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1982 : Une femme en fuite de Maurice Rabinowicz : Mona
1983 : Si j'avais mille ans de Monique Enckell
1983 : L'Ami de Vincent de Pierre Granier-Deferre : Marion
1983 : Garçon ! de Claude Sautet : Marie-Pierre
1984 : L'Intrus d'Irène Jouannet
1986 : Descente aux enfers de Francis Girod : Lucette
1986 : Grand Guignol de Jean Marb½uf : Germaine
1990 : Un jeu d'enfant de Pascal Kané : Noémie
1991 : La Dernière Saison de Pierre Beccu : Marthe
1991 : Les Enfants du vent de Krzysztof Rogulski : la femme du maire
1996 : Les Caprices d'un fleuve de Bernard Giraudeau : la vieille Duchesse
1996 : Confidences à un inconnu de Georges Bardawil : la mère
1997 : Rien ne va plus de Claude Chabrol : Dedette
1999 : À vot'service d'Eric Bartonio
Courts-métrages
1959 : Les Taupins de Jean Pignol
1965 : La Demoiselle de Saint-Florentin de Serge Korber
1965 : L'arroseur arrosé de Pierre Tchernia
1992 : Cendre d'or de Jean-Philippe Ecoffey
1993 : Elle est passée par ici... de Bernard Pavelek
1999 : Le Jour de Grâce de Myriam Donasis, dans la collection À Vot'Service
Télévision
1959 : La caméra explore le temps, épisode La Dernière Nuit de K½nigsmark de Stellio Lorenzi
1959 : Les Cinq Dernières Minutes, épisode Poison d'eau douce de Claude Loursais : Mariette (sous le nom de Claudine Huzé)
1960 : Les Cinq Dernières Minutes, épisode Qui trop embrasse... de Claude Loursais : Sylvie
1961 : Les Jours Heureux d'Arnaud Desjardins
1963 : Premier Amour de Jean Prat : Zinaïda
1965 : Marie Curie - Une certaine jeune fille de Pierre Badel : Marie Curie
1965 : Le Legs de Jean-Paul Sassy : Hortense
1971 : Ma femme de Jean L'Hôte : Nathalie
1971 : L'Heure éblouissante de Jeannette Hubert : Mrs. Mary Sedley
1973 : Ma femme et l'enfant de Gérard Gozlan : la jeune femme
1973 : La Belle au bois dormant de Robert Maurice : la bonne reine Apolline
1975 : Un changement de saison de Jacques Krier : Nicole
1976 : Adios d'André Michel : Marie-Louise
1976 : François le Champi de Lazare Iglesis : Madeleine
1978 : Madame le juge : Autopsie d'un témoignage de Philippe Condroyer : Marie Robin
1978 : Kakemono Hôtel de Franck Apprederis : Lucienne Cagepain
1978 : Point commun d'Olivier Descamps : Germaine
1980 : Au théâtre ce soir : L'Amant complaisant de Graham Greene, mise en scène Jacques François, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny : Mary Rhodes
1981 : Les Héritiers : La Propriété de Serge Leroy : Nicole
1982 : Une faiblesse passagère de Colette Djidou : Sylvia
1982 : Emmenez-moi au théâtre : Patate de Marcel Achard, mise en scène Pierre Mondy, réalisation Yves-André Hubert : Édith Rollo
1983 : Un manteau de chinchilla de Dominique Othenin-Girard : Nicole
1983 : Bel Ami de Pierre Cardinal : Virginie Walter
1984 : Hello Einstein de Lazare Iglesis : Elsa
1986 : À titre posthume de Paul Vecchiali
1989 : Maria Vandamme de Jacques Ertaud : Céleste Rousset
1991 : Faux Frère de Vincent Martorana : Mme Toussaint
1992 : La Mémoire d'André Delacroix : Madeleine
1993 : Maigret, épisode Maigret et l'homme du bancd'Étienne Périer : Mme Thouret
2001 : Le Bon Fils d'Irène Jouannet : Mamie Michelle
Théâtre
1962 : La Contessa ou la Volupté d'être de Maurice Druon, mise en scène Jean Le Poulain, Théâtre de Paris
1964 : Le Monstre Turquin de Carlo Gozzi, mise en scène André Barsacq, Théâtre de l'Atelier
1966 : Vacances pour Jessica de Carolyn Green, mise en scène Edmond Tamiz, Théâtre Antoine2
1967 : Bleus, blancs, rouges ou les libertins de Roger Planchon, mise en scène de l'auteur, Théâtre de la Cité Villeurbanne, Festival d'Avignon
1980 : L'Homme, la bête et la vertu de Luigi Pirandello, mise en scène Henri Tisot, Théâtre Daunou
1982 : Patate de Marcel Achard, mise en scène Pierre Mondy, enregistrement pour le compte d'Antenne 2
1987 : Thomas More ou l'homme seul de Robert Bolt, mise en scène Jean-Luc Tardieu, Espace 44 Nantes
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Claudine Lucie Pauline Huzé, dite Marie Dubois, est une actrice française née le 12 janvier 1937 à Paris (Seine) et morte le 15 octobre 2014 à Lescar (Pyrénées-Atlantiques).
Elle est l'une des actrices emblématiques du cinéma français, alternant films d'auteurs et films populaires, mais elle apparaît plus rarement au cinéma à partir de la fin des années 1970, alors qu'elle est atteinte de la sclérose en plaques. Entre 2001 et 2014, elle s'est engagée publiquement dans le combat contre cette maladie.
Suivant les cours d'art dramatique de la rue Blanche à Paris, Claudine Huzé apprend la comédie moderne et les ½uvres classiques. À la sortie de l'école, elle joue dans plusieurs pièces de théâtre de divers registres.
Remarquée à la télévision dans La caméra explore le temps et Les Cinq Dernières Minutes, elle est engagée par le cinéaste François Truffaut pour le film Tirez sur le pianiste en 1960. Il lui trouve alors le pseudonyme Marie Dubois, en hommage à une héroïne d'un roman de l'écrivain et poète Jacques Audiberti, publié en 1952. Au cours de ce tournage, les premiers symptômes de sclérose en plaques se déclarent, alors qu'elle n'a que 23 ans. Elle veut oublier cette première alerte pour tourner avec les réalisateurs de la Nouvelle Vague. Elle joue dans Une femme est une femme de Jean-Luc Godard, Jules et Jim de François Truffaut et La Ronde de Roger Vadim.
Elle devient aussi une actrice populaire dans des films de Georges Lautner, Henri Verneuil ou Édouard Molinaro. En 1964, elle est la fille de Jean Gabin dans L'Âge ingrat, aux côtés de Fernandel et de son fils Franck Fernandel. En 1965, elle joue dans Les Grandes Gueules avec Bourvil et Lino Ventura.
En 1966, elle accède réellement à la notoriété grâce à son rôle de Juliette dans la comédie La Grande Vadrouille de Gérard Oury, dans laquelle sa blondeur et ses yeux bleus font chavirer le c½ur de Bourvil. Le film, grand succès populaire à l'époque, bat le record du nombre d'entrées en salle . Elle retrouve ensuite Jean-Paul Belmondo dans Le Voleur, sous la direction de Louis Malle, puis donne la réplique à Michel Simon dans l'un de ses derniers films, Ce sacré grand-père. En 1969, elle fait partie de la distribution internationale de Gonflés à bloc avec Tony Curtis, Jack Hawkins, Peter Cook, Bourvil et Terry Thomas où elle campe une féministe aux côtés de Mireille Darc.
En 1972, l'Académie nationale du cinéma lui donne le prix d'interprétation pour son rôle d'Alice dans Les Arpenteurs. Un autre succès populaire arrive ensuite : Vincent, François, Paul et les autres de Claude Sautet en 1974. Elle obtient la reconnaissance de ses pairs en 1978 lorsqu'elle reçoit le César de la meilleure actrice dans un second rôle pour sa prestation dans le film La Menace d'Alain Corneau, dans lequel elle incarne une femme jalouse.
Après le tournage, sa sclérose en plaques reprend, vingt ans après les premières alertes. Elle ralentit, dès lors, son activité cinématographique, n'apparaissant plus que dans des rôles de second plan aussi bien à la télévision qu'au cinéma. En 2001, elle s'engage publiquement dans la lutte contre la sclérose en plaques, en témoignant dans un film de campagne réalisé par Alain Corneau. Le 3 novembre 2007, elle perd son mari Serge Rousseau, agent et acteur de cinéma, avec qui elle était mariée depuis 1961, le père de sa fille Dominique.
Elle meurt le 15 octobre 2014 dans une maison de retraite de Lescar, près de Pau. Elle est inhumée au cimetière de Ville-d'Avray.
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Raymond Poincaré, né le 20 août 1860 à Bar-le-Duc (Meuse) et décédé le 15 octobre 1934 à Paris, fut un homme d'État français. Ministre à plusieurs reprises, président du Conseil des ministres puis président de la République de 1913 à 1920, Raymond Poincaré fut l'une des plus grandes figures politiques de la IIIe République. Il fut également l'un des personnages centraux de la Première Guerre mondiale, conflit durant lequel il appela « le Tigre », Georges Clemenceau, à la présidence du Conseil, en 1917.
Raymond Poincaré en 1914
Raymond Poincaré est le fils d'un ingénieur des Ponts et Chaussées. Par ailleurs, il est l'arrière-petit-fils d'un député ayant exercé ses fonctions sous le règne de Louis-Philippe; il est également le petit-fils du doyen de la faculté de médecine. Il est enfin le cousin du mathématicien et savant Henri Poincaré.
Formé à la politique par Jules Develle dont il est, pendant dix-huit mois, directeur de cabinet au ministère de l'Agriculture en 1886, élu ensuite conseiller général du canton de Pierrefitte dans la Meuse, Poincaré se forge une réputation de républicain modéré et conciliant dès son premier mandat de député de la Meuse en 1887. Cela n'empêche pas ce fils de polytechnicien, entré avec réticence sur la scène politique, de s'y imposer rapidement. Après des études à Nancy puis à la faculté de droit de Paris, il entre au barreau de Paris en tant que stagiaire en 1879 ; il est nommé premier secrétaire de la Conférence du barreau de Paris et devient secrétaire de Me Henry du Buit, célèbre avocat d'affaires. En 1883, il prononce un discours à l'ouverture de la Conférence des Avocats dans lequel il fait l'éloge du républicain Jules Dufaure, ancien bâtonnier et ex-président du Conseil décédé deux ans auparavant : « S'il est à souhaiter que l'éloge d'un mort illustre éveille chez nous le désir de l'imiter, le simple récit de la vie de Dufaure contiendra, je crois, pour notre génération, un précieux exemple de travail, d'indépendance et de dignité . » (Éloge de Dufaure à l'ouverture de la Conférence des Avocats 1883 Barreau de Paris) En 1895, il ouvre son propre cabinet, qui obtient rapidement un grand succès et détient une clientèle très prestigieuse pour les affaires de presse, les affaires littéraires—il est notamment l'avocat de l'écrivain Jules Verne—et le droit des sociétés. Poincaré a parmi ses clients les plus grandes entreprises industrielles et financières du moment.
Il entre en politique en 1887, en se faisant élire député de la Meuse. En 1892, il est rapporteur de la commission des Finances, au moment du scandale de Panamá, et est réélu l'année suivante. À trente-six ans, il a déjà été trois fois ministre : de l'Instruction publique (1893), sous Dupuy, puis des Finances dans le second cabinet Dupuy, après la victoire électorale des modérés (1894-1895), et de nouveau chargé de l'Instruction publique, dans le cabinet Ribot, en 1895. Il est partisan de la laïcité mais éloigné de l'anticléricalisme radical. Il prône en effet une « école neutre », dont la vocation serait de produire de vrais patriotes. Poincaré devient alors l'un des leaders en vue des modérés, qui arborent l'étiquette « progressiste » qui a remplacé l'ancienne appellation d'« opportunisme » utilisée par Gambetta et Jules Ferry. Au fil du temps, ces « républicains progressistes » évoluent du centre gauche vers le centre droit, suivant le phénomène du sinistrisme. Durant l'affaire Dreyfus, il adopte une attitude prudente. Il fait d'abord partie de ceux qui souhaitent étouffer un scandale qu'ils jugent contraire à la raison d'État. Il se rallie finalement au camp dreyfusard, plus par légalisme que par conviction.
Bien que républicain et laïque - signe sûr, à la Belle Époque, d'une appartenance à la gauche - Poincaré demeure cependant prudent envers les gauches, et reste très modéré. En juin 1899, le président de la République Émile Loubet le pressent comme président du Conseil. Mais il n'arrive pas à mettre d'accord les différentes tendances républicaines pour composer un gouvernement, tandis que Clemenceau déclarait : « Le don de Poincaré n'est pas à dédaigner : c'est l'intelligence. Il pourrait faire remarquablement à côté de quelqu'un qui fournirait le caractère »
Raymond Poincaré.
Aussi Poincaré conseille-t-il à Loubet d'appeler plutôt Waldeck-Rousseau, qui forme un cabinet de Défense républicaine. Néanmoins, Poincaré s'oppose à celui-ci, et plus encore, après la victoire du Bloc des gauches aux élections de 1902, à la politique anticléricale d'Émile Combes. En tant que membre de l'Alliance libérale démocratique (centre-droit), il soutient cependant, de façon générale, le cabinet combiste. Plus tard, c'est au Sénat que Poincaré décida de se présenter. Élu sénateur de la Meuse en 1903, il quitte ses fonctions en 1913, date à laquelle il est élu à l'Élysée, puis reprend ses fonctions en 1920 et ce jusqu'en 1934, date de son décès. En 1906, Clemenceau, qui juge pourtant Poincaré un peu trop mou — c'est lui qui aurait inventé l'expression « poincarisme » dans son hebdomadaire Le Bloc du 15 mars 1902 — lui propose néanmoins d'entrer dans son gouvernement. Poincaré, peut-être par animosité, s'y refuse. Belle consécration, il est élu à l'Académie française en 1909, et est également professeur aux écoles HEI-HEP.
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En janvier 1912, il est nommé président du Conseil et forme un gouvernement de républicains modérés avec Briand aux Affaires étrangères ; Théophile Delcassé à la Marine ; Jules Pams à l'Agriculture ; Albert Lebrun aux Colonies et Léon Bourgeois au Travail et à la Prévoyance sociale. Du 6 au 12 août 1912, il est en visite officielle en Russie dans le cadre de l'alliance franco-russe et assiste à des revues militaires.
Poincaré au front.
L'élection présidentielle de janvier 1913
Alors que le mandat présidentiel d'Armand Fallières touche à sa fin, Poincaré se présente comme candidat à l'élection présidentielle de janvier 1913. Le président du Conseil est en lice face au président de la Chambre, Paul Deschanel, et au président du Sénat, Antonin Dubost. Avec Clemenceau, les radicaux soutiennent Jules Pams, le ministre de l'Agriculture, une personnalité considérée comme effacée et dont la candidature vise essentiellement à contrer Poincaré.
Selon la tradition républicaine, un scrutin préparatoire a lieu pour choisir le candidat du « camp républicain » ; les « modérés » (républicains de droite) d'un côté, de l'autre les socialistes, refusent toutefois d'y participer. Au troisième tour, Pams l'emporte avec 323 voix contre 309 pour Poincaré, classé à gauche à l'époque (dreyfusard, laïc, il s'était marié civilement). La discipline républicaine aurait voulu que, battu à ces primaires, il se retire, et c'est ce que lui demande une délégation conduite par Combes et Clemenceau.
Mais Poincaré refuse, sachant que lors du scrutin officiel, il serait soutenu par la droite républicaine : il se présente donc à Versailles, et est élu le 17 janvier 1913 au deuxième tour, avec 482 voix contre 296 à Pams et 69 pour le socialiste Édouard Vaillant. Clemenceau conservera une rancune tenace contre Poincaré pour n'avoir pas respecté la discipline républicaine, que lui-même respectera lors de l'élection présidentielle de 1920.
L'Élysée (1913 - 1920)
Son mandat de chef de l'État va évidemment être marqué par la Première Guerre mondiale, pendant laquelle il est l'artisan de l'Union Sacrée politique et sociale, aux côtés de René Viviani, d'Aristide Briand puis de Georges Clemenceau. Avec Briand et Clemenceau, et contre Jaurès et la SFIO, il soutient la loi des trois ans, votée en juillet 1913.
Son rôle dans le déclenchement de la guerre est controversé : il aurait poussé à la fermeté la Russie lors de son voyage officiel du 13 au 23 juillet 1914 en Russie, afin de renforcer les alliances deux semaines après l'attentat de Sarajevo. Le 4 août, son message est communiqué aux Chambres par Viviani : la France « sera héroïquement défendue par tous ses fils, dont rien ne brisera devant l'ennemi, l'Union sacrée, et qui sont aujourd'hui fraternellement assemblés dans une même indignation contre l'agresseur, et dans une même foi patriotique ». Il n'hésite pas, parfois au péril de sa vie, à venir au front (essentiellement dans la Meuse et dans la Somme) afin de juger du moral des troupes et des populations déplacées. Il visite à plusieurs reprises la partie de l'Alsace redevenue française dès le 7 août 1914 : au Col de la Schlucht, à Thann, Masevaux, Saint-Amarin et Dannemarie entre le 11 février 1915 et le 10 avril 1916.
Fin 1917, il nomme le radical-socialiste Clemenceau, qu'il n'apprécie guère mais dont il admire la fermeté de caractère, comme président du Conseil. Son rôle devient alors plus discret, et il se plaint même, dans ses écrits, d'être mis de côté. Il conserve toutefois une certaine influence : selon l'historien Michel Winock, une certaine forme de cohabitation se met en place entre les deux hommes.
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Dès 1920, alors que son mandat n'est pas achevé, il se fait élire sénateur de la Meuse. Aristide Briand ayant démissionné de la Présidence du Conseil à la suite des critiques subies du fait de ses prises de position en matière de politique étrangère à la Conférence de Cannes, Poincaré accepte de redevenir président du Conseil en janvier 1922, à la demande du Président de la République Alexandre Millerand.
Face à l'Allemagne qui refuse de payer les « réparations de guerre », Raymond Poincaré a recours à la force, faisant occuper la Ruhr. Mais sa politique de rigueur budgétaire le rend impopulaire et, en 1924, après la victoire du Cartel des gauches, il doit présenter sa démission, tout comme le président Millerand. On le rappelle à la tête du gouvernement en 1926, devant l'ampleur de la crise financière. Il forme alors un cabinet d'union nationale, en conservant Briand aux Affaires étrangères, et en revenant à une politique d'austérité financière ; le franc Germinal est remplacé par le franc Poincaré d'une valeur cinq fois moindre, dévaluation qui se borne à entériner le change réel. Malade et fatigué, il démissionne et se retire de la scène publique en 1929. Mort à Paris en 1934, il est inhumé à Nubécourt (Meuse), dans son département natal.
Mandats électifs
Député de la Meuse (1887-1903) Sénateur de la Meuse (1903-1913 puis 1920-1934) Président de la République (1913-1920) Conseiller général de la Meuse : 1886-1913 / 1920-1934 Président du Conseil général de la Meuse : 1910-1913
Fonctions gouvernementales
Ministre de l'Instruction publique en 1893 puis en 1895. Ministre des Finances en 1894. Il fut cinq fois président du Conseil : du 14 janvier 1912 au 21 janvier 1913, cumule ces fonctions avec les Affaires étrangères du 15 janvier 1922 au 29 mars 1924 cumule ces fonctions avec les Affaires étrangères 29 mars 1924 au 1er juin 1924 du 23 juillet 1926 au 6 novembre 1928 cumule ces fonctions avec les Finances du 11 novembre 1928 au 20 juillet 1929
Décorations
Grand-croix de la Légion d'honneur en 1913 en tant que président de la République. Grand-Maître de la Légion d'honneur de 1913 à 1920 Chevalier de l'ordre de la Toison d'or (Espagne) en 1913
¼uvres de Raymond Poincaré
Du droit de suite dans la propriété mobilière, 1883. Idées contemporaines, 1906. Questions et figures politiques, 1907. Messages, discours, allocutions, lettres et télégrammes (1914-1919), 1919. Histoire politique, chroniques de quinzaine, 4 vol. , 1921-22. Au service de la France, neuf années de souvenirs, 1926-1934. L'Invasion 1914, Paris, Plon (livre tiré à 100 exemplaires qui retrace le septennat du président). Ce que demande la cité, Hachette, 1911. Vingt textes de Raymond Poincaré extraits de la revue pour enfants "Au seuil de la vie" (Hachette, 1910). Réédition en 2010 aux Éditions Nouvelles Mémoires (voir bibliographie).
Bibliographie
Henry Girard, Raymond Poincaré, chez lui, au Parlement, à l'Élysée, A. Méricant, 1913 René Dumesnil, Poincaré, Flammarion, vers 1930 Gaston Gros, Mr. Poincaré mémorialiste (sa psychologie), Ed. Baudinière, 1930 Dr. Georges Samné, Raymond Poincaré, Politique et personnel de la IIIe République, Les ½uvres représentatives, 1933 Fernand Payen, Raymond Poincaré, chez lui, au Parlement, au Palais, Grasset, 1936 Jacques Chastenet, Raymond Poincaré, Julliard, 1948 Pierre Miquel, Raymond Poincaré, Paris, Fayard, 1961.(Prix Broquette-Gonin de l'Académie française) Pierre Miquel, Les Souvenirs de Raymond Poincaré, publication critique du XIe tome avec Jacques Bariéty, Plon, 1973 Daniel Amson, Raymond Poincaré, l'acharné de la politique, Tallandier, 1997 John Keiger, Raymond Poincaré, Cambridge, Cambridge University Press, 1997 S. Jeannesson, Poincaré, la France et la Ruhr (1922-1924), histoire d'une occupation, Presses universitaires de Strasbourg, 1998 François Roth, Raymond Poincaré, Paris, Fayard, 2000 Alain Ostenga et Christian Gérini, "Raymond Poincaré. Ce que demande la cité", Pierrefeu du Var, Éditions Nouvelles Mémoires, diffusion : HDiffusion, 6 rue de la Sorbonne, 75005 Paris, 2010.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (44.200.174.97) si quelqu'un porte plainte.
Sandra Kim, de son vrai nom Sandra Caldarone, est une chanteuse belge née le 15 octobre 1972 à Montegnée (entité de Saint-Nicolas, près de Liège). Elle est l'aînée des deux filles de Giuseppe Caldarone et Anna Capobianco. Sa s½ur porte le prénom de Barbara en hommage à Barbra Streisand. Italienne de naissance, issue de la troisième génération de l'immigration italienne, elle prend la nationalité belge à 18 ans, selon les possibilités légales. Sa famille paternelle est originaire de la province de Chieti, dans les Abruzzes, en Italie centrale et sa mère est d'origine napolitaine. Encore Italienne, elle est choisie par Michel Daerden à Namur pour représenter la Belgique au concours Eurovision de la chanson qui doit avoir lieu en Norvège, le 3 mai 1986. C'est donc à 13 ans et demi qu'elle l'emporte avec la chanson J'aime la vie. La limite d'âge du concours ayant été fixée plus tard à 15 ans, elle demeure la plus jeune gagnante de l'histoire du concours, et son record ne sera jamais battu à moins d'un changement dans les règles. Elle est également l'une des deux dernières francophones avec Céline Dion à emporter le concours. Après cette victoire, Sandra Kim sera également choisie pour interpréter le générique de la série Il était une fois... la Vie. Après un début intense durant 2 ans et demi (mai 1986 – fin 1988), pendant les albums J'aime la Vie et Bien dans ma peau, sa carrière a connu des hauts et des bas, et son image fut souvent réduite au succès de J'aime la vie. Elle a plus tard confié aux journalistes qu'elle se sentait a posteriori étouffée par le succès de cette chanson. Au début des années 1990, elle a co-présenté Dix qu'on aime avec Alain Simons sur RTL-TVI, puis elle a fait partie pendant deux saisons du jury de l'émission Pour la gloire sur la RTBF. En 1990, Sandra Kim a chanté devant le roi Baudouin Ier à l'occasion des fêtes organisées pour son 60e anniversaire et le 40e anniversaire de son règne. Elle chantait avec le chanteur flamand Luc Steeno (nl) la chanson J'aime mon pays / Ik hou van mijn land. Elle a déménagé en Flandre où son succès a perduré depuis les années 1990 et elle continue de chanter, notamment dans le cadre de spectacles collectifs, le dernier en date étant le projet Souldivaz, trois chanteuses reprenant des standards de la soul music. Mariée une première fois avec Olivier Gérard en 1994 et divorcée un an et demi après, elle s'est remariée avec Jurgen Delanghe le 24 décembre 2001. Elle a parfois confié à la presse sa tristesse de ne pouvoir donner naissance à un enfant, malgré plusieurs tentatives médicalement assistées. En mai 2011, alors qu'elle n'avait plus sorti d'album depuis 1998, elle sort un nouveau CD dans le genre pop rock. Il s'appelle Make-Up
Discographie
Albums
1986 : J'aime la vie 1988 : Bien dans ma peau 1991 : Balance tout (Fr) & Met open ogen (Nl) 1993 : Les Sixties (Fr) & Sixties (Nl) 1997 : Onvergetelijk 1998 : Heel diep in mijn hart 2011 : Make Up
45 tours / Singles
1985 : Ami ami / Aspettami
Du 1er album 1986 : J'aime la vie (Fr) / Instrumental (before Eurosong Contest 1986 ) 1986 : J'aime la vie (Fr) / Crazy of life & J'aime la vie (Fr) / Ne m'oublie pas (Eurosong Winner) 1986 : Tokyo Boy (Fr) / Envie de tout donner 1987 : Sorry (Fr) / Sûre de moi 1987 : Laurence / Magic (Fr) 1987 : Hymne à la vie (Il était une fois ... la vie)
Du 2e album 1988 : Souviens-toi / Jimmy (Fr) 1988 : J'aime mon pays - Ik hou van mijn land / J'ai tout balancé 1988 : Berlin (Fr) / Trains de nuit & Berlino / Treno di notte 1989 : Coup de c½ur / Reste avec moi
Entre 2 albums 1989 : Malagueña (Fr) / Instrumenta(a)l & Malagueña (english) / Instrumenta(a)l (45 tours + Maxi 45 tours) 1990 : Slow moi, rock moi / J'aime mon pays & Bel me, schrijf me / Ik hou van mijn land
Des 3e albums 1991 : Look infernal / Instrumental = Dans / Instrumenta(a)l 1991 : Hou me vast / Me laisse pas 1991 : J'ai pas fini de t'aimer 1991 / Nee laat me nooit alleen 1992 : Je t'ai dans la peau / Instrumental = Jij beheerst mij totaal / Instrumenta(a)l 1992 : Reprends ta place / Kom terug bij mij
Des 4e albums 1992 : Je veux ma part de rêve / Ik wil alleen maar dromen 1993 : Qu'est-ce que tu fais ce soir / Wat doe jij vanavond 1993 : Il faut s'aimer plus fort / Dit is vast weer zo'n dag 1993 : Je t'ai tout donné / Wil je eeuwig van mij houden
Du 5e album 1997 : Al camino de la vida (Sandra Kim & Fr. Galan) / Un tango argentino (Fr. Galan) & Door veel van mij te houden / Al camino de la vida (pochettes - B : Door... / NL : Al camino) 1997 : Mijn Lieveling / Mi Corazon (pochettes - B : Mijn Lieveling / NL : Mi corazon)
Du 6e album 1997 : Hou van mij / De liefste (Belgium) & Aime moi / Hou van mij (Netherlands) 1998 : Casser le blues / Je m'envolerai & Jij hoort bij mij / Voor jou Barbara 1998 : Heel diep in mijn hart / Voor jou Barbara 1998 : Helemaal alleen / Ik wil je nooit meer kwijt 1998 : Un jour, une femme / Een teken van jou (Pays-Bas)
Derniers singles 1999 : Enkel voor een dag / Doe dat nog een keertje met mij 2001 : Vivere uguale / Italian Mix ( = Vivere uguale remix) 2001 : J'ai pas fini de t'aimer (2001) / Instrumenta(a)l 2006 : Dancing in the street / It takes two (Spectacle Souldivaz)
Du 7e album 2010 : Anyway the wind blows 2011 : Make Up
Hors-série 1988 : Album Tura 2000 : Chanson Omdat ik van je hou 1990 : Album Kerstfeest in Vlaanderen (Nl) : Chanson Stille nacht 1998 : Album Vlaamse artiesten zingen Disney (Nl) : Chanson Belle en het Beest 2001 : Album Musicals from the Heart : Chanson What a feeling 2002 : Album Il était une fois... la vie (réédition) : Chanson Hymne à la vie 2003 : Album Musicals from the Heart II : Chansons Lady Marmelade, Memory et You're the one that I want
Bonne cause Clip 1986 : La drogue c'est nul avec Lou Deprijk et Muriel Dacq Croix-Rouge 1988 (artistes dont Lara Fabian) : Album Besoin de toi qui que tu sois (Chanson Universalité) Levenslijn 1990 - Artiesten tegen kanker : Chanson Samen leven Télévie 1991 - Artistes : Chanson On a toujours quelqu'un avec soi Télévie 1992 - Speakers RTL-TVI : Chanson On a toujours quelqu'un avec soi Levenslijn 1992 - Artiesten met een hart : Chanson Hand in hand Levenslijn 1998 - Artiesten met een hart : Chanson De weg naar je hart 1999 : Helmut Lotti & Sandra Kim & Paul Michiels - Chanson Song for Kosovo 2004 : Campagne Amnesty International contre la violence envers les femmes : On en a marre et Sandra marraine2 Le dernier enregistrement connu est l'album Make Up sorti en mai 2011.
Spectacles
Ces dernières années, Sandra s'est davantage consacrée à des galas ou à des spectacles de comédies musicales. Début 1999 : Les Misérables (comédie musicale) à Anvers. 2001-2002 : Musicals from the Heart (medley de comédies musicales). 2003-2004 : Musicals from the Heart II (medley de comédies musicales — suite).
Elle a entamé depuis mars 2006 un spectacle soul avec deux autres chanteuses, Alana Dante et Micha Marah : Souldivaz. Elle souhaiterait monter un spectacle sur les chansons de son idole, Barbra Streisand.
Sandra Kim : Gagnant du Concours Eurovision de la chanson 1986
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Elena Viatcheslavovna Dementieva (en russe, Елена Вячеславовна Дементьева) est une joueuse de tennis russe née le 15 octobre 1981 à Moscou, professionnelle de 1998 à 2010. Elle est mariée au joueur de hockey sur glace Maksim Afinoguenov depuis juillet 2011.
Le sommet de la carrière de Dementieva survient le 17 août 2008 lorsqu'elle remporte la médaille d'or aux Jeux olympiques de Pékin. Elle avait déjà été médaillée d'argent en 2000 lors des Jeux olympiques de Sydney. Durant sa carrière, elle a gagné seize titres en simple sur le circuit WTA (pour seize finales perdues) et six autres en double dames.
Elle parle trois langues : russe, anglais et français.
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