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162 articles taggés Voiture

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Ferrari 599 GTB

Ferrari 599 GTB Fiorano est une voiture de sport produite par le constructeur italien Ferrari. Apparue en 2006, elle remplace les Ferrari 575M GTC et Ferrari 575M Maranello commercialisées en 2002, et succède, plus généralement, à la lignée des Ferrari 550 Maranello introduite en 1996.


Ferrari 599 GTB


Ferrari 599 GTB


L'appellation « Fiorano » évoque le nom de la piste d'essais privée de Ferrari, le circuit de Fiorano, construit en 1972 près de Maranello, et sur laquelle les voitures de la marque sont testées.
La Fiorano est du type « Grand Tourisme Berlinette » (GTB) qui, chez Ferrari, désigne une voiture de sport deux-places.
Le nombre 599 se réfère à la cylindrée totale du bloc, divisée par dix. Enfin, cette voiture est une dérivée de la Ferrari Enzo, dont elle garde le moteur, identique à 40 chevaux près.


La 599 GTB bénéficie d'innovations technologiques dérivées de l'expérience acquise en F1 et sa mise au point a été réalisée en collaboration avec Michael Schumacher :
Le V12 placé en position centrale avant est celui que l'on retrouve sous le capot des Ferrari Enzo et Ferrari FXX sur lesquelles il délivre respectivement 660 et 800 ch. Developpant ici 620 ch, il permet à la Ferrari 599 GTB de disposer de 105 ch de plus que la Ferrari 575M GTC.
La voiture est disponible avec une boîte de vitesses manuelle à six rapports ou une boîte type F1 avec les palettes au volant. Avec cette dernière les rapports se passent en 100 millièmes de seconde, à titre de comparaison une F1 effectue la même opération en 50 ms.
La voiture dispose d'un mode « LC » qui signifie « Launch Control » servant à effectuer des départs « canons » sans se préoccuper de doser l'accélérateur.
Déjà remarquablement aboutie sur la Ferrari 360 Modena, l'aérodynamique a été, une nouvelle fois, très travaillée, avec notamment des passages entre la vitre arrière et les montants pour améliorer le flux d'air.
Le nouveau châssis est entièrement en aluminium et bénéficie de la technique « Space Frame » permettant d'associer différents procédés d'assemblage et autorisant un gain de poids.
Le système de contrôle de traction, baptisé « F1-Trac » et dérivé de la F1, est une sorte de super antipatinage permettant de maîtriser l'arrivée de la puissance en optimisant l'adhérence lors d'accélérations.
Le nouveau système de suspension pilotée électroniquement, appelé « Sospensione a Controllo Magnetoreologico » ou SCM, suspension contrôlée selon une logique magnétique.
Tags : Ferrari 599 GTB, Voiture, Automobile, Transport
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#Posté le dimanche 30 juin 2013 06:31

Modifié le dimanche 05 juillet 2015 16:17

Minerva

 
Minerva
 
 
 
 
Landaulette, berline 1925
 
Minerva est une marque belge de bicyclettes, motocyclettes et automobiles créée en 1897 par Sylvain de Jong. La marque, très réputée jusqu'au milieu des années 1930, s'était progressivement spécialisée dans la production de voitures de luxe.
L'emblème de la marque est une tête de femme casquée, représentant la déesse romaine Minerve.
 
Le fondateur, Salomon, dit Sylvain, de Jong (1868-1928), né à Amsterdam (Pays-Bas) s'installe à Anvers (Belgique) où, en 1889, il ouvre un commerce de bicyclettes anglaises. En 1895, avec ses deux frères Henri et Jacques et deux commerçants anversois, il commence à fabriquer des bicyclettes sous le nom Mercury Cycle Co. Puis en 1897, De Jong crée sa propre entreprise, S. de Jong & Co, et change le nom de la marque en Minerva, d'après Minerve, la déesse romaine de la Sagesse. La firme est située Karel Oomsstraat à Anvers et ne tarde pas à produire 200 vélos par semaine
Elle se lance ensuite dans la fabrication de moteurs de motocyclettes dont le succès en fera le plus grand fournisseur d'Europe. En 1902, De Jong prend la licence de fabrication d'une motocyclette complète signée des Suisses Hermann Lüthi et Ernest Zürcher et connue sous la marque Zedel (Z.L. au début, initiales des noms des fabricants).
 
