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7 articles taggés 1860

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Anders Zorn

Anders Zorn
Auto Portrait en rouge (1915).

Anders Leonard Zorn, né à Mora le 18 février 1860 et mort à Stockholm le 22 août 1920, est un peintre et graveur suédois.
Son originalité se manifeste dans une œuvre violente, marquée par la vie et les atmosphères. Il est connu pour ses peintures de nu et ses représentations de l'eau.
Un musée, abritant la collection Zorn, lui est consacré à Mora.
Tags : Anders Zorn, Peintre, Art, Art A, Anders, 18 février 1860, 1860
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#Posté le vendredi 05 juillet 2013 12:30

Pierre Barrois

Pierre Barrois, comte d'Empire, né le 30 octobre 1774 à Ligny-en-Barrois, Meuse et mort le 19 octobre 1860 à Villiers-sur-Orge, était un général d'Empire.


Pierre Barrois

Fils de Jacques-François Barrois,de Ligny, et de Marguerite Gérard,de Velaines.
Il servit dans l'armée du 12 septembre 1793 au 12 avril 1848. Entré au service le 12 septembre 1793 dans le bataillon des éclaireurs de la Meuse; lieutenant le 12 septembre, même année ; commandant le même corps à la bataille de Wattignies.
Le bataillon de la Meuse, amalgamé avec les chasseurs des Cévennes, étant devenu le 9e régiment d'infanterie légère, il combattit dans les armées du Nord et de Sambre et Meuse, à la 9e demi-brigade sous les ordres de Marceau puis sous les ordres du général Hoche. Barrois se trouva aux batailles de Fleurus, de la Roër. Il avait été nommé capitaine adjudant-major pendant le second blocus de Mayence.
Son régiment s'étant distingué à la bataille de Marengo, reçut le nom d'incomparable, que le premier consul fit inscrire sur son drapeau, tandis que Barrois recevait la Légion d'Honneur. Il fut envoyé en Vendée puis en Italie. Il fut ensuite muté au 96e régiment d'infanterie de ligne.
Le jeune Barrois, nommé colonel du 96e de ligne, se rendit au camp de Mont-Cenis, sous les ordres de Ney. Il y fut nommé officier de la Légion d'honneur et eut la croix de commandeur après la bataille d'Austerlitz.
Il participa au procès du duc d'Enghien. Il fut le seul à voter pour un sursis à son exécution.
Le 14 février 1807, le colonel Barrois fut promu au grade de général de brigade. Ses actions d'éclat se succédèrent, et après la bataille de Friedland, l'Empereur nomma les généraux Barrois et Labruyère grands officiers de la Légion d'honneur. Un an après la paix de Tilsitt, sa division se rendit en Espagne. Le général Barrois se couvrit de gloire aux affaires d'Espinosa, du Somo-Sierra, d'Ucler, de Medellin, de Talavera, de Chiclana, et fut nommé général de division le 27 juin 1811.
Il quitta le commandement de cette division pour se rendre à Vilnius, où il arriva après la campagne ; on lui confia alors une division de la jeune garde, avec laquelle il se trouva à la Bataille de Bautzen, au combat de Reichenbach et de Gorlitz, et à la bataille de Dresde. Après s'être battu avec courage à Wachau (16 octobre) et à Leipzig, il fut chargé, avec la division Roguet, de faire l'arrière-garde de l'armée jusqu'au Rhin. Lorsque sa division repassa le Rhin, elle était réduite à 2 500 hommes. Il continua la campagne de Belgique avec le comte Maison, et eut une part active à la bataille de Courtrai, le 31 mars 1814.
Après l'abdication, le général Barrois se retira à la campagne. En mars 1815 il fut mis à la tête d'une division de six régiments. À Fleurus et à Waterloo, il commandait une division de la jeune garde. Il fut blessé à Waterloo à l'épaule gauche.
Il fut mis en disponibilité le 1er janvier 1825. Reprit du service en 1830, nommé au commandement de la 3e division militaire à Metz. il prit part en 1831 à la campagne de Belgique à la téte de la 1re division de l'armée du Nord. Devint successivement inspecteur Général et président du comité de la guerre. Marié en 1803 à Adélaide Jeanne Victoire Lévéque de Vilmorin, ils eurent deux filles : Adélaide Blanche et Ermance Victoire Adélaide Barrois.


Pierre Barrois
Noms gravés sous l'Arc de Triomphe de l'Étoile : pilier Ouest, 37e et 38e colonnes.


Il fait partie des 558 officiers à avoir son nom gravé sous l'arc de triomphe de l'Étoile.
Grand officier de la Légion d'Honneur le 11 juillet 1807, il fut promu Grand croix le 30/04/1836.
Chevalier de Saint-Louis le 1er septembre 1819.
Créé Baron d'Empire le 19 mars 1808.
Fait Comte de l'Empire le 28 novembre 1813.


Pierre Barrois

Armes du comte Barrois et de l'Empire (décret du 21 février 1814)
Écartelé : au 1er, des comtes militaires ; au 2e, d'azur à un casque grillé et taré de profil d'argent ayant pour cimier un lion naissant d'or ; au 3e, de gueules à un chevron d'or, accompagné de trois étoiles d'argent ; au 4e, d'azur à trois besants d'argents.
Tags : Pierre Barrois, 30 octobre 1774, 30 octobre, 1774, Ligny-en-Barrois, Meuse, Décès, 19 octobre 1860, 19 octobre, 1860, Général d'Empire
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#Posté le vendredi 01 février 2013 08:00

Modifié le dimanche 16 février 2014 20:26

Raymond Poincaré



Raymond Poincaré, né le 20 août 1860 à Bar-le-Duc (Meuse) et décédé le 15 octobre 1934 à Paris, fut un homme d'État français.
Ministre à plusieurs reprises, président du Conseil des ministres puis président de la République de 1913 à 1920, Raymond Poincaré fut l'une des plus grandes figures politiques de la IIIe République. Il fut également l'un des personnages centraux de la Première Guerre mondiale, conflit durant lequel il appela « le Tigre », Georges Clemenceau, à la présidence du Conseil, en 1917.



Raymond Poincaré
Raymond Poincaré en 1914


Raymond Poincaré est le fils d'un ingénieur des Ponts et Chaussées.
Par ailleurs, il est l'arrière-petit-fils d'un député ayant exercé ses fonctions sous le règne de Louis-Philippe; il est également le petit-fils du doyen de la faculté de médecine.
Il est enfin le cousin du mathématicien et savant Henri Poincaré.


Formé à la politique par Jules Develle dont il est, pendant dix-huit mois, directeur de cabinet au ministère de l'Agriculture en 1886, élu ensuite conseiller général du canton de Pierrefitte dans la Meuse, Poincaré se forge une réputation de républicain modéré et conciliant dès son premier mandat de député de la Meuse en 1887. Cela n'empêche pas ce fils de polytechnicien, entré avec réticence sur la scène politique, de s'y imposer rapidement.
Après des études à Nancy puis à la faculté de droit de Paris, il entre au barreau de Paris en tant que stagiaire en 1879 ; il est nommé premier secrétaire de la Conférence du barreau de Paris et devient secrétaire de Me Henry du Buit, célèbre avocat d'affaires. En 1883, il prononce un discours à l'ouverture de la Conférence des Avocats dans lequel il fait l'éloge du républicain Jules Dufaure, ancien bâtonnier et ex-président du Conseil décédé deux ans auparavant :
« S'il est à souhaiter que l'éloge d'un mort illustre éveille chez nous le désir de l'imiter, le simple récit de la vie de Dufaure contiendra, je crois, pour notre génération, un précieux exemple de travail, d'indépendance et de dignité . »
(Éloge de Dufaure à l'ouverture de la Conférence des Avocats 1883 Barreau de Paris)
En 1895, il ouvre son propre cabinet, qui obtient rapidement un grand succès et détient une clientèle très prestigieuse pour les affaires de presse, les affaires littéraires—il est notamment l'avocat de l'écrivain Jules Verne—et le droit des sociétés. Poincaré a parmi ses clients les plus grandes entreprises industrielles et financières du moment.


Il entre en politique en 1887, en se faisant élire député de la Meuse. En 1892, il est rapporteur de la commission des Finances, au moment du scandale de Panamá, et est réélu l'année suivante.
À trente-six ans, il a déjà été trois fois ministre : de l'Instruction publique (1893), sous Dupuy, puis des Finances dans le second cabinet Dupuy, après la victoire électorale des modérés (1894-1895), et de nouveau chargé de l'Instruction publique, dans le cabinet Ribot, en 1895. Il est partisan de la laïcité mais éloigné de l'anticléricalisme radical. Il prône en effet une « école neutre », dont la vocation serait de produire de vrais patriotes. Poincaré devient alors l'un des leaders en vue des modérés, qui arborent l'étiquette « progressiste » qui a remplacé l'ancienne appellation d'« opportunisme » utilisée par Gambetta et Jules Ferry. Au fil du temps, ces « républicains progressistes » évoluent du centre gauche vers le centre droit, suivant le phénomène du sinistrisme.
Durant l'affaire Dreyfus, il adopte une attitude prudente. Il fait d'abord partie de ceux qui souhaitent étouffer un scandale qu'ils jugent contraire à la raison d'État. Il se rallie finalement au camp dreyfusard, plus par légalisme que par conviction.

Bien que républicain et laïque - signe sûr, à la Belle Époque, d'une appartenance à la gauche - Poincaré demeure cependant prudent envers les gauches, et reste très modéré. En juin 1899, le président de la République Émile Loubet le pressent comme président du Conseil. Mais il n'arrive pas à mettre d'accord les différentes tendances républicaines pour composer un gouvernement, tandis que Clemenceau déclarait :
« Le don de Poincaré n'est pas à dédaigner : c'est l'intelligence. Il pourrait faire remarquablement à côté de quelqu'un qui fournirait le caractère »

Raymond Poincaré
Raymond Poincaré.


Aussi Poincaré conseille-t-il à Loubet d'appeler plutôt Waldeck-Rousseau, qui forme un cabinet de Défense républicaine. Néanmoins, Poincaré s'oