Paris, et morte dans la même ville le 30 mars 1842, est une artiste peintre française, considérée comme une grande portraitiste de son temps.

Elle a été comparée à Quentin de La Tour ou Jean-Baptiste Greuze.

Son art et sa carrière exceptionnelle en font un témoin privilégié des bouleversements de la fin du XVIIIe siècle, de la Révolution Française et de la Restauration. Fervente royaliste, elle sera successivement peintre de la cour de France, de Marie-Antoinette et de Louis XVI, du Royaume de Naples, de la Cour de l'empereur de Vienne, de l'empereur de Russie et de la Restauration. On lui connaît aussi plusieurs autoportraits, dont deux avec sa fille.
 
 
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lisabeth_Vig%C3%A9e_Le_Brun
 

 



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Tags : Élisabeth Vigée Le Brun, Élisabeth, 16 avril 1755, 16 avril, 1755, Paris, Décès, 30 mars 1842, 30 mars, 1842, Art, Peintre
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#Posté le mercredi 30 mars 2022 02:30

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