En 1902, la société De Jong & Co ajoute à sa production un modèle de voitures 6HP avec un moteur 4 cylindres de 6 ch. En 1903, il dissout sa société initiale et fonde à Londres la société anonyme Minerva Motors limited. Après la construction d'une nouvelle usine à Anvers, la production de voitures démarre réellement en 1904 avec des modèles équipés de moteurs de deux, trois et quatre cylindres avec un entraînement par chaîne latérale et un châssis en bois renforcé, ainsi qu'un modèle de cyclecar : la « Minervette ». En 1907, des Minerva occupent les trois premières places de la course belge du Circuit des Ardennes, dans sa formule Kaiserpreis, le baron John Moore-Brabazon remportant l'épreuve.
 
Un certain Charles Rolls, directeur commercial de Minerva en Angleterre pour le compte de David Citroën vend d'abord des motos, puis la luxueuse « 2,9 litres 14ch ». Le marché le plus important pour le fabricant restera l'Angleterre – où la petite « Minervette » à monocylindre de 636 cm3 était la voiture la moins chère sur le marché –, suivie des Pays-Bas et de la France.
 
En 1908, Minerva obtient la licence d'exclusivité mondiale pour les moteurs Knight (en). Le moteur Knight à doubles chemises-tiroirs développé aux États-Unis par Charles Yale Knight (de) était particulièrement silencieux ; toutes les futures Minerva utiliseront ces moteurs à partir de cette date.
 
Au nombre des clients de Minerva, on compte des rois, comme les rois des Belges, de Suède ou de Norvège, ainsi que des célébrités comme Henry Ford ou encore l'artiste belge Anna Boch.
 
Pendant la Première Guerre mondiale, Sylvain de Jong et ses ingénieurs partent s'installer à Amsterdam aux Pays-Bas, où ils maintiennent le développement de leurs voitures. Certaines d'entre elles sont utilisées par l'armée belge pour lancer des attaques contre l'armée allemande, au début avec des fusils et des mitrailleuses légères surmontant simplement les véhicules. Jusqu'à la fin de la guerre, ces véhicules deviendront en plus en plus sophistiqués, et des autos-canons belges participeront aux combats en Russie.
 
En 1920, De Jong revient en Belgique pour relancer la production de voitures de luxe avec les modèles « 20CV 3,6 litres » à 4 cylindres et « 30 CV 5,3 litres » à six cylindres. Le succès du fabricant augmente non seulement en Europe, mais également aux États-Unis où des stars de cinéma, des hommes politiques et des industriels apprécient ces voitures. La Minerva possédait les mêmes qualités que la Rolls-Royce, tout en étant légèrement moins chère.
En 1923, de plus petits modèles sont introduits : la quatre cylindres « 2 litres 15CV » et la six cylindres « 3,4 litres 20CV » équipées en standard de freins aux quatre roues. En 1927, la 30CV est remplacée par la « 6 litres AK » et un nouveau modèle motorisé par un 2 litres 6 cylindres, la « 12-14 », est produit.
Les voitures de luxe continuent d'être une spécialité de Minerva. En 1930, plusieurs modèles imposants font leur apparition, l'« AL » de 6,6 litres et l'« AP » de 4 litres. À cause de la crise, le dernier modèle Minerva, la « M4 » de 2 litres de 1934, se vendra mal et, cette année-même, la firme sera déclarée en faillite.
 
Après le rachat de l'actif de la Minerva Motors par Mathieu van Roggen en 1939 est fondée la Société Nouvelle Minerva, dont le siège social est situé à Sprimont, puis par la suite à Mortsel, dans la banlieue anversoise. Quelques utilitaires continuent à être fabriqués sous le nom Minerva dans les usines d'Impéria, également propriété de Van Roggen. La nouvelle société abandonne la production des moteurs sans soupapes système Knight qui avaient fait la réputation des Minerva.
 


Durant la Seconde Guerre mondiale, l'usine de Mortsel est réquisitionnée et chargée de la réparation de moteurs d'avion. Cela lui vaut d'être bombardée à plusieurs reprises.
 
En 1952, la société construit, sous licence Land Rover, des véhicules de type 4×4 pour le compte de l'armée belge. Quelques véhicules du même type sont livrés à des clients civils. La firme fabrique également sous licence des voitures Armstrong Siddeley et des scooters Agusta. À partir de 1956, elle tente de produire un 4×4 totalement innovant, mais il ne dépassera pas le stade du prototype.
 
Le projet initial était de créer une « General Motors » en Belgique, au départ d'Impéria, et de relancer Minerva, deux marques belges parmi les plus célèbres. Malheureusement, Van Roggen n'aura jamais les moyens – financiers notamment – de ses ambitions.
 
