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Bernard Blier est un acteur français, né à Buenos Aires le 11 janvier 1916 et mort à Saint-Cloud le 29 mars 1989 d'un cancer.
Son père Jules Blier étant biologiste à l'Institut Pasteur les aléas de son métier ont fait que le petit Bernard a vu le jour en Argentine. De retour en France, la famille Blier s'installe à Paris où Bernard mène des études sans enthousiasme au lycée Condorcet. Abandonnant lentement ses études, il commence à prendre des cours de théâtre en 1931. Il se produit pour la première fois sur scène en 1934 à La Ciotat devant une salle à moitié pleine pour un cachet de 50 francs. Ensuite, il s'inscrit au Conservatoire où il intègre la classe de Louis Jouvet. Après trois échecs, il est enfin reçu en 1937. C'est au conservatoire qu'il fait la rencontre de deux grandes personnalités qui resteront ses amis : François Périer et Gérard Oury. Il fait quelques apparitions au théâtre puis au cinéma jusqu'à Hôtel du Nord réalisé par Marcel Carné en 1938, avec Arletty et Louis Jouvet. Un bonheur ne venant jamais seul, au mois d'avril 1938, il épouse Gisèle qui lui donnera, le 14 mars 1939, le petit Bertrand. Il tourne ensuite Le jour se lève, en 1939, avec Jean Gabin. C'est le début d'une longue amitié entre les deux hommes. En juillet 1939, c'est le concours de sortie du Conservatoire, le jury choisi ne lui décerne pas de prix. Au même moment, la Seconde Guerre mondiale éclate. Bernard, comme tant de Français, est mobilisé. Il se retrouve deuxième classe dans un régiment d'infanterie à Mayenne. Il passe son temps à écrire des lettres pleines de désarroi. Suite au 10 mai 1940, il est fait prisonnier, il sera interné dans un camp en Autriche (le Stalag XVII-A). Il entame malgré lui, une spectaculaire cure d'amaigrissement. Aprés un an, il perd 27 kilos et se fait rapatrier comme sanitaire. De retour à Paris, il court le cachet avec son nouveau physique : celui d'un séducteur. Des amis comme Christian-Jaque, Claude Autant-Lara et Marcel Achard lui permettent de survivre en lui offrant des petits rôles au cinéma ainsi qu'au théâtre. À la Libération, il enchaîne film sur film et, chaque soir, il se produit au théâtre et fait des interventions à la radio. Dans les années 1950, il joue des seconds rôles avec les plus grands réalisateurs, mais il lui faudra attendre le début des années 1960 pour obtenir des rôles à sa mesure. En 1958, le cinéma italien fait appel à lui et lui donne des rôles dramatiques dignes de son talent. Il tournera plus de trente films dans ce pays. Sa collaboration avec Georges Lautner, Henri Verneuil et Michel Audiard, qui lui écrit des textes cousus main, en font un acteur incontournable du cinéma français. Les années 1960 sont celles de la réussite. Des rôles inoubliables dans des films devenus classiques. Il donne la réplique aux plus grands (Jean Gabin, Jean-Paul Belmondo, Lino Ventura, Louis de Funès...) dans des tournages qui se passent dans la bonne humeur et l'amitié. Il tourne aussi dans des films sans prétention où il excelle dans les rôles de gangsters maladroits aux côtés de son complice Jean Lefebvre ( Quand passent les faisans, Du mou dans la gâchette, C'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule, ... ). Fin des années 1960, il connaît un petit creux en France, mais, début 1970, une nouvelle génération va lui donner un nouveau départ.
