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13 articles taggés 28 février 2011

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Annie Girardot : Une grande actrice


Annie Girardot : Une grande actrice

Annie Girardot (Annie Suzanne Girardot) est une actrice française,
née le 25 octobre 1931 à Paris (10e) et morte dans cette ville le 28 février 2011
Elle suit des études d'infirmière à Caen pour être sage-femme comme sa mère . Mais , rapidement , elle se consacre à sa passion , la comédie . Élève au conservatoire de la rue Blanche dès 1949 , Annie Girardot fait , parallèlement , des apparitions , le soir , dans des cabarets . . .
Elle obtient son premier grand rôle en 1955 dans" treize à table " Taille 1m63

Annie Girardot : Une grande actrice

Annie Girardot : Une grande actrice

Annie Girardot : Une grande actrice
Tags : Cinéma, Annie Girardot, Actrice, 25 octobre 1931, 1931, Annie, 28 février 2011, 28 février, 2011, Chanteuse, Musique
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#Posté le dimanche 21 avril 2013 15:38

Modifié le lundi 29 avril 2013 04:57

Annie Girardot : Naissance



Annie Girardot : Naissance

Annie Girardot est née à Paris de père inconnu (un homme marié qui ne la reconnaîtra pas et qui mourra alors qu'elle est âgée de 2 ans) et d'une mère sage-femme (Raymonde Noële Félicie Girardot). Elle suit des études d'infirmière à Caen pour être sage-femme comme sa mère. Mais, rapidement, elle se consacre à sa passion, la comédie.

Annie Girardot : Naissance

Élève au conservatoire de la rue Blanche dès 1949, Annie Girardot fait, parallèlement, des apparitions, le soir, dans des cabarets (La Rose rouge, à Montmartre, sous le pseudonyme d'Annie Girard, ou au Lapin agile), et participe à des revues telles Dugudu avec la troupe de Robert Dhéry, dans laquelle elle côtoie d'autres futurs « grands » : Michel Serrault, Jean Poiret, Jacqueline Maillan...

Annie Girardot : Naissance

En juillet 1954, elle sort du Conservatoire national supérieur d'art dramatique avec deux prix, et elle est engagée peu après à la Comédie-Française. Son interprétation de La Machine à écrire, en 1956, aux côtés de Robert Hirsch, est particulièrement remarquée par Jean Cocteau, qui voit en elle « le plus beau tempérament dramatique de l'après-guerre »

Annie Girardot : Naissance
Tags : Cinéma, Actrice, 25 octobre 1931, 1931, Paris, Annie Girardot, Annie, 28 février 2011, 28 février, 2011, Chanteuse, Musique
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#Posté le dimanche 21 avril 2013 15:39

Modifié le lundi 29 avril 2013 04:57

Annie Girardot : Ses premières apparitions



Ses premières apparitions au cinéma sont moins éclatantes, dans des films mineurs, mais elle tient remarquablement tête à Jean Gabin dans deux bonnes séries noires : Le rouge est mis et Maigret tend un piège.

Elle démissionne finalement en 1960 du Français à contrec½ur pour se consacrer essentiellement au cinéma et tourner pour le film de Luchino Visconti, Rocco et ses frères, qui fait d'elle une star, aux côtés d'autres débutants tels que Alain Delon (qui restera à jamais un ami fidèle de la comédienne), Renato Salvatori ou Claudia Cardinale. Mais, sur les planches, elle sera encore dirigée par le réalisateur italien pour Deux sur la balançoire aux côtés de Jean Marais. Elle connaît un triomphe, en 1974, avec Madame Marguerite, qui devient son rôle-fétiche, qu'elle reprendra plusieurs fois jusqu'en 2002.

Annie Girardot : Ses premières apparitions

Dans les années 1960, Annie Girardot n'est pas sollicitée par les réalisateurs de la Nouvelle Vague, mais tourne avec des réalisateurs confirmés comme Alexandre Astruc (La Proie pour l'ombre), Roger Vadim (Le Vice et la Vertu, avec la débutante Catherine Deneuve), Gérard Oury (Le crime ne paie pas) ou encore Marcel Carné (Trois chambres à Manhattan). C'est d'ailleurs sur le tournage de ce dernier film qu'a débuté Robert de Niro, qui dira d'Annie Girardot : « Elle est la plus belle femelle mec que je connaisse »

Partageant sa vie entre la France et l'Italie, Annie Girardot tourne également avec de nombreux réalisateurs italiens comme Marco Ferreri, qui lui fera tenir le rôle surprenant d'une femme singe, phénomène de foire, dans Le Mari de la femme à barbe, film audacieux qui provoquera un scandale lors de sa présentation au Festival de Cannes 1964. Elle tourne aussi avec Mario Monicelli (Les Camarades, avec Marcello Mastroianni) et les frères Taviani (Les Hors-la-loi du mariage).

En 1971 sort Mourir d'aimer, film d'André Cayatte, qui va révolutionner la carrière de la comédienne. Inspiré de l'affaire Gabrielle Russier, ce film raconte l'histoire d'amour entre une enseignante et un des élèves lycéen ; une histoire dérangeante qui fera l'objet d'un procès retentissant et conduira l'enseignante au suicide. Ce film est un énorme succès avec près de six millions d'entrées en France, mais ne plaît pas à tout le monde. Ainsi, François Truffaut écrit une lettre ouverte, dénonçant la façon très démagogique, selon lui, avec laquelle André Cayatte a traité cette affaire. Ce rôle reste cependant comme l'un des plus marquants de la comédienne, lui assurant même une reconnaissance internationale.

À partir de là, elle devient l'actrice française la plus populaire, alternant comédies et mélodrames, n'hésitant pas, à l'occasion, à aider de jeunes cinéastes à tourner leur premier film. Grâce à elle, et à Philippe Noiret, surgit l'une des comédies les plus insolites de cette époque, La Vieille Fille, en 1971, signée Jean-Pierre Blanc. Le spécialiste des comédies Serge Korber l'engage pour son prémier drame, Les feux de la Chandeleur en 1972, où elle incarne une mère de deux enfants adultes (Claude Jade, Bernard Le Coq) qui tente de reconquérir son ex-mari (Jean Rochefort). De Vivre pour vivre en 1967 à On a volé la cuisse de Jupiter en 1980, Annie Girardot a contribué grâce à son interprétation de « femme normale et populaire » à imposer vingt films millionnaires au box-office. D'ailleurs, à cette époque, à chaque sortie d'un nouveau film, on allait voir « la Girardot » au cinéma : à la fin des années 1970, elle est l'actrice la mieux payée et la star préférée des Français.

Sa rencontre avec Michel Audiard sera déterminante dans sa carrière. Le dialoguiste fera d'elle une des principales interprètes de ses films lorsqu'il passe à la réalisation. Ainsi devient-elle une femme de ménage trop bavarde dans Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause ! puis une femme régnant sur un bidonville et spécialisée dans le trafic de saintes reliques dans Elle cause plus, elle flingue. Il lui ouvre alors les portes de la comédie, elle qui jusqu'alors été cantonnée aux rôles plus dramatiques.

Annie Girardot : Ses premières apparitions

En 1974, elle remporte un énorme succès au box-office dans La Gifle de Claude Pinoteau. Dans ce film, elle incarne l'ex-femme de Lino Ventura et la mère d'une débutante nommée Isabelle Adjani. Sa maîtrise approximative de l'anglais donnera lieu à quelques scènes et répliques cultes dans le film.

Elle reçoit, en 1977, le César de la meilleure actrice pour Docteur Françoise Gailland de Jean-Louis Bertucelli, autre film marquant dans la carrière de la comédienne. Elle y incarne une femme médecin luttant contre un cancer des poumons.

En 1978, elle partage l'affiche de La Zizanie de Claude Zidi avec un acteur pour lequel elle a une immense admiration : Louis de Funès. Les deux acteurs rêvaient de tourner ensemble depuis quelques années. Ce sera malheureusement leur unique collaboration.

Durant les années 1970, elle forme avec Philippe Noiret, rencontré sur Le Rendez-vous en 1961, un véritable couple de cinéma. Ensemble, ils tourneront, La Vieille Fille en 1971, La Mandarine en 1972, Tendre poulet en 1977 et On a volé la cuisse de Jupiter en 1980 (ils seront également tous les deux à l'affiche de Souvenirs, souvenirs en 1984 mais ils n'ont aucune scène commune). Ils devaient se retrouver en 2001 dans un film de Bertrand Blier intitulé Tête de n½ud, mais le film ne verra jamais le jour.

La gouaille d'Annie Girardot est souvent mise au service de films mettant en avant les femmes et le féminisme, et elle incarne alors cette cause en interprétant une série de rôles qui jouent sur le décalage de personnages assumant des métiers d'ordinaire réservés aux hommes : médecin, chauffeur de taxi, reporter-photographe, commissaire de police, etc. À travers ses rôles, elle défend des causes comme la lutte contre le cancer, le droit à l'avortement, le droit à la parité.

En 1979, elle est de nouveau nommée aux Césars, dans la catégorie meilleure actrice, pour le film La Clé sur la porte d'Yves Boisset. Fatiguée d'endosser toujours les mêmes rôles, Annie Girardot désire faire une pause dans sa carrière cinématographique. Elle commence par tenir une rubrique à la radio en 1981 dans une émission de Stéphane Collaro sur Europe 1. Tous les jours, dans Paroles de femmes, elle fait le récit d'aventures quotidiennes exceptionnelles, drôles, inquiétantes ou émouvantes, réellement arrivées à des femmes.

Puis, l'actrice décide de se lancer dans l'enregistrement d'un disque. C'est Bob Decout qui est chargé d'en écrire les chansons. Il devient finalement le compagnon de l'actrice en 1981. Cette relation l'entraîne vers un univers différent : la musique. Elle chante lors d'une émission de Jacques Chancel, puis monte avec Bob Decout un spectacle musical intitulé Revue et corrigée sur des musiques de Catherine Lara et avec des costumes de Jean-Paul Gaultier au Casino de Paris (alors en passe d'être transformé en parking). Considérée comme bancale, la production ne trouve pas de financement et Annie Girardot doit hypothéquer son appartement de la place des Vosges. Le spectacle est un fiasco et ne reste qu'un mois à l'affiche. Girardot enchaîne avec une pièce de théâtre et un film qui ne fonctionnent pas plus. Ces échecs la plongent dans un grand désarroi moral et financier, accentués par le décès de sa mère et les problèmes de drogue de sa fille.

Annie Girardot se tourne alors davantage vers le théâtre, jouant ainsi L'Avare de Molière aux côtés de son ami Michel Serrault, Première Jeunesse avec Odette Joyeux, ou encore Le roi se meurt de Ionesco avec Daniel Ivernel. En 1987, la télévision lui permet de retrouver le chemin des plateaux. Elle devient la vedette de la toute première saga de l'été diffusée sur TF1 : Le Vent des moissons. Le succès est immense et l'année suivante, c'est elle joue dans une nouvelle saga, Orages d'été, aux côtés de Patachou. Dès lors, elle tournera de nombreux téléfilms, assurant à chaque fois aux chaînes de télévision de beaux succès d'audience.

Annie Girardot : Ses premières apparitions

Au début des années 1990, les propositions se font rares, seule sa participation au film de Bertrand Blier, Merci la vie, se faisant remarquer. Elle tourne également pour Gérard Mordillat (Toujours seuls) et incarne la mère farfelue de Catherine Jacob dans la comédie Les Braqueuses de Jean-Paul Salomé, en 1994.

En 1974, elle remporte un énorme succès au box-office dans La Gifle de Claude Pinoteau. Dans ce film, elle incarne l'ex-femme de Lino Ventura et la mère d'une débutante nommée Isabelle Adjani. Sa maîtrise approximative de l'anglais donnera lieu à quelques scènes et répliques cultes dans le film.

Elle reçoit, en 1977, le César de la meilleure actrice pour Docteur Françoise Gailland de Jean-Louis Bertucelli, autre film marquant dans la carrière de la comédienne. Elle y incarne une femme médecin luttant contre un cancer des poumons.

En 1978, elle partage l'affiche de La Zizanie de Claude Zidi avec un acteur pour lequel elle a une immense admiration : Louis de Funès. Les deux acteurs rêvaient de tourner ensemble depuis quelques années. Ce sera malheureusement leur unique collaboration.

Durant les années 1970, elle forme avec Philippe Noiret, rencontré sur Le Rendez-vous en 1961, un véritable couple de cinéma. Ensemble, ils tourneront, La Vieille Fille en 1971, La Mandarine en 1972, Tendre poulet en 1977 et On a volé la cuisse de Jupiter en 1980 (ils seront également tous les deux à l'affiche de Souvenirs, souvenirs en 1984 mais ils n'ont aucune scène commune). Ils devaient se retrouver en 2001 dans un film de Bertrand Blier intitulé Tête de n½ud, mais le film ne verra jamais le jour.

La gouaille d'Annie Girardot est souvent mise au service de films mettant en avant les femmes et le féminisme, et elle incarne alors cette cause en interprétant une série de rôles qui jouent sur le décalage de personnages assumant des métiers d'ordinaire réservés aux hommes : médecin, chauffeur de taxi, reporter-photographe, commissaire de police, etc. À travers ses rôles, elle défend des causes comme la lutte contre le cancer, le droit à l'avortement, le droit à la parité.

Annie Girardot : Ses premières apparitions

En 1979, elle est de nouveau nommée aux Césars, dans la catégorie meilleure actrice, pour le film La Clé sur la porte d'Yves Boisset. Fatiguée d'endosser toujours les mêmes rôles, Annie Girardot désire faire une pause dans sa carrière cinématographique. Elle commence par tenir une rubrique à la radio en 1981 dans une émission de Stéphane Collaro sur Europe 1. Tous les jours, dans Paroles de femmes, elle fait le récit d'aventures quotidiennes exceptionnelles, drôles, inquiétantes ou émouvantes, réellement arrivées à des femmes.

Puis, l'actrice décide de se lancer dans l'enregistrement d'un disque. C'est Bob Decout qui est chargé d'en écrire les chansons. Il devient finalement le compagnon de l'actrice en 1981. Cette relation l'entraîne vers un univers différent : la musique. Elle chante lors d'une émission de Jacques Chancel, puis monte avec Bob Decout un spectacle musical intitulé Revue et corrigée sur des musiques de Catherine Lara et avec des costumes de Jean-Paul Gaultier au Casino de Paris (alors en passe d'être transformé en parking). Considérée comme bancale, la production ne trouve pas de financement et Annie Girardot doit hypothéquer son appartement de la place des Vosges. Le spectacle est un fiasco et ne reste qu'un mois à l'affiche. Girardot enchaîne avec une pièce de théâtre et un film qui ne fonctionnent pas plus. Ces échecs la plongent dans un grand désarroi moral et financier, accentués par le décès de sa mère et les problèmes de drogue de sa fille.

Annie Girardot se tourne alors davantage vers le théâtre, jouant ainsi L'Avare de Molière aux côtés de son ami Michel Serrault, Première Jeunesse avec Odette Joyeux, ou encore Le roi se meurt de Ionesco avec Daniel Ivernel. En 1987, la télévision lui permet de retrouver le chemin des plateaux. Elle devient la vedette de la toute première saga de l'été diffusée sur TF1 : Le Vent des moissons. Le succès est immense et l'année suivante, c'est elle joue dans une nouvelle saga, Orages d'été, aux côtés de Patachou. Dès lors, elle tournera de nombreux téléfilms, assurant à chaque fois aux chaînes de télévision de beaux succès d'audience.

Au début des années 1990, les propositions se font rares, seule sa participation au film de Bertrand Blier, Merci la vie, se faisant remarquer. Elle tourne également pour Gérard Mordillat (Toujours seuls) et incarne la mère farfelue de Catherine Jacob dans la comédie Les Braqueuses de Jean-Paul Salomé, en 1994.
Tags : Cinéma, Actrice, 25 octobre 1931, 1931, Annie, Annie Girardot, 28 février 2011, 28 février, 2011, Chanteuse, Musique
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#Posté le dimanche 21 avril 2013 15:39

Modifié le lundi 29 avril 2013 04:57

Annie Girardot : Après une traversée du désert



Après une traversée du désert de plusieurs années, l'obtention en 1996 du César de la meilleure actrice dans un second rôle, pour Les Misérables, de Claude Lelouch, lui permet de « retrouver sa place ». Lors de la remise de son César à la 21e cérémonie, les larmes aux yeux, elle provoque l'émotion avec ces paroles : « Je ne sais pas si j'ai manqué au cinéma français, mais à moi, le cinéma français a manqué follement... éperdument... douloureusement. Et votre témoignage, votre amour, me font penser que peut-être, je dis bien peut-être, je ne suis pas encore tout à fait morte. ». L'année suivante, elle est la présidente de la 22e cérémonie.

Annie Girardot : Après une traversée du désert


En 2002, elle remporte à nouveau le César de la meilleure actrice dans un second rôle, pour son interprétation de la mère castratrice d'Isabelle Huppert (qui avait déjà joué sa fille dans Docteur Françoise Gailland) dans La Pianiste de Michael Haneke. Michael Haneke fera de nouveau appel à elle en 2005 pour incarner la mère de Daniel Auteuil dans Caché.

La fin des années 2000 sera marquée par de petits rôles dans quelques films (Le Temps des porte-plumes avec Jean-Paul Rouve, Boxes avec Jane Birkin).

Annie Girardot : Après une traversée du désert


Le 20 septembre 2006, on apprend par son avocat Me Emmanuel Asmar, chargé de ses intérêts, qu'Annie Girardot est atteinte de la maladie d'Alzheimer, ce que confirme l'édition du 21 septembre de l'hebdomadaire Paris Match, dans lequel la fille, Giulia Salvatori, et la petite-fille de l'actrice, Lola Vogel, révèlent sa maladie.

Annie Girardot : Après une traversée du désert

Malgré cela, la comédienne continue à jouer au théâtre : de 2001 à 2003, elle reprend la pièce Madame Marguerite à Paris et en tournée, et, pour pallier les éventuels trous de mémoire, elle est équipée d'une oreillette destinée à lui souffler son texte. C'est avec ce même procédé qu'elle continuera à participer au tournage de plusieurs films comme Je préfère qu'on reste amis... (2005), où elle interprète - ironie du sort - une femme atteinte de la maladie d'Alzheimer. Les rôles sont plus courts et adaptés (peu de scènes physiques), mais les réalisateurs sont conciliants. La comédienne « revit » lorsqu'elle est sur un plateau de tournage et, le temps d'une scène, la maladie s'efface.

Annie Girardot : Après une traversée du désert

En 2007, sa fille Giulia Salvatori publie, avec le journaliste Jean-Michel Caradec'h, une biographie intitulée La Mémoire de ma mère (éditions Michel Lafon), où elle consigne les souvenirs de sa mère.


À partir de 2008, Annie Girardot vit dans une maison médicalisée de Paris. Le 21 septembre 2008, TF1 diffuse Annie Girardot, ainsi va la vie, un film documentaire de Nicolas Baulieu filmant huit mois de sa vie, avec Claire Keim en voix off. On y découvre sa vision du passé et les effets de la maladie.


Tags : Cinéma, Actrice, 25 octobre 1931, 1931, Annie, 28 février 2011, 28 février, 2011, Chanteuse, Musique, Annie Girardot
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Annie Girardot

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Tags : Cinéma, Actrice, 25 octobre 1931, 1931, Annie, Annie Girardot, dessinsagogo55, 28 février 2011, 28 février, 2011, Chanteuse, Musique
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#Posté le dimanche 21 avril 2013 15:40

Modifié le lundi 29 avril 2013 04:57

Annie Girardot



Ses premières apparitions au cinéma sont moins éclatantes, dans des films mineurs, mais elle tient remarquablement tête à Jean Gabin dans deux bonnes séries noires : Le rouge est mis et Maigret tend un piège.

Elle démissionne finalement en 1960 du Français à contrec½ur pour se consacrer essentiellement au cinéma et tourner pour le film de Luchino Visconti, Rocco et ses frères, qui fait d'elle une star, aux côtés d'autres débutants tels que Alain Delon (qui restera à jamais un ami fidèle de la comédienne), Renato Salvatori ou Claudia Cardinale. Mais, sur les planches, elle sera encore dirigée par le réalisateur italien pour Deux sur la balançoire aux côtés de Jean Marais. Elle connaît un triomphe, en 1974, avec Madame Marguerite, qui devient son rôle-fétiche, qu'elle reprendra plusieurs fois jusqu'en 2002.

Annie Girardot

Dans les années 1960, Annie Girardot n'est pas sollicitée par les réalisateurs de la Nouvelle Vague, mais tourne avec des réalisateurs confirmés comme Alexandre Astruc (La Proie pour l'ombre), Roger Vadim (Le Vice et la Vertu, avec la débutante Catherine Deneuve), Gérard Oury (Le crime ne paie pas) ou encore Marcel Carné (Trois chambres à Manhattan). C'est d'ailleurs sur le tournage de ce dernier film qu'a débuté Robert de Niro, qui dira d'Annie Girardot : « Elle est la plus belle femelle mec que je connaisse »

Partageant sa vie entre la France et l'Italie, Annie Girardot tourne également avec de nombreux réalisateurs italiens comme Marco Ferreri, qui lui fera tenir le rôle surprenant d'une femme singe, phénomène de foire, dans Le Mari de la femme à barbe, film audacieux qui provoquera un scandale lors de sa présentation au Festival de Cannes 1964. Elle tourne aussi avec Mario Monicelli (Les Camarades, avec Marcello Mastroianni) et les frères Taviani (Les Hors-la-loi du mariage).

En 1971 sort Mourir d'aimer, film d'André Cayatte, qui va révolutionner la carrière de la comédienne. Inspiré de l'affaire Gabrielle Russier, ce film raconte l'histoire d'amour entre une enseignante et un des élèves lycéen ; une histoire dérangeante qui fera l'objet d'un procès retentissant et conduira l'enseignante au suicide. Ce film est un énorme succès avec près de six millions d'entrées en France, mais ne plaît pas à tout le monde. Ainsi, François Truffaut écrit une lettre ouverte, dénonçant la façon très démagogique, selon lui, avec laquelle André Cayatte a traité cette affaire. Ce rôle reste cependant comme l'un des plus marquants de la comédienne, lui assurant même une reconnaissance internationale.

Annie Girardot

À partir de là, elle devient l'actrice française la plus populaire, alternant comédies et mélodrames, n'hésitant pas, à l'occasion, à aider de jeunes cinéastes à tourner leur premier film. Grâce à elle, et à Philippe Noiret, surgit l'une des comédies les plus insolites de cette époque, La Vieille Fille, en 1971, signée Jean-Pierre Blanc. Le spécialiste des comédies Serge Korber l'engage pour son prémier drame, Les feux de la Chandeleur en 1972, où elle incarne une mère de deux enfants adultes (Claude Jade, Bernard Le Coq) qui tente de reconquérir son ex-mari (Jean Rochefort). De Vivre pour vivre en 1967 à On a volé la cuisse de Jupiter en 1980, Annie Girardot a contribué grâce à son interprétation de « femme normale et populaire » à imposer vingt films millionnaires au box-office. D'ailleurs, à cette époque, à chaque sortie d'un nouveau film, on allait voir « la Girardot » au cinéma : à la fin des années 1970, elle est l'actrice la mieux payée et la star préférée des Français.

Sa rencontre avec Michel Audiard sera déterminante dans sa carrière. Le dialoguiste fera d'elle une des principales interprètes de ses films lorsqu'il passe à la réalisation. Ainsi devient-elle une femme de ménage trop bavarde dans Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause ! puis une femme régnant sur un bidonville et spécialisée dans le trafic de saintes reliques dans Elle cause plus, elle flingue. Il lui ouvre alors les portes de la comédie, elle qui jusqu'alors été cantonnée aux rôles plus dramatiques.

Annie Girardot

En 1974, elle remporte un énorme succès au box-office dans La Gifle de Claude Pinoteau. Dans ce film, elle incarne l'ex-femme de Lino Ventura et la mère d'une débutante nommée Isabelle Adjani. Sa maîtrise approximative de l'anglais donnera lieu à quelques scènes et répliques cultes dans le film.

Elle reçoit, en 1977, le César de la meilleure actrice pour Docteur Françoise Gailland de Jean-Louis Bertucelli, autre film marquant dans la carrière de la comédienne. Elle y incarne une femme médecin luttant contre un cancer des poumons.

En 1978, elle partage l'affiche de La Zizanie de Claude Zidi avec un acteur pour lequel elle a une immense admiration : Louis de Funès. Les deux acteurs rêvaient de tourner ensemble depuis quelques années. Ce sera malheureusement leur unique collaboration.

Durant les années 1970, elle forme avec Philippe Noiret, rencontré sur Le Rendez-vous en 1961, un véritable couple de cinéma. Ensemble, ils tourneront, La Vieille Fille en 1971, La Mandarine en 1972, Tendre poulet en 1977 et On a volé la cuisse de Jupiter en 1980 (ils seront également tous les deux à l'affiche de Souvenirs, souvenirs en 1984 mais ils n'ont aucune scène commune). Ils devaient se retrouver en 2001 dans un film de Bertrand Blier intitulé Tête de n½ud, mais le film ne verra jamais le jour.

La gouaille d'Annie Girardot est souvent mise au service de films mettant en avant les femmes et le féminisme, et elle incarne alors cette cause en interprétant une série de rôles qui jouent sur le décalage de personnages assumant des métiers d'ordinaire réservés aux hommes : médecin, chauffeur de taxi, reporter-photographe, commissaire de police, etc. À travers ses rôles, elle défend des causes comme la lutte contre le cancer, le droit à l'avortement, le droit à la parité.

En 1979, elle est de nouveau nommée aux Césars, dans la catégorie meilleure actrice, pour le film La Clé sur la porte d'Yves Boisset. Fatiguée d'endosser toujours les mêmes rôles, Annie Girardot désire faire une pause dans sa carrière cinématographique. Elle commence par tenir une rubrique à la radio en 1981 dans une émission de Stéphane Collaro sur Europe 1. Tous les jours, dans Paroles de femmes, elle fait le récit d'aventures quotidiennes exceptionnelles, drôles, inquiétantes ou émouvantes, réellement arrivées à des femmes.

Puis, l'actrice décide de se lancer dans l'enregistrement d'un disque. C'est Bob Decout qui est chargé d'en écrire les chansons. Il devient finalement le compagnon de l'actrice en 1981. Cette relation l'entraîne vers un univers différent : la musique. Elle chante lors d'une émission de Jacques Chancel, puis monte avec Bob Decout un spectacle musical intitulé Revue et corrigée sur des musiques de Catherine Lara et avec des costumes de Jean-Paul Gaultier au Casino de Paris (alors en passe d'être transformé en parking). Considérée comme bancale, la production ne trouve pas de financement et Annie Girardot doit hypothéquer son appartement de la place des Vosges. Le spectacle est un fiasco et ne reste qu'un mois à l'affiche. Girardot enchaîne avec une pièce de théâtre et un film qui ne fonctionnent pas plus. Ces échecs la plongent dans un grand désarroi moral et financier, accentués par le décès de sa mère et les problèmes de drogue de sa fille.

Annie Girardot se tourne alors davantage vers le théâtre, jouant ainsi L'Avare de Molière aux côtés de son ami Michel Serrault, Première Jeunesse avec Odette Joyeux, ou encore Le roi se meurt de Ionesco avec Daniel Ivernel. En 1987, la télévision lui permet de retrouver le chemin des plateaux. Elle devient la vedette de la toute première saga de l'été diffusée sur TF1 : Le Vent des moissons. Le succès est immense et l'année suivante, c'est elle joue dans une nouvelle saga, Orages d'été, aux côtés de Patachou. Dès lors, elle tournera de nombreux téléfilms, assurant à chaque fois aux chaînes de télévision de beaux succès d'audience.

Au début des années 1990, les propositions se font rares, seule sa participation au film de Bertrand Blier, Merci la vie, se faisant remarquer. Elle tourne également pour Gérard Mordillat (Toujours seuls) et incarne la mère farfelue de Catherine Jacob dans la comédie Les Braqueuses de Jean-Paul Salomé, en 1994.

En 1974, elle remporte un énorme succès au box-office dans La Gifle de Claude Pinoteau. Dans ce film, elle incarne l'ex-femme de Lino Ventura et la mère d'une débutante nommée Isabelle Adjani. Sa maîtrise approximative de l'anglais donnera lieu à quelques scènes et répliques cultes dans le film.

Elle reçoit, en 1977, le César de la meilleure actrice pour Docteur Françoise Gailland de Jean-Louis Bertucelli, autre film marquant dans la carrière de la comédienne. Elle y incarne une femme médecin luttant contre un cancer des poumons.

En 1978, elle partage l'affiche de La Zizanie de Claude Zidi avec un acteur pour lequel elle a une immense admiration : Louis de Funès. Les deux acteurs rêvaient de tourner ensemble depuis quelques années. Ce sera malheureusement leur unique collaboration.

Durant les années 1970, elle forme avec Philippe Noiret, rencontré sur Le Rendez-vous en 1961, un véritable couple de cinéma. Ensemble, ils tourneront, La Vieille Fille en 1971, La Mandarine en 1972, Tendre poulet en 1977 et On a volé la cuisse de Jupiter en 1980 (ils seront également tous les deux à l'affiche de Souvenirs, souvenirs en 1984 mais ils n'ont aucune scène commune). Ils devaient se retrouver en 2001 dans un film de Bertrand Blier intitulé Tête de n½ud, mais le film ne verra jamais le jour.

La gouaille d'Annie Girardot est souvent mise au service de films mettant en avant les femmes et le féminisme, et elle incarne alors cette cause en interprétant une série de rôles qui jouent sur le décalage de personnages assumant des métiers d'ordinaire réservés aux hommes : médecin, chauffeur de taxi, reporter-photographe, commissaire de police, etc. À travers ses rôles, elle défend des causes comme la lutte contre le cancer, le droit à l'avortement, le droit à la parité.

Annie Girardot

En 1979, elle est de nouveau nommée aux Césars, dans la catégorie meilleure actrice, pour le film La Clé sur la porte d'Yves Boisset. Fatiguée d'endosser toujours les mêmes rôles, Annie Girardot désire faire une pause dans sa carrière cinématographique. Elle commence par tenir une rubrique à la radio en 1981 dans une émission de Stéphane Collaro sur Europe 1. Tous les jours, dans Paroles de femmes, elle fait le récit d'aventures quotidiennes exceptionnelles, drôles, inquiétantes ou émouvantes, réellement arrivées à des femmes.

Puis, l'actrice décide de se lancer dans l'enregistrement d'un disque. C'est Bob Decout qui est chargé d'en écrire les chansons. Il devient finalement le compagnon de l'actrice en 1981. Cette relation l'entraîne vers un univers différent : la musique. Elle chante lors d'une émission de Jacques Chancel, puis monte avec Bob Decout un spectacle musical intitulé Revue et corrigée sur des musiques de Catherine Lara et avec des costumes de Jean-Paul Gaultier au Casino de Paris (alors en passe d'être transformé en parking). Considérée comme bancale, la production ne trouve pas de financement et Annie Girardot doit hypothéquer son appartement de la place des Vosges. Le spectacle est un fiasco et ne reste qu'un mois à l'affiche. Girardot enchaîne avec une pièce de théâtre et un film qui ne fonctionnent pas plus. Ces échecs la plongent dans un grand désarroi moral et financier, accentués par le décès de sa mère et les problèmes de drogue de sa fille.

Annie Girardot se tourne alors davantage vers le théâtre, jouant ainsi L'Avare de Molière aux côtés de son ami Michel Serrault, Première Jeunesse avec Odette Joyeux, ou encore Le roi se meurt de Ionesco avec Daniel Ivernel. En 1987, la télévision lui permet de retrouver le chemin des plateaux. Elle devient la vedette de la toute première saga de l'été diffusée sur TF1 : Le Vent des moissons. Le succès est immense et l'année suivante, c'est elle joue dans une nouvelle saga, Orages d'été, aux côtés de Patachou. Dès lors, elle tournera de nombreux téléfilms, assurant à chaque fois aux chaînes de télévision de beaux succès d'audience.

Au début des années 1990, les propositions se font rares, seule sa participation au film de Bertrand Blier, Merci la vie, se faisant remarquer. Elle tourne également pour Gérard Mordillat (Toujours seuls) et incarne la mère farfelue de Catherine Jacob dans la comédie Les Braqueuses de Jean-Paul Salomé, en 1994.
Tags : Annie Girardot, Actrice, Cinéma, Cinéma A, Annie Suzanne Girardot, (4), 25 octobre 1931, 28 février 2011, 1931, 2011, 25 octobre, 28 février, Décès, Annie
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#Posté le vendredi 13 juillet 2012 07:00

Modifié le samedi 01 mars 2014 00:18

Annie Girardot

Annie Girardot (Annie Suzanne Girardot) est une actrice française,
née le 25 octobre 1931 à Paris (10e) et morte dans cette ville le 28 février 2011
Elle suit des études d'infirmière à Caen pour être sage-femme comme sa mère . Mais , rapidement , elle se consacre à sa passion , la comédie . Élève au conservatoire de la rue Blanche dès 1949 , Annie Girardot fait , parallèlement , des apparitions , le soir , dans des cabarets . . .
Elle obtient son premier grand rôle en 1955 dans" treize à table " Taille 1m63

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#Posté le dimanche 25 octobre 2020 02:00

Jane Russell

Jane Russell (née Ernestine Jane Geraldine Russell, le 21 juin 1921 à Bemidji dans le Minnesota aux États-Unis et morte le 28 février 2011 à Santa Maria en Californie) est une actrice américaine.

Jane Russell
Tags : Jane Russell, Ernestine Jane Geraldine Russell, 21 juin 1921, 21 juin, 1921, Bemidji, Décès, 28 février 2011, 28 février, 2011, Actrice
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#Posté le dimanche 16 août 2015 17:01

Jane Russell

 Jane Russell
 
Filmographie
Cinéma
1943 : Le Banni d'Howard Hughes : Rio McDonald
1946 : L'Esclave du souvenir d'Edwin L. Marin : Joan Kenwood
1948 : Visage pâle de Norman Z. McLeod : Calamity Jane
1951 : Fini de rire de John Farrow : Lenore Brent
1951 : Une veine de... d'Irving Cummings : Mildred Goodhue
1952 : Scandale à Las Vegas (The Las vegas story) de Robert Stevenson : Linda Rollins
1952 : Le Paradis des mauvais garçons de Josef von Sternberg : Julie Benson
1952 : Le Fils de visage pâle de Frank Tashlin : Mike Delroy
1952 : La Femme aux revolvers d'Allan Dwan : Belle Star
1952 : En route vers Bali d'Hal Walker : Cameo
1953 : Les hommes préfèrent les blondes d'Howard Hawks : Dorothy Shaw
1953 : French Line de Lloyd Bacon : Mary Carson
1955 : La Vénus des mers chaudes de John Sturges : Theresa Gray
1955 : La Muraille d'or de Joseph Pevney : Amanda Lawrence
1955 : Les hommes épousent les brunes de Richard Sale : Bonnie Jones/Mimi Jones
1955 : Les Implacables de Raoul Walsh : Nella Turner
1956 : L'Ardente Gitane de Nicholas Ray : Annie Caldash
1956 : Bungalow pour femmes de Raoul Walsh : Mamie Stover
1957 : Kidnapping en dentelles (The Fuzzy Pink Night Gown) de Norman Taurog : Laurel Stevens
1965 : La Loi des hors-la-loi (Waco) de R. G. Springsteen : Jill Stone
1966 : Toute la ville est coupable de R. G. Springsteen : Nona Williams
1967 : Le Credo de la violence de T. C. Frank : Mme Shorn
1970 : La Loi du talion (Darker than Amber) de Robert Clouse : Alabama Tigress
1970 : Cauliflower Cupids : Nira DiLaurento
1975 : The Godfather and the Lady : Nira DiLaurento
 
Télévision
 
1959 : Westinghouse Desilu Playhouse (série) : Lili Travers
1959 et 1963 : The Red Skelton Show (série) : Lillian Martin / Clara Appleby III
1960 : Les Aventuriers du Far-West (série) : Mary Taylor
1984 : The Yellow Rose (série) : Rose Hollister
1986 : Rick Hunter (série) : Ava Fontaine
 
Distinctions
 

 

Jane Russell reçoit en 1989 le « Women's International Center (WIC) Living Legacy Award ».
Ses empreintes de pieds et de mains sont immortalisées sur le parvis du Grauman's Chinese Theatre ; elle a d'autre part été honorée le 8 février 1960 par une étoile au Hollywood Walk of Fame, au 6850 Hollywood Boulevard
 
 
Hommages
 
En 2001, Renee Henderson fait un portrait de Jane Russell dans la série Blonde, tirée de la nouvelle de Joyce Carol Oates.
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jane_Russell
 
 
 
Tags : Jane Russell, 21 juin, 21 juin 1921, 1921, Décès, 28 février, 28 février 2011, 2011, Actrice, Chanteuse, Cinéma, Musique, dessinsagogo55
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#Posté le dimanche 28 février 2021 03:30

Jane Russell

Jane Russell

Jane Russell est une actrice et chanteuse américaine, née le 21 juin 1921 à Bemidji (Minnesota) et morte le 28 février 2011 à Santa Maria (Californie).
 
 
Jane Russell est la seule fille de Roy William Russell (5 janvier 1890 - 18 juillet 1937) et de Geraldine Jacobi (2 janvier 1891 - 26 décembre 1986). Suivront quatre frères : Thomas Ferris Russell (né le 16 avril 1924), Kenneth Steven Russell (né le 2 septembre 1925), James Hyatt Russell (né le 9 février 1927) et Wallace Jay Russell (né le 31 janvier 1929).
 
Trois de ses grands parents sont nés au Canada, alors que sa grand-mère maternelle est née en Allemagne. Ses deux parents sont nés dans l'état du Dakota du Nord et se marient en 1917. Son père était lieutenant dans l'armée américaine et sa mère actrice dans une troupe ambulante. Alors que Jane était enfant, la famille déménage temporairement au Canada, puis dans la vallée de San Fernando en Californie du Sud. En 1930, les Russell vivent, à Burbank en Californie. Le père y travaille alors comme directeur d'une manufacture de savon.
 
La mère de Jane s'occupe de lui trouver des leçons de piano. En plus de la musique, Jane aime le théâtre et participe à des mises en scène à la Van Nuys High School. À ses débuts, elle voulait devenir styliste. À la mort de son père (à l'âge de 46 ans), Jane n'a que seize ans. Elle se décide à travailler comme réceptionniste. Elle est aussi modèle pour quelques photographes et, sur l'insistance de sa mère, étudie l'art dramatique avec la troupe de Max Reinhardt dont faisait partie la célèbre actrice russe Maria Ouspenskaïa
 
 
En 1940, Jane Russell signe un contrat de sept ans avec le millionnaire Howard Hughes et fait ses grands débuts dans Le Banni (The Outlaw) en 1943, où son visage somptueux est remarqué. Bien que le film soit tourné en 1941, il n'est diffusé que deux ans plus tard, pour un public limité, en raison de la censure qui trouvait sa poitrine un peu trop avantageusement filmée. Le film est enfin autorisé pour le grand public en 1946. À ce moment-là, l'actrice tournant des publicités, devient célèbre.
 
Contrairement à ce que disent régulièrement les médias de l'époque et ceux d'aujourd'hui encore, lors du tournage du Banni, Jane ne porte pas de sous-vêtements spéciaux, destinés à mettre sa poitrine en valeur, alors qu'Howard Hughes en a spécialement fait faire pour ce film. Dans son autobiographie publiée en 1988, elle affirme que le soutien-gorge de Hughes n'était pas du tout confortable et qu'elle préférait tourner avec le sien, les bretelles tombantes.
 
Aux côtés de Lana Turner et de Rita Hayworth, Jane Russell affirme de mieux en mieux son style sensuel, profitant de ses mensurations avantageuses, 90D-61-91 (38D-24-36 en mensurations US) pour 1,70 m. Malgré les railleries venant de la radio et des comiques, notamment Bob Hope qui la présente comme « the two and only Jane Russell » (« la double et unique Jane Russell »), ses photos assombries sur fond de botte de foin, sa jeunesse, sa sensualité, sa poitrine, ses corsages et sa beauté, en font une des pin-ups favorites auprès des soldats américains lors de la Seconde Guerre mondiale.
 
Bien que Le Banni ne soit pas un western spectaculaire, il a les honneurs du box office. Le seul intérêt d'Howard Hughes est sa nouvelle recrue, le film étant la vitrine de son incroyable visage. Elle refuse par la suite d'interpréter le rôle de Doña Sol dans Arènes sanglantes (Blood and sand) de Darryl F. Zanuck (le rôle fut confié à Rita Hayworth).
 
Elle ne tourne pas d'autre film jusqu'en 1946, où elle joue Joan Kenwood dans L'Esclave du souvenir (Young Widow) pour la RKO Pictures. Bien que ses premiers films ne rendent pas tellement justice à son jeu d'actrice, ils aident à orienter sa carrière vers une élégance que l'on peut définir par un mélange de cynisme et de simplicité.
 
En 1947, elle tente de se lancer dans une carrière musicale, elle enregistre un disque avec l'orchestre de Kay Kyser : As Long As I Live. Elle joue avec talent de nombreux rôles, dont Calamity Jane aux côtés de Bob Hope dans Visage pâle (The Pale face, 1948) et avec Mike Delroy dans Le Fils de visage pâle (Son of Paleface, 1952), le tout, sous contrat avec la Paramount Pictures.
 
 
Jane Russell arrive au sommet de sa carrière comique avec le rôle de Dorothy Shaw dans Les hommes préfèrent les blondes de 1953 avec Marilyn Monroe, à la 20th Century Fox, probablement son meilleur rôle. Le film a eu et a toujours un énorme succès et la révéla comme actrice de talent.
 
 
Elle apparaît dans deux films aux côtés de Robert Mitchum : Fini de rire (His kind of woman) (1951) et Le Paradis des mauvais garçons (Macao) (1952). D'autres grandes stars furent à ses côtés : Frank Sinatra et Groucho Marx dans la comédie Une veine de... (Double dynamite) (1951) ; Victor Mature, Vincent Price et Hoagy Carmichael dans Scandale à Las Vegas (The Las vegas story) (1952) ; Jeff Chandler dans La Muraille d'or (Foxfire) (1955) ; Clark Gable et Robert Ryan dans Les Implacables (The Tall man) (1955).
 
La production d'Howard Hughes, French line (The french line) (1954) montre une Jane Russell pour l'une des dernières fois dans un maillot de bain une pièce, avec une coupe toutefois stratégique, dont elle tire avantage en exécutant un numéro provocateur, intitulé Lookin' for Trouble. Dans son autobiographie, elle révèle que ce maillot de bain n'était qu'une alternative à la suggestion initiale d'Howard Hughes qu'était le bikini, un choix osé pour un film de 1954. L'actrice affirme avoir initialement porté le bikini devant les techniciens alors « horrifiés », tout en se sentant très dénudée.
 
Jane Russell et son premier mari, ancien quarterback au football américain, Bob Waterfield, fondent la Russ-Field productions en 1955. Ils produisent Les hommes épousent les brunes (Gentlemen marry brunettes, 1955), Le Roi et Quatre Reines (The King and Four Queens, 1956) avec Clark Gable et Eleanor Parker, ainsi que Run for the Sun (1956) et The Fuzzy Pink Nightgown (1957).
 
Ses apparitions dans Les hommes épousent les brunes avec Jeanne Crain et dans le drame Bungalow pour femmes (The Revolt of Mamie Stover) (1956) mettent en valeur son jeu d'actrice. Cependant, à la suite de Kidnapping en dentelles (The Fuzzy pink night gown, 1957) qui ne tient pas le haut de l'affiche, elle n'apparaît plus à l'écran pendant sept ans.
 
En octobre 1957, Jane Russell commence un numéro dans un célèbre nightclub de Las Vegas, le Sands Hotel. Elle signe par la suite des tournées aux États-Unis, au Canada, au Mexique, en Amérique du Sud et en Europe. À l'été 1961, elle fait ses débuts dans Janus[Quoi ?]. À la fin de l'année, elle se produit à Chicago au Drury Lane Theatre. En novembre 1962 elle est à l'affiche de Bells Are Ringing à New York.
 
Dans le film Fate Is the Hunter (1964), elle joue son propre rôle. Seuls quatre autres films suivent. En 1971, elle joue dans la comédie musicale Company on Broadway où elle remplace Elaine Stritch.
 
En 1985 elle écrit son autobiographie : Jane Russell: My Path and My Detours.
 
 
 
 
Vie privée et mort
 
Bien que son image à l'écran fut celle d'une pin-up provocante, la vie privée de Jane Russell ne connaissait pas de scandales, contrairement à ce qui se passait pour certaines autres actrices de cette époque (Lana Turner par exemple).
 
L'actrice s'est mariée trois fois : avec Bob Waterfield, un ancien joueur de football américain entré au Hall of Fame (mariés le 24 avril 1943, divorcés en juillet 1968), avec l'acteur Roger Barrett (mariés le 25 août 1968, décédé le 18 novembre 1968) et enfin avec l'agent immobilier John Calvin Peoples (mariés le 31 janvier 1974, décédé le 9 août 1999), avec qui elle vécut à Sedona en Arizona.
 
Dans son autobiographie de 1985, elle révèle qu'elle fut enceinte à l'âge de 19 ans. S'ensuivit un avortement illégal qui fut si mal mené que sa vie fut en danger pendant quelques jours. En l'examinant aux urgences de l'hôpital, un médecin s'exclama : « Quel boucher vous a fait ça !? » Après ces évènements, Jane Russell fut incapable d'enfanter. Elle milita alors contre l'avortement. En février 1952, elle et Bob Waterfield adoptent une petite fille, Tracy, puis un bébé de 15 mois, Thomas ; en 1956, ils adoptent un bébé de neuf mois, Robert John. En 1955, elle fonde la « World Adoption International Fund » (WAIF), une organisation chargée de placer les enfants dans les familles qui fait beaucoup pour l'adoption d'enfants étrangers par les Américains.
 

Dans son autobiographie, elle dit avoir échappé à deux tentatives de viol sans traumatisme. Elle affirme aussi que son premier mariage fut détruit par des soupçons d'adultère (des deux côtés) et par la violence, mais aussi qu'elle était alcoolique dès son adolescence. Elle révèle que la religion chrétienne l'a aidée à se reconstruire.
 
Alors qu'elle est au sommet de sa carrière, elle fonde le « Hollywood Christian Group » qui se rassemble une fois par semaine chez elle pour étudier la Bible. De grandes célébrités s'y rendent.
 
Républicaine engagée, elle participe à la campagne et à l'élection de « Ike » Eisenhower aux côtés de Lou Costello, Dick Powell, June Allyson, Anita Louise, Louella Parsons et d'autres personnalités conservatrices.
 
Jane Russell meurt le 28 février 2011 à Santa Maria (Californie) à l'âge de 89 ans
 
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jane_Russell
 
Tags : Jane Russell, 21 juin, 21 juin 1921, 1921, Décès, 28 février, 28 février 2011, 2011, Actrice, Chanteuse, Cinéma, Musique, dessinsagogo55
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