La firme est une nouvelle fois, et cette fois définitivement, déclarée en faillite en 1958.
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Minerva_(automobile)
 
Tags : Minerva, Automobile, Voiture, dessinsagogo55, Transport, 1897, Belgique
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#Posté le mardi 09 février 2021 05:00

Alpine A110


Alpine A110


 
 
 
L'Alpine A110 est une voiture sportive française développée par Jean Rédélé et fabriquée à Dieppe par Alpine entre 1962 et 1977 à partir de mécaniques Renault.
Célèbre sous la forme de berlinette, l'A110 a été championne des rallyes en 1971 et 1973.
Sur le marché français, l'auto entre dans la catégorie des CG 1200 S/1300 et Matra Djet.
 
L'Alpine A110 est introduite en 1962 au Salon de Paris comme une évolution de l'A108. Si l'A108 était conçue à partir de la Renault Dauphine, l'A110 utilise des pièces de Renault 8.
L'A110 bénéficie des pièces modifiées de la Renault 8 gordini et de son moteur trafiqué et toujours d'un châssis-poutre en acier avec une carrosserie en fibre de verre-polyester et d'un moteur en porte à faux arrière. La principale différence avec l'A108 est l'arrière agrandi pour pouvoir accueillir le nouveau moteur quatre cylindres Renault à cinq paliers, ceci lui donnant un style plus effilé.
Comme l'A108, l'A110 est disponible en berlinette « Tour de France » et en cabriolet. La nouvelle carrosserie du coupé 2+2 GT4 est fabriquée par Chappe et Gessalin.
La voiture a construit sa renommée internationale grâce à la compétition. Elle écume tous les rallyes nationaux et remporte de nombreuses victoires, sacrant plusieurs champions de France à son volant. Sa carrière internationale commence à la fin des années 1960 et se poursuit au début des années 1970 dans le nouveau championnat international de constructeurs en rallye.
Gagnant la majorité des épreuves en Europe, elle est la voiture de rallye la plus performante en 1971, début d'un historique unique dans le sport automobile face aux Porsche 911, Ford Escort Twin cam et Lancia Fulvia HF. Parmi ses victoires notables, l'A110 gagne le rallye de Monte Carlo avec le pilote suédois Ove Andersson. Les A110 de course, d'usine ou privées auront le meilleur préparateur du moment, le célèbre Marc Mignotet dont les moteurs étaient les plus performants, ceux-ci sont maintenant très recherchés dans les déclinaisons suivantes : en 1 296 cm3 (125 ch), 1 596 cm3 (155 ch), et 1 796 cm3 (175 ch) puis 1 860 cm3 (190 ch).
 
En 1973, après le rachat complet d'Alpine par Renault, le championnat international est remplacé par un nouveau championnat du monde des rallyes pour constructeurs. Renault décide d'y participer avec l'A110 et avec une équipe comprenant les pilotes Jean-Luc Thérier (trois succès), Jean-Claude Andruet (1), Bernard Darniche (1) et Jean-Pierre Nicolas (1). L'A110 1800 Groupe 41 gagne six des treize courses inscrites au programme mondial, faisant d'Alpine le premier champion du monde des rallyes. Ses quatre pilotes vainqueurs d'épreuves sont alors surnommés par les Anglo-saxons « Les mousquetaires d'Alpine-Renault ».
Le Groupe 4 permettait de nombreuses modifications, comme les boîtes de vitesses 364, 353 spéciales avec couple conique à la demande, avec ou sans autobloquants, le châssis renforcé avec poutre de treize centimètres, les triangles renforcés, la direction directe, le réservoir central, la lunette arrière en Plexiglas, les pare-chocs en polyester.
En 1974, face à la Lancia Stratos, première voiture conçue dès le début spécifiquement pour le rallye, avec moteur V6 Ferrari de 260 ch, il est évident que l'A110, qui a atteint la fin de son développement, est désormais dépassée. Les fameux développements moteur de Marc Mignotet, avec l'injection à guillotine, font cependant encore quelques beaux succès. Sur quelques voitures d'usine, une culasse à quatre soupapes par cylindre est adaptée en ultime développement (A110 bis de 220 ch). En compétition, elles sont engagées par l'usine et des équipages privés en Groupe 3, Groupe 4, et quelques-unes en Groupe 5.
La modification du châssis, avec l'utilisation de la suspension arrière à double triangulation de l'A310 sur la version SC, n'augmente pas les performances et est boudée par les pilotes, car modifiant trop le caractère de la voiture. L'A110 1600S reste la plus glorieuse en palmarès.
La cote des autos de compétition Groupe 4 fabriquées à l'époque (non réalisées actuellement...) est plus élevée que celle des autos de série, cela étant vérifiable facilement par le fait d'avoir un palmarès, officiel ou non.
La berlinette A110 est devenue l'auto mythique des succès français en rallye dans les années 1960 et 1970.
 
 
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Alpine_A110


Tags : Alpine, Alpine A110, Transport, Automobile, Voiture, dessinsagogo55, 1962
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#Posté le lundi 04 octobre 2021 05:00

Fiat 500 (1957) : Gif dessinsagogo55


Fiat 500 (1957) : Gif dessinsagogo55
Tags : Fiat, Fiat 500, Gif dessinsagogo55, Transport, Voiture, Automobile
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#Posté le jeudi 04 novembre 2021 06:00

Citroën SM

 
 Citroën SM
 
 
 
Citroën SM Cabriolet Chapron Mylord (1971)
 
 
 
 
 
La Citroën SM est une automobile sportive de grand tourisme, développée par le constructeur automobile français Citroën en mars 1970 Malgré diverses avancées techniques, elle a une carrière très courte qui s'achève en 1975. Elle reste pourtant un des modèles mythiques de la marque recherché par les collectionneurs.
 
La SM (pour projet S Maserati) est un grand coupé 2+2 ; les places arrière sont moins spacieuses mais restent néanmoins utilisables par deux adultes. Si le coffre est muni d'un hayon, les sièges arrière sont fixes. À l'avant, la planche de bord, au dessin épuré et futuriste et aux cadrans et volant ovoïdes, équipe également la Maserati Merak.
 
 
 
 

La suspension est hydropneumatique comme sur toutes les grandes Citroën depuis 1954. Ce type de suspension, conçu par l'ingénieur Paul Magès et son équipe, fut tout d'abord appliqué aux seules roues arrière de la Traction avant 15H (la fameuse « 15 oléo » à moteur 6 cylindres), puis le fut dès 1955 aux quatre roues cette fois-ci, sur la DS 19 dont le freinage, la direction assistée, l'embrayage et la boîte de vitesses semi-automatique utilisaient également l'hydraulique. Les chuintements caractéristiques de ces autos proviennent d'ailleurs de la circulation du liquide à travers les différentes vannes et clapets composant le système.
 
La tenue de route est assurée grâce à une très bonne répartition des masses (moteur longitudinal central avant, la boîte de vitesses l'étant côté pare-chocs) et à une innovante géométrie exclusive des suspensions : axe de roulis au niveau du sol et déport nul des roues avant (la ligne joignant les pivots inférieurs et supérieurs de moyeux croise le milieu du centre de l'aire d'appui du pneu avec le sol). Le déport nul rend la direction quasi insensible aux inégalités de la route ou par exemple à une crevaison.
 
 

Le poids des roues (masse non suspendue) est diminué grâce aux freins montés en sortie de boîte de vitesses, elle-même issue des DS à boîte manuelle. Ce choix auquel Citroën reste ensuite longtemps fidèle pour la majorité de ses modèles, 2CV comprise, favorise le comportement général du véhicule au détriment de la facilité de la maintenance, ce dernier point ayant été la source de bien des critiques à l'égard de la marque, pas toujours justifiées cependant.
 
 
 
L'absence d'un moteur spécifique chez Citroën, puis le rachat de la firme italienne Maserati en 1968 permet à Citroën de doter la SM d'un moteur Maserati V6 étudié spécifiquement. Un moteur V8 de Maserati Indy est, dans un temps record, amputé de deux cylindres pour impressionner les cadres de Citroën sur la réactivité de Maserati. Selon Marc Sonnery auteur du livre Maserati, the Citroen Years (eauxrouges publishing) ce moteur 'V8 - 2' prototype est toujours stocké à Modène. Pour le V6 de série, les ingénieurs partiront d'une feuille blanche.
 
 
La SM est animée de 1970 à 1972 par un moteur V6 à 90° de 2 670 cm3 de cylindrée à trois carburateurs double corps Weber et d'une puissance de 170 ch DIN (au régime très raisonnable de 5 500 tr/min). Le couple est de 23,5 m.kg à 4 000 tr/min. Cette mécanique à deux arbres à cames en tête par rangée de cylindres a été développée directement par l'ingénieur Alfieri de Maserati sous la direction du bureau d'études de la rue du Théâtre au Quai de Javel à Paris.
 
 
Pour les modèles 1973 et jusqu'à la fin de la production, en réponse aux nouvelles normes anti-pollution, le moteur sera équipé de l'injection électronique Bosch D-Jetronic qui fera passer sa puissance à 178 ch DIN à 5 500 tr/min (couple 23,7 m.kg à 4 000 tr/min) tout en améliorant la souplesse et la consommation.
 
 
Pour 1974, une version à boîte automatique Borg Warner à 3 rapports apparaît. Pour compenser la perte de puissance due au convertisseur, la SM automatique dispose du moteur de la Merak, de 2 965 cm3 dans une version de 180 ch DIN à 5 720 tr/min (25 m.kg de couple à 4 000 tr/min). Il est équipé d'un échappement à oxydation pour répondre aux normes anti-pollution. Quelques SM seront également exportées aux États-Unis et au Canada en version 3 litres avec une boîte de vitesses automatique ou beaucoup plus rarement, manuelle.
 
 
Le moteur 3 litres dans une version 190 ch DIN équipera la Maserati Merak et la Ligier JS25.
 
 
Une seule SM V8 1974 au moteur prototype 4 litres de 260 ch DIN a été modifiée par Maserati spécialement pour l'ingénieur motoriste de Maserati qui voulait en démontrer la possibilité, mais sa mise en production a été refusée par Citroën
 
 
La SM comporte à l'époque de nombreuses avancées techniques :
 
4 freins à disques avec commande et assistance hydrauliques ;
direction assistée Diravi asservie à la vitesse avec rappel hydraulique en ligne droite, même à l'arrêt ;
Une rampe de six projecteurs sous verrière (contribuant au Cx de 0,339) dont deux directionnels (ceux de l'intérieur). La hauteur des projecteurs se règle en continu en fonction de l'assiette de la voiture, de façon à maintenir le faisceau lumineux toujours parallèle à la route (ce système avait déjà été adopté sur les DS dès septembre 1967 avec l'arrivée des phares directionnels, mais au moyen de câbles et non pas hydraulique ; aujourd'hui cet équipement est électronique sur les C5 II et C6) ;
jantes ultra légères Michelin en composite dites « RR » (résine renforcée) en option ;
première voiture en Europe avec réglage en hauteur et en profondeur du volant ;
première voiture avec pare-brise collé.
 
Les SM Chapron
 
Quelques exemplaires furent carrossés par le célèbre carrossier Henri Chapron de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine).
 
Trois modèles ont existé :
 
SM Mylord : cabriolet sans arceau avec une capote en toile. Présentée au Salon de Paris 1971, la SM Mylord devait initialement être proposée par Citroën qui y a finalement renoncé. Il en sera produit 5 exemplaires de 1971 à 1973. Note: Une SM Mylord a atteint plus de 600.000¤ lors d'une vente en 2016.
 
SM Opéra : berline tricorps à 4 portes sur un empattement rallongé de 29 cm (longueur : 5 190 cm). Présentée au Salon de Paris 1972, la SM Opéra sera produite à 7 exemplaires de 1972 à 1974. Note: Une SM Opéra a atteint plus de 400.000¤ lors d'une vente en 2018
 
SM Présidentielle : découvrable basée sur la SM Opéra au porte-à-faux arrière rallongé et longueur portée à 5,60 m. Les deux plus célèbres SM (immatriculées 2 PR 75 et 3 PR 75) ont été commandées en 1971 par le président Georges Pompidou pour les utiliser comme voitures officielles de l'Élysée. Elles furent livrées en 1972 et inaugurées à l'occasion d'une visite officielle de la reine d'Angleterre
Elles ont servi la République jusqu'en 2007 mais sont toujours la propriété de la Présidence de la République. L'une d'entre elles est en dépôt chez Citroën.
 
 
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Citro%C3%ABn_SM
 
 
Tags : Citroën SM, Citroën, dessinsagogo55, Automobile, Voiture, 1970, Transport
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#Posté le mercredi 07 octobre 2020 05:00

Peugeot 203

 
Peugeot 203
 
 
 
Peugeot 203 Cabriolet
 
 
 
 
 
 
La Peugeot 203, apparue en 1948, est une automobile de tourisme développée par le constructeur français Peugeot. Rapidement disponible en plusieurs versions (cabriolet, coupé, ou utilitaires), elle commence sa carrière en 1949, alors que la France se relève de la guerre. Unique modèle commercialisé par Peugeot jusqu'en 1954, la 203 est le symbole de la renaissance de la firme de Sochaux.
 

 
Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, l'industrie automobile française est en ruine, à l'image de ses usines. La firme de Sochaux rêvait de pouvoir concurrencer la Citroën 15 Six, en proposant une voiture dotée d'un moteur V8, sorte de 22 CV à la mode Peugeot. Le projet 802, commencé en 1940, est finalement abandonné, car voué à l'échec en raison des restrictions et des pénuries sur le marché d'après-guerre. Il est donc décidé de partir de zéro et de proposer un projet moins ambitieux et plus réaliste. Le cahier des charges de la nouvelle Peugeot est une voiture de 10 CV, aussi puissante qu'une 11 à 14 CV d'avant-guerre, dotée d'un confort supérieur aux normes précédentes. Une place prépondérante doit être accordée à la sécurité avec une meilleure tenue de route et, surtout, un freinage efficace et renforcé. La précédente 402 a une mauvaise réputation en ce domaine. Dans le même temps, il est décidé de concevoir une gamme complète autour d'un seul modèle, décliné en plusieurs versions, faute de moyens. Bien des constructeurs se contentent de remettre en production, en le modernisant ou pas, un modèle existant avant la guerre. Le pari audacieux et sage de Peugeot, avec la 203, fait le bonheur de la marque et de ses fidèles.
 
Les premiers salons automobiles de l'après-guerre voient naître une foule de petites voitures (Panhard Dyna, Renault 4CV, Citroën 2CV, etc.). Quant à la voiture moyenne traditionnelle, il n'y a guère que la Traction Avant et la Simca 8. C'est précisément sur ce créneau que Peugeot présente à la presse et aux concessionnaires, en octobre 1947, sa « 203 ». La présentation officielle au grand public a lieu à Paris, lors du salon de 1948. Le succès du modèle et la politique de remise octroyée au personnel chez Peugeot permettent à de nombreux ouvriers d'acheter "leur" 203. Selon l'historien J-C Daumas, en 1958, il fallait un an de travail à un ouvrier pour en acquérir une.
 
Sa fabrication commence quelques semaines plus tard pour s'achever 12 ans après, le 26 février 1960. L'usine est organisée pour une production journalière de 300 véhicules, mais la limitation des attributions des matières premières ne permet que d'atteindre 100 unités quotidiennes, en avril 1949. On arrive à 200 véhicules par jour, au début 1950. Au total, plus de 685 000 exemplaires, toutes versions confondues, sortent des chaines de Peugeot
 
Cabriolet
 
Le cabriolet 203 est présenté au Salon de Paris de 1951, à cause d'une gestation différée par rapport à la berline. Ce cabriolet a un équipement supérieur, dont une sellerie cuir, à trois coloris (noir, bleu ou rouge). En octobre 1954, il prend l'appellation de Grand Luxe, un titre justifié par une finition encore améliorée. La grille de calandre incorpore des phares antibrouillard, tandis que les ailes sont décorées de sabots chromés. Divers aménagements complètent la présentation : volant spécifique, montre électrique, double pare-soleil, pneus à flanc blanc, etc. Finalement, le cabriolet 203 est construit à 2 567 exemplaires jusqu'en octobre 1956, où il cède la place à son homologue de la gamme 403
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Peugeot_203




Tags : Peugeot 203, Peugeot, Automobile, Voiture, Transport, 1948, dessinsagogo55
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#Posté le samedi 07 novembre 2020 05:00

Dodge Challenger : dessinsagogo55

Dodge Challenger : dessinsagogo55
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#Posté le dimanche 06 septembre 2020 05:00

Ford Mustang : 760 ch pour la nouvelle Shelby GT500

Ford Mustang : 760 ch pour la nouvelle Shelby GT500


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#Posté le mercredi 13 janvier 2021 05:00

Modifié le mercredi 13 janvier 2021 10:48

Rolls-Royce Limited

 
Rolls-Royce Limited
 

La Rolls-Royce Wraith (spectre) a été construite par Rolls-Royce dans son usine de Derby en 1938-1939.
 
 
En 1884, Henry Royce commence une affaire d'électricité et de mécanique. En 1902, ce mécanicien de génie en grande partie autodidacte construit sa première automobile à Manchester. Il est introduit auprès de Charles Rolls, un ingénieur aristocrate fou de moteurs, donnant naissance à l'entreprise Rolls-Royce fondée le 4 mai 1904. La société Rolls-Royce Limited est créée le 15 mars 1906, elle est transférée à Derby en 1908.
 
 
 
Entre 1904 et 1906, dix-neuf voitures à moteur deux-cylindres, de 2 litres sortent des usines, suivies de quelques exemplaires à moteur trois-cylindres de 3 litres et de la 30 HP, construite à trente exemplaires. Habillée d'une superbe carrosserie en aluminium, la treizième voiture de la série, la Silver Ghost (« fantôme d'argent »), s'inscrit dans l'histoire de l'automobile en parcourant 15 000 miles entre le 1er juillet et le 8 août 1907 sans aucune panne mécanique.
 
Le nouveau modèle 40/50 ch est propulsé par un moteur six-cylindres en ligne de 7 litres, porté à 7,4 litres en 1910 dont 6 220 exemplaires seront produits.
 
Le 12 juillet 1910, Charles Rolls se tue dans une démonstration aérienne.
 
Une plus modeste 20 ch, animée par un moteur six-cylindres de 3,1 litres est vendue à 2 890 exemplaires. En 1929 la 20/25 lui succède.
 
Entre 1921 et 1931, une usine à Springfield, Massachusetts, produira 1 700 Silver Ghost avec des particularités exclusives.
 
En 1931, Rolls-Royce achète Bentley, un constructeur concurrent plus petit qui connait des difficultés financières dues à la Grande Dépression.
 
Henri Royce meurt en 1933 mais il aura encore conçu le moteur Merlin qui équipe notamment le chasseur Supermarine Spitfire.
 
Durant la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement mandata Rolls-Royce pour créer une usine de l'ombre à Crewe pour y fabriquer des moteurs d'avion. Après la guerre, en 1946, les productions automobiles de Rolls-Royce et Bentley furent transférées à Crewe où ils purent assembler des véhicules complets avec carrosseries pour la première fois. Seuls des châssis étaient assemblés avant guerre, laissant les carrosseries aux carrossiers spécialisés.
 
Les carrosseries de série (appelées « Standard Saloon ») sont fabriquées en tôles embouties, le reste des opérations demeure artisanal. D'autres modèles restent fabriqués à la main, majoritairement en tôle d'aluminium. C'est avec la Bentley Mark VI que l'usine de Crewe commence sa longue carrière et, le marché américain étant demandeur, une version Rolls-Royce de la Mark VI voit le jour sous le nom de « Silver Dawn ».
 
Aux célèbres Silver Ghost et aux prestigieuses Phantom ont succédé les Silver Dawn, Silver Cloud et l'illustre Silver Shadow à carrosserie monocoque et suspension hydropneumatique par Citroën (1965). En 1975, nait la Rolls-Royce Camargue, carrossée par Pininfarina. Le fabricant britannique d'équipement militaire Vickers achète la société en 1980. C'est à cette époque que sortent les Silver Spirit (version courte) et Silver Spur (version longue) qui remplacent les modèles Shadow.
 
La Corniche, apparue en 1971 (et remplaçant les coupés et cabriolets Silver Shadow Mulliner Park Ward) restera au catalogue jusqu'en 1995, un record de longévité pour une voiture de luxe. La version Fixedhead Coupe sera supprimée du catalogue en 1982 pour tenter de sauver la Camargue qui connait un succès mitigé en Angleterre (la majorité des exemplaires sont vendus aux États-Unis).
 
Spirit of Ecstasy, le fameux bouchon de radiateur de la marque créé en 1911 par l'artiste anglais Charles Sykes, représentant une jeune femme les bras déployés et la robe flottant au vent, est un joyau de l'art nouveau. On remarquera la forme particulière des calandres, s'inspirant de l'architecture des temples grecs. En 2011, pour célébrer le centenaire de la mascotte, plusieurs événements sont organisés dans le monde, dont un grand tour de Londres avec des Rolls-Royce de toutes les époques.
 
Les principes fondateurs de la marque, édictés par Henry Royce, étaient simples : « Chercher la perfection en tout. Prendre le meilleur de ce qui existe et l'améliorer. Et quand rien n'existe, le concevoir ».
 
La Centenary Phantom, un modèle qui ne sera produit qu'à quarante exemplaires, va marquer le centenaire de Rolls-Royce. En un siècle, la firme a fabriqué quelque 130 000 voitures.
 
En 1998, Vickers vend la branche automobile de Rolls-Royce au constructeur allemand BMW qui la renomme Rolls-Royce Motors Cars⇔Rolls-Royce Motor Cars.
 
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rolls-Royce_Limited
 


Tags : Rolls-Royce Limited, Automobile, Voiture, Transport, Entreprise, 1902
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#Posté le mercredi 01 septembre 2021 05:00

Renault Fuego


Renault Fuego



Les études de la Fuego débutent dès 1976 au centre Style de Renault dirigé par Robert Opron (père des Citroën SM et Citroën CX) sur la base des dessins de Michel Jardin. Elle utilise la plate-forme et de nombreuses pièces mécaniques de la Renault 18 étudiée et produite à la même époque, pour une économie de coût de production.
 