Il tourne en compagnie de Pierre Richard et Jean Yanne et crée un nouveau rôle : celui du comique méchant. Le public en redemande et il enchaîne tournage sur tournage. En 1975, un grand moment arrive : il tourne sous la direction de son fils dans Calmos. Le film n'aura pas le succès escompté mais le père et le fils récidiveront en 1979 avec Buffet froid, un chef-d'œuvre d'humour noir. Entre-temps, en 1976, il est remonté sur les planches et a créé À vos souhaits au théâtre des Champs-Élysées. En 1981, il joue Le Nombril de Jean Anouilh au Théâtre de l'Atelier à Paris. Les années 1980 se passent surtout en Italie où il est considéré comme un mythe. Le 20 juin 1986, il est récompensé d'un Donatello du meilleur second rôle (Le César italien) pour Pourvu que ce soit une fille. En 1985, un cancer de la prostate est détecté. Ses proches refusent de lui dire la vérité et il continue d'enchaîner les tournages. Le mal continue sa progression et atteint les os. Le cinéma français lui attribue le César d'honneur en 1989. Lorsqu'il parait sur la scéne de l'Empire, Bernard Blier n'est plus que l'ombre de lui-même, il arrive à petit pas, prend sa statuette et puis s'en va. Le 29 mars 1989, il meurt à la clinique du Val d'Or, à Saint-Cloud des suites de son cancer. En avril 1938, il épouse Giséle qui lui donnera un fils le 14 mars 1939, Bertrand Blier, futur réalisateur. En 1960, il fait la connaissance d'Annette à Pontarlier. A 44 ans, cette femme de vingt ans de moins que lui lui fait tourner la tête. Après de multiples péripéties, il parvient à l'épouser le 6 octobre 1965 et resteront ensemble 26 ans. Le dessinateur Uderzo a rendu hommage à Bernard Blier dans l'album L'Odyssée d'Astérix en donnant ses traits au personnage Caius Soutienmordicus, chef des services secrets de César avec sous ses ordres le druide-espion Zérozérosix qui, lui, emprunte ses traits à Sean Connery
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1936 : Trois, six, neuf de Raymond Rouleau 1937 : Le Messager de Raymond Rouleau (non crédité) : le chauffeur Accord final de Ignacy Rosenkranz (supervision de la réalisation : Douglas Sirk) : Mérot La Dame de Malacca de Marc Allégret : un journaliste en moto Gribouille de Marc Allégret (non crédité) : le jeune homme au tandem L'Habit vert de Roger Richebé : Pinchet fils Altitude 3200 de Jean Benoît-Lévy et Marie Epstein : Benoît, étudiant en droit 1938 : Grisou "Les hommes sans le soleil" de Maurice de Canonge et Pierre Brasseur : le fils Mélée Hôtel du Nord de Marcel Carné : Prosper, l'éclusier donneur de sang Le jour se lève de Marcel Carné : Gaston, un ouvrier Entrée des artistes de Marc Allégret : Pescani, un élève du conservatoire Double crime sur la ligne Maginot de Félix Gandera : Place de la Concorde de Carl Lamac : Brioche Tourelle 3 - Film inachevé de Christian Jaque Le Ruisseau de Maurice Lehmann et Claude Autant-Lara : le chauffeur de taxi 1939 : La Nuit de décembre de Kurt Bernhardt : Edouard Quartier Latin de Pierre Colombier, Christian Chamborant et Alexandre Esway
1941 : L'Enfer des anges de Christian Jaque : Freddy, le patron du bistrot Le pavillon brûle de Jacques de Baroncelli : Bénézy Premier bal de Christian-Jaque : le maître d'hôtel Caprices de Léo Joannon (non crédité) : Marcel L'Assassinat du Père Noël de Christian Jaque (non crédité) : le brigadier 1942 : La Nuit fantastique de Marcel L'Herbier : Lucien, l'ami de Denis Carmen de Christian Jaque : Remandado La Symphonie fantastique de Christian Jaque : Antoine Charbonnel La femme que j'ai le plus aimée de Robert Vernay : l'employé des pompes funèbres Romance à trois de Roger Richebé : Marcel Le journal tombe à cinq heures de Georges Lacombe : Bertod, un journaliste Marie-Martine de Albert Valentin : Maurice, le jeune provincial Le Mariage de Chiffon de Claude Autant-Lara : le garçon d'hôtel 1943 : Domino de Roger Richebé : Crémone Les Petites du quai aux fleurs de Marc Allégret : le docteur Bertrand Je suis avec toi de Henri Decoin : Robert 1944 : Farandole de André Zwobada : Sylvestre 1945 : Seul dans la nuit de Christian Stengel : l'inspecteur Pascal Monsieur Grégoire s'évade de Jacques Daniel-Norman : Alex Grégoire 1946 : Le Café du Cadran de Jean Géhret et Henri Decoin (superviseur) : Julien, le propriétaire du café Messieurs Ludovic de Jean-Paul Le Chanois : Ludovic Seguin 1947 : Dédée d'Anvers d'Yves Allégret : M. René, le patron du bar Quai des Orfèvres de Henri-Georges Clouzot : Maurice Martineau, pianiste 1948 : Les Casse-Pieds ou La Parade du temps perdu de Jean Dréville et Noël-Noël : B. Blier joue son propre rôle D'homme à hommes de Christian Jaque : Coquillet 1949 : L'École buissonnière de Jean-Paul Le Chanois : Pascal Laurent, instituteur Manèges d'Yves Allégret : Robert, industriel et mari de Dora Retour à la vie Sketch : "Tante Emma" d'André Cayatte : Gaston Monseigneur de Roger Richebé : Louis Mennechain, serrurier La Souricière (film) de Henri Calef : Jean-Pierre Lesourd
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1950 : L'Invité du Mardi "Du thé pour monsieur Josse" de Jacques Deval : Charles Josse, assureur Souvenirs perdus Sketch : Le violon de Christian-Jaque : Raoul, l'agent de police ...Sans laisser d'adresse de Jean-Paul Le Chanois : Émile Gauthier, chauffeur de taxi Les Anciens de Saint-Loup de Georges Lampin : Jean Laclaux, banquier La paix vaincra "documentaire" de Joris Ivens : B. Blier prête sa voix dans ce film 1951 : Agence matrimoniale de Jean-Paul Le Chanois : Noël Pailleret, employé La Maison Bonnadieu de Carlo Rim : Félix Bonnadieu, corsetier 1952 : Je l'ai été trois fois de Sacha Guitry : Henri Verdier et Hector Van Broken Suivez cet homme de Georges Lampin : le commissaire François Basquier 1953 : Secrets d'alcôve Sketch : "Le lit de la Pompadour" de Jean Delannoy : Émile Bergeret, président du Conseil Avant le déluge d'André Cayatte : le professeur Noblet La Vie des chamois "court métrage, documentaire" réalisation anonyme : voix uniquement Des hommes et des montagnes 'court métrage, documentaire" de Jean-Jacques Languepin et Gaston Rébuffat : voix uniquement 1954 : Scènes de ménage de André Berthomieu : le mari d'Aglaé 1955 : Le Dossier noir de André Cayatte : Le commissaire Noblet Frou-frou de Augusto Genina :un homme au restaurant Les Hussards de Alex Joffé : le brigadier Le Gouce Mère Courage et ses enfants (Mutter Courage und ihre kinder) "film resté inachevé, tourné en Allemagne" de Wolfgang Staudte : Les Prisonniers du mal (Prigioneri del male - Revelacion) de Mario Costa : Don Lorenzo 1956 : Crime et Châtiment de Georges Lampin : Antoine Monestier, antiquaire L'Homme à l'imperméable de Julien Duvivier : M. Raphaël, maître chanteur La Belle époque "court métrage" de Jacques Thierry : 1957 : Retour de manivelle de Denys de La Patellière : le commissaire Plantavin Quand la femme s'en mêle "Sans attendre Godot" d'Yves Allégret : Félix Seguin, facteur provincial 1958 : Les Misérables - Film tourné en deux époques - de Jean-Paul Le Chanois : le commissaire Javert, chef de la police - dans les deux époques. La Bonne tisane de Hervé Bromberger : René Lecomte, le gangster blessé Le Joueur de Claude Autant-Lara : le général Zagorianski Les Grandes Familles de Denys de La Patellière : Simon Lachaume, le secrétaire La Chatte de Henri Decoin : M. Debrun, dit : Le capitaine Sans famille d'André Michel : Renato Garofoli Archimède le clochard de Gilles Grangier : M. Pichon, le nouveau patron du café
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1960 : Le Bossu de Rome - (Il Gobbo) - de Carlo Lizzani : Maréchal Chacun son alibi - (Crimen) - de Mario Camerini : le commissaire de police Arrêtez les tambours de Georges Lautner : M. Leproux, maire de Courdimanche La Famille Fenouillard de Yves Robert (non crédité) : simple apparition en voyageur Vive Henri IV, vive l'amour de Claude Autant-Lara : Sully 1961 : Le président de Henri Verneuil : Philippe Chalamont Le Septième Juré de Georges Lautner : Grégoire Duval, pharmacien Le Cave se rebiffe de Gilles Grangier : Charles Lepicard Le Monocle noir de Georges Lautner : le commissaire Tournemire Chasse aux vedettes "court métrage" de Camille Chatelot : B. Blier tient son propre rôle En plein cirage de Georges Lautner : simple apparition Les Petits Matins ou Mademoiselle stop de Jacqueline Audry : M. Rameau, le provincial Les Guérilleros - (I briganti Italiani) - de Mario Camerini : le colonel Breviglieri 1962 : Germinal d'Yves Allégret : M. Hennebeau, patron de la mine Mathias Sandorf de Georges Lampin : Toronthal Les Saintes nitouches de Pierre Montazel : M. Bidois Pourquoi Paris ? de Denys de La Patellière : le concierge de l'immeuble 1963 : Ski du monde court-métrage de Jacques Ertaud Cent mille dollars au soleil de Henri Verneuil : Mitch-Mitch, un camionneur Les Camarades - (I compagni) - de Mario Monicelli : Martinelli, le délégué de l'usin Les Tontons flingueurs de Georges Lautner : Raoul Volfoni, un petit truand L'Échiquier de Dieu "Marco Polo" - Film resté inachevé - de Christian Jaque : L'Aigle de Florence - (Il magnifico avventuriero - Benvenuto Cellini) - de Riccardo Freda : le pape Clément VII Haute infidélité - Sketch : "Les gens modernes". (Alta infedetta : Gente moderna) de Mario Monicelli : Sergio 1964 : La Bonne Soupe de Robert Thomas : M. Joseph La Chasse à l'homme d'Édouard Molinaro : M. Heurtin Les Barbouzes de Georges Lautner : Eusébio Cafarelli, un barbouze La Chance et l'amour Sketch: "Le jeu de la chance" ou "Une chance explosive" de Bertrand Tavernier : Camilly, le patron Le Cocu magnifique (Il magnifico cornuto) de Antonio Pietrangeli : Mariotti 1965 : Les Bons Vivants (Un grand seigneur) Sketchs : "La fermeture" et "Le procès" de Gilles Grangier : M. Charles La Bergerie (dans les deux sketchs) Quand passent les faisans de Edouard Molinaro : Hyacinthe Camus Une question d'honneur (Une questione d'onore) de Luigi Zampa : don Léandro Sanna Un meurtre presque parfait "Rapt à Damas" (Delitto quasi perfetto) de Mario Camerini : le colonel William Derek Duel dans le monde (Duello nel mondo) de Luigi Scattini, Arthur Scott : Casanova 70 (Casanova 70) de Mario Monicelli : le détective 1966 : Du mou dans la gâchette de Louis Grospierre : Nicolas Papas, tueur à gages Le Grand Restaurant de Jacques Besnard : le commissaire Go, go, play-boy (Bel Ami 2000 oder Wie verführt man einen Playboy?) de Michael Pfleghar 1967 : Un idiot à Paris de Serge Korber : M. Dessertine, mandataire en viande Le Fou du labo 4 de Jacques Besnard : M. Beauchard Peau d'espion d'Édouard Molinaro : le commandant Rhomme Coplan sauve sa peau d'Yves Boisset : Mascar Si j'étais un espion (Breakdown) de Bertrand Blier : le docteur Lefèvre L'Étranger (Lo straniero - Amare per vivere) de Luchino Visconti : l'avocat de la défense 1968 : Nos héros réussiront-ils à retrouver leur ami mystérieusement disparu en Afrique ? (Riusciranno i nostri eroi a ritrovare l'amico misteriosamente scomparso in Africa ?) d'Ettore Scola : Ubaldo Palmerini Caroline Chérie de Denys de La Patellière : M. Georges Berthier Faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages "Opération Léontine" de Michel Audiard : Charles Le Téméraire La limite du pêché (Quarte parete) de Adriano Bolzoni : Andréa Brusa 1969 : Appelez-moi Mathilde de Pierre Mondy : Charles de Blanzac Mon oncle Benjamin "L'homme en habit rouge" d'Édouard Molinaro : le marquis de Cambise
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1970 : Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause ! de Michel Audiard : M. Liethard Le Distrait de Pierre Richard : M. Guitton Le Cri du cormoran le soir au-dessus des jonques de Michel Audiard : M. K. 1971 : Laisse aller, c'est une valse de Georges Lautner : le commissaire Caillaud Les Doigts croisés (Catch me a spy) de Dick Clement : M. Webb Jo de Jean Girault : l'inspecteur Ducros Les Performances amoureuse du Sicilien (Homo eroticus) de Marco Vicario : le docteur Mezzini Le Tueur de Denys de La Patellière : François Tellier, directeur de la P.J La Grosse combine (Il furto e l'anima del commercio) de Bruno Corbucci : Baccace raconte (Boccaccio raconta) de Bruno Corbucci : le docteur Mazzéo Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil de Jean Yanne : Louis, Marcel Thulle, président 1972 : Elle cause plus... elle flingue de Michel Audiard : le commissaire Camille Bistingo Moi y'en a vouloir des sous de Jean Yanne : Adrien Colbart Le Grand Blond avec une chaussure noire d'Yves Robert : Bernard Milan, l'ambitieux adjoint 1973 : Je sais rien mais je dirai tout de Pierre Richard : M. Gastié-Leroy, père La Main à couper d'Étienne Périer : le commissaire Moureux Les Chinois à Paris de Jean Yanne : le président de la république Procès express (Processo per diretissima) de Lucio de Caro : le juge Par le sang des autres de Marc Simenon : le maire Ce cher Victor de Robin Davis : Anselme, le souffre-douleur de Victor 1974 : C'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule de Jacques Besnard : Fano Le tapis hurle (Il piatto piange) de Paolo Nuzzi : Prête Bons baisers à lundi de Michel Audiard : Frankie Strong 1975 : Mes chers amis (Amici miei) de Mario Monicelli : Righi C'est dur pour tout le monde de Christian Gion : Paul Tardel, PDG de "Publistalla" Le Faux-cul de Roger Hanin : Maxime 1976 : Le Corps de mon ennemi de Henri Verneuil : Jean-Baptiste Liégard Calmos "Femmes fatales" de Bertrand Blier : le curé Nuit d'or de Serge Moati : le commissaire Pidoux 1977 : La Fuite en avant ou Le Compromis "film resté inachevé" de Christian Zerbib : René, le camionneur 1978 : Série noire d'Alain Corneau : Staplin, le patron de Pouplart 1979 : Buffet froid de Bertrand Blier : l'inspecteur Morvandieu
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1980 : Eugenio (Voltati Eugenio) de Luigi Comencini : le père de Fernanda Le Malade imaginaire (Il malato immaginario) de Tonino Cervi : Purgone, le docteur 1981 : Passion d'amour (Passione d'amore) de Ettore Scola : le major Tarrasso Pétrole ! Pétrole ! de Christian Gion : l'émir Abdullah Il Turno de Tonino Cervi : don Marcantonio 1984 : Les Belles Années (Cuore) de Luigi Comencini : l'ingénieur Bottini Ca n'arrive qu'à moi de Francis Perrin : Lucien Guilladou La Double vie de Mathias Pascal (Le due vita di Mattia Pascal) de Mario Monicelli : Anselmo Paléari Le Voyageur des quatre saisons (El viajero de las quatro estaciones) "film inédit" de Miguel Littin : 1985 : Le Fou de guerre (Scemo di guerra) de Dino Risi : le major Bellucci Mes chers amis (3) (Amici miei atto 3 - sketch: Vinti anni dopo) de Nanni Loy : 1986 : Pourvu que ce soit une fille (Speriamo che sia femmina) de Mario Monicelli : l'oncle Gugo Je hais les acteurs de Gérard Krawczyk : Jérôme B. Cobb Twist again à Moscou de Jean-Marie Poiré : Alexei, le ministre 1987 : Sotto il ristorante chinese de Bruno Bozzetto : le père d'Eva, professeur Une catin pour deux larrons (I Picari) de Mario Monicelli : Il ruffiano Paganini (Kinski, Paganini) de Klaus Kinski : le père Caffarelli La Guerre la plus glorieuse ou Migrations (Seobe) de Aleksandar Petrovic : 1988 : Les Possédés d'Andrzej Wajda: le gouverneur Mangeclous de Moshé Mizrahi : Saltiel Ada dans la jungle de Gérard Zingg : le major Collins Les deux fanfarons (Una botta di vita) de Enrico Oldoini : Giuseppe Mondardini
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Télévision
1959 : Spécial Noël / Jean Gabin, documentaire de Frédéric Rossif : participation de B. Blier 1970 : Le Mari, la femme et la mort, pièce d'André Roussin dans le cadre de l'émission Au théâtre ce soir de Pierre Sabbagh : Sébastien 1973 : L'École des femmes pièce de Molière, sur une mise en scène de Raymond Rouleau : Arnolphe 1978 : Portrait de Jacques Dufilho, documentaire de François Chatel : témoignage de Bernard Blier 1979 : Feu la mère de madame, pièce de Georges Feydeau, réalisée par Jeannette Hubert : Lucien 1979 : On purge bébé, pièce de Georges Feydeau, réalisée par Jeannette Hubert : M. Follavoine
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Théâtre Les Plaisirs de l'été Théâtre de Paris 1934 : Les Précieuses Ridicules de Molière 1934 : Les Fourberies de Scapin de Molière 1935 : Rouge ! d'Henri Duvernois, Théâtre Saint-Georges 1936 : Interlude de Lucien Dabril et Gabriel-Emme, mise en scène Gabriel-Emme, Théâtre de la Nouvelle Comédie 1937 : Altitude 3200 de Julien Luchaire, mise en scène Raymond Rouleau, Théâtre de l'Étoile 1937 : L'Homme qui se donnait la comédie d'Emlyn Williams, mise en scène Pierre Brasseur, Théâtre Antoine 1938 : Septembre de Constance Coline, mise en scène René Rocher, Théâtre du Vieux-Colombier 1939 : L'Amant de paille de Marc-Gilbert Sauvajon et André Bost, mise en scène Jean Wall, Théâtre Michel 1939 : Mailloche de René Dorin, Théâtre de la Madeleine 1941 : Mamouret de Jean Sarment, mise en scène Charles Dullin, Théâtre de Paris 1941 : La Nuit de printemps de Pierre Ducrocq, mise en scène de l'auteur, Théâtre Saint-Georges 1941 : Le Mariage en trois leçons de Julien Luchaire, mise en scène Jacques Grétillat, Théâtre des Ambassadeurs 1942 : Mademoiselle de Panama de Marcel Achard, mise en scène Marcel Herrand, Théâtre des Mathurins 1942 : Colinette de Marcel Achard, mise en scène Pierre Dux, Théâtre de l'Athénée 1944 : Monsieur chasse ! de Georges Feydeau, mise en scène Jean Darcante, Palace 1945 : N'importe comment ! de Noel Coward, mise en scène Jean Wall, (Le Spectacle des Alliés) Théâtre Pigalle 1945 : Une demande en mariage d'Anton Tchekhov, mise en scène Jean Meyer, (Le Spectacle des Alliés) Théâtre Pigalle 1946 : Maria d'André Obey, Comédie des Champs-Elysées 1946 : Auprès de ma blonde de Marcel Achard, mise en scène Pierre Fresnay, Théâtre de la Michodière 1949 : Le Petit Café de Tristan Bernard, mise en scène Yves Mirande, Théâtre Antoine 1950 : Victor d'Henry Bernstein, Théâtre des Ambassadeurs 1952 : Les Compagnons de la marjolaine de Marcel Achard, mise en scène Yves Robert, Théâtre Antoine 1953 : Désiré de Sacha Guitry, mise en scène de l'auteur, Théâtre royal du Parc 1953 : Crime parfait de Frederick Knott, mise en scène Georges Vitaly, Théâtre des Ambassadeurs 1954 : Le Mari, la Femme et la Mort d'André Roussin, mise en scène Louis Ducreux, Théâtre des Ambassadeurs 1958 : Lucy Crown d'Irwin Shaw, mise en scène Pierre Dux, Théâtre de Paris 1959 : Douze hommes en colère de Reginald Rose, mise en scène Michel Vitold, tournée 1964 : Photo-Finish de Peter Ustinov, mise en scène de l'auteur, Théâtre des Ambassadeurs 1968 : C'est malin ! de Fulbert Janin, mise en scène Michel Roux, Théâtre des Ambassadeurs 1971 : Galapagos de Jean Chatenet, mise en scène Bernard Blier, Théâtre de la Madeleine 1972 : Le Faiseur de Honoré de Balzac, mise en scène Pierre Franck, Théâtre Montansier, Théâtre des Célestins, tournée 1973 : L'Homme en question de Félicien Marceau, mise en scène Pierre Franck, Théâtre de l'Atelier 1976 : À vos souhaits de Pierre Chesnot, mise en scène Claude Sainval, Comédie des Champs-Élysées 1978 : Boulevard Feydeau pièces de Georges Feydeau : Feu la mère de madame, On purge bébé, mise en scène Raymond Gérome, avec Danielle Darrieux, Louis Seigner, Théâtre des Variétés 1981 : Le Nombril de Jean Anouilh, mise en scène Jean Anouilh et Roland Piétri, Théâtre de l'Atelier
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Metteur en scène
1955 : L'Ami de la famille de Jean Sommet, Comédie Caumartin 1971 : Galapagos de Jean Chatenet, Théâtre de la Madeleine
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Récompenses1987 : Donatello du meilleur second rôle masculin pour Pourvu que ce soit une fille 1989 : César d'honneur
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Antoine-Jean Gros, Portrait de François Gérard, âgé de 20 ans (1790), New York, Metropolitan Museum of Art.
François Gérard, né à Rome le 4 mai 1770 et mort à Paris le 11 janvier 1837, est un peintre d'histoire, portraitiste et illustrateur néo-classique français.
Élève de Jacques-Louis David, il fut l'un des principaux peintres du premier Empire et de la Restauration. Peintre de cour sous Napoléon Ier, puis Premier peintre des rois Louis XVIII et Charles X, Gérard bénéficia d'une grande renommée, non seulement française, mais aussi européenne. Surnommé « le peintre des rois, le roi des peintres », il fut en effet le portraitiste de toutes les familles souveraines européennes. Son salon, un des plus réputés de son temps, accueillit les plus grandes personnalités.
François Gérard naît à Rome, en 1770 . Fils de Jean Simon, baron Gérard, intendant du cardinal François-Joachim de Pierre de Bernis, et de l'Italienne Cléria Mattei, il passe les dix premières années de sa vie dans « la ville éternelle ». Il y montre très vite de réelles dispositions pour le dessin.
En 1782, son père, revenu à Paris avec sa femme et ses trois fils, passe au service de Louis Auguste Le Tonnelier de Breteuil, ministre de la maison du roi, qui fait admettre le jeune François à la Pension du Roi : établissement pour jeunes artistes talentueux. Deux ans plus tard il devient élève d'Augustin Pajou, sculpteur alors très vogue, puis de Nicolas Guy Brenet, artiste peintre. Fasciné par l'art développé par Jacques-Louis David, le jeune François Gérard rejoint son atelier à partir de 1786, où il a pour camarades Anne-Louis Girodet, Antoine-Jean Gros ou encore François-Xavier Fabre. En 1789, il obtient le second prix de Rome, derrière Anne-Louis Girodet, son ami de jeunesse. Il se représente au concours l'année suivante, mais la mort de son père le contraint à abandonner l'épreuve.
Sa mère désirant retourner vivre à Rome, Gérard part avec toute sa famille dont il a désormais la charge, dans le courant de l'été 1790. Le séjour romain n'est pas long, bientôt la famille Gérard est contrainte de retourner à Paris, pour éviter l'inscription sur la liste des émigrés, et ainsi préserver leur modeste patrimoine.
Sur place, les principaux commanditaires des œuvres artistiques sont mis à mal par la révolution ; les peintres se retrouvent bientôt sans commandes. C'est le cas de Gérard. Il perd sa mère en 1793 et doit subvenir aux besoins de ses deux frères et de sa jeune tante, Marguerite Mattei, qu'il a ramenée d'Italie. « Par commodité et afin d'éviter l'éclatement familial, il épouse cette dernière en 1795. »
Grâce à la protection de son maître David, Gérard obtient un logement et un atelier au Louvre, plus la commande d'une série d'illustrations (La Fontaine, Virgile) pour l'éditeur Didot. Pour éviter la conscription militaire, il obtient, toujours par l'intermédiaire de David[réf. souhaitée], un poste de juré au Tribunal révolutionnaire, où il rejoint son collègue le peintre paysagiste Claude-Louis Châtelet Il y siégera peu, prétextant une maladie. Bien que n'ayant que peu participé aux évènements révolutionnaires, ce passé lui sera notamment reproché au moment de la Restauration, et Gérard devra se défendre des attaques de ses détracteurs, en prouvant qu'il ne faisait pas partie des jurés lors du procès de Marie-Antoinette.
Réunion d'artistes dans l'atelier d'Isabey (1798) par Boilly, où l'on distingue F. Gérard, assis face au chevalet, examinant de près un tableau aux côtés d'Isabey, debout.
Au sortir de la Révolution, le succès vient rapidement. Au Salon de 1795, Gérard expose un Bélisaire, se plaçant ainsi dans la continuité de son maître David. Mais c'est surtout avec son œuvre Psyché et l'Amour, exposée au Salon de 1798 que Gérard atteint un début de célébrité. Dès lors, les nombreux portraits de la bonne société qu'il réalise lui assurent une réputation plus qu'établie. C'est ainsi à partir des environs de 1800 que l'artiste commence à réunir autour de lui un salon littéraire où la bonne société parisienne aime à venir discuter et jouer. Grâce à l'intervention de Chaptal, François Gérard reçoit un logement au Collège des Quatre Nations, futur Institut de France, alors que les artistes sont priés par le premier consul Napoléon Bonaparte de quitter le Louvre pour aménager le musée Napoléon. En 1801, Girodet et Gérard reçoivent la commande de deux tableaux illustrant les légendes du barde Ossian pour le salon des Bonaparte à la Malmaison. Le peintre bénéficie alors de la protection de la famille Bonaparte et devient la même année le « Premier peintre » de Joséphine de Beauharnais, puis se voit décerner la Légion d'honneur en 1803, soit peu après sa création. L'élève de Jacques-Louis David est alors le peintre de la future cour impériale française et l'un des peintres les plus recherchés. Son succès dépasse désormais les frontières et ce sont bientôt les grandes familles régnantes d'Europe qui voudront être immortalisées sous les pinceaux de Gérard
François Gérard se voit attribuer la commande de la représentation de la Bataille d'Austerlitz par l'administration impériale, pour le Salon de 1808. L'œuvre monumentale n'est pas achevée à temps et ne sera exposée que pour le Salon de 1810. L'ouvrage rencontre alors un accueil chaleureux. Par le biais de cette grande peinture d'histoire, Gérard entend bien confronter son talent à celui de son confrère Antoine-Jean Gros, peintre attitré des scènes de batailles napoléoniennes. Longtemps attaché au Louvre, le 5 avril 1811 il est nommé professeur de l'École des beaux-arts de Paris en remplacement de Jean Simon Berthélemy et sera remplacé par Michel Martin Drolling en 1837.
L'année suivante (7 mars 1812) il est élu à l'Institut au fauteuil no 8, succédant ainsi au peintre d'histoire Jean Simon Berthélemy. Il est alors le premier élève de David à y faire son entrée. Girodet et Gros seront quant à eux élus en 1816. En tant que peintre de la cour impériale, Gérard peindra le portrait de l'impératrice Marie-Louise après son mariage avec Napoléon, puis celui de leur unique enfant, le roi de Rome.
Sous la Restauration il est nommé Premier peintre du roi en 1817, fonction qu'il exercera sous les règnes de Louis XVIII, et de Charles X. La reconnaissance royale lui vaudra d'être créé baron en 1819. Professeur à l'École des beaux-arts, Gérard n'a formé que peu d'élèves, en comparaison avec son confrère Antoine-Jean Gros. Pour autant, il soutient la nouvelle génération, et notamment les débuts d'Eugène Delacroix. Son œuvre, son salon, ses relations, en feront l'un des personnages les plus influents des milieux intellectuels et artistiques de l'époque.
Vers 1835, sa santé chancelante se détériore rapidement ; fragilisé, il s'éteint à Paris, d'une maladie qui l'emporte en quelques jours, au début de 1837, à l'âge de 66 ans. Sa sépulture se trouve au cimetière du Montparnasse à Paris
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En 1978, Goldman ne souhaite pas participer à une tournée de Taï Phong, c'est un nouveau qui débarque pour le remplacer : Michael Jones. Il sort en revanche un troisième 45 tours en solo avec Laëtitia et Back To The City Again.
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En 1979, Taï Phong se sépare ; « Le groupe s'est arrêté parce que les groupes, ça meurt » déclarera Goldman Un nouvel album, sorti en 1981, devait s'appeler Démodé, mais la maison de disques ayant jugé ce titre trop peu commercial, il restera sans nom. C'est avec le titre Il suffira d'un signe que Jean-Jacques Goldman commence à connaître le succès. Le 2e extrait Quelque chose de bizarre sera toutefois un échec commercial. Il décide de tenir le magasin de sport familial en cas d'échec par la suite (ce qui n'arrivera pas).
Après cette réussite, sa maison de disques, Epic, le presse de sortir un autre album, toujours sans nom avec des titres comme Quand la musique est bonne, Comme toi, Au Bout de mes rêves ou encore Je ne vous parlerai pas d'elle.
Après les tubes de l'album, rebaptisé officieusement par certains Quand la musique est bonne, avec ses 200 000 exemplaires vendus (son titre officieux est Minoritaire, mais lui aussi fut refusé par la maison de disques car pas assez positif), Jean-Jacques continue et donne enfin un titre officiel à son troisième disque, qu'il intitule Positif, par réaction au refus des noms des deux premiers albums par la maison de disques.
Pour sa tournée, l'auteur-compositeur-interprète fait appel à un musicien qu'il connaît : Michael Jones. C'est à partir de ce moment que la complicité entre les deux artistes commence réellement alors que les deux se connaissaient depuis les années Taï Phong. En effet, Goldman ne voulait pas quitter son travail pour partir en tournée avec le groupe et c'est Jones qui l'a remplacé après les auditions.
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