Ce coupé ne présente pas de différences techniques majeures par rapport à ses prédécesseurs mais introduit des lignes plutôt originales, plus arrondies et aérodynamiques (Cx de 0,34), avec en particulier un hayon bulle entièrement vitré et une bande noire latérale à cannelures, qui affine et dynamise la ligne.
La Fuego reprend les solutions techniques de la Renault 18 (traction, moteur longitudinal, essieu arrière rigide) et la plate-forme de la 18 break, mais le train avant à déport négatif provient de la Renault 20 diesel. Elle récupère donc une bonne partie du comportement routier de la 18. La Fuego abandonne aussi certaines avancées de sa devancière la 17 TS (qui était le haut de gamme de ce modèle), comme l'injection électronique ou les quatre freins à disque, ce qui lui vaudra quelques critiques lors de la présentation des premières versions TL/GTL.
 
Disposant à l'origine de motorisations peu sportives, la Fuego ne bénéficie pas d'un grand prestige et les ventes, parties très fort, déclinent rapidement notamment du fait des tarifs jugés assez élevés. Cela a été en France la cause principale du succès de la motorisation de base au détriment des versions plus puissantes. Au lancement, la version GTS et son « moteur Cléon-Alu » 1 647 cm3 de 96 ch est la plus puissante, accompagnée des TL et GTL dotées du « moteur Cléon-Fonte » 1 397 cm3 de 64 ch à boîte de vitesses à quatre rapports (cinq en option sur GTL). Le millésime 1981 voit l'apparition des TX et GTX avec le « moteur Douvrin » 1 995 cm3 de 110 ch. Le lancement de la version turbo diesel, avec le « moteur Douvrin » dans sa version diesel de 2 068 cm3 au millésime 1983 n'inverse pas la tendance. Pourtant, la Fuego Turbo D est le diesel le plus rapide du monde en octobre 1982 avec 175 km/h, mais les ventes ne se rétablissent pas pour autant. À partir de 1983 la version GTL reçoit le moteur d'1,6 litre de la GTS dégonflé à 73 ch.
 
Pour le millésime 1984, la Fuego est restylée (phase 2) au niveau de la calandre, des pare-chocs, et reçoit un nouveau tableau de bord style « visière » (sauf pour les versions en conduite à droite). Mais la nouveauté la plus marquante est la version turbo essence qui reçoit un 1 565 cm3 de 132 ch. La Fuego peut enfin afficher une réelle sportivité, ce qu'elle ne manque pas de faire, étant équipé de jantes aluminium BBS « nid d'abeille », de quatre freins à disque, d'un intérieur tout velours, d'un ordinateur de bord à huit fonctions, de rétroviseurs électriques, d'une ouverture centralisée à télécommande infrarouge... Cette version est décorée de gros autocollants « TURBO » au bas des flancs et d'une vitrophanie (autocollant collé à l'intérieur) du même motif à la base de la bulle arrière. Mais il est trop tard pour contrer la progression sur le marché des GTI, et comme ses concurrentes, les Ford Capri et Opel Manta, sa production s'arrête à la fin du millésime 1985 et ce coupé n'est pas remplacé.
 
Les marchés d'export européens ont au cours de la carrière de la Fuego toujours connu un traitement de faveur : la TL était parfois remplacée par une TS peu équipée mais motorisée par le 1,6 litre, et avec la phase 2 une version 2,2 litres (2 165 cm3) de 116 ch a aussi existé.
 
Parmi les équipements notables, la Fuego a été la première voiture au monde à recevoir un système de télécommande sans clé avec centralisation, disponible depuis l'année-modèle 1983 (octobre 1982). Ce système a été inventé par le français Paul Lipschutz (d'où le nom de la télécommande PLIP utilisé en Europe) et fut plus tard répandu sur les autres modèles Renault.
 
La Renault Fuego a été produite à l'usine MCA à Maubeuge (Nord) en France du mois d'octobre 1979 à juin 1985 et à l'usine de Santa Isabel (Argentine) de mars 1982 à 1992. Les stocks ont été écoulés en Europe jusqu'en 1987. La production totale de Renault Fuego est de 265 367 exemplaires
 
 
 
 
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Renault_Fuego#:~:text=La%20Renault%20Fuego%20est%20un,plus%20de%20succ%C3%A8s%20en%20Argentine.
Tags : Renault, Renault Fuego, Fuego, 1976, Voiture, Automobile, Transport, Gif dessinsagogo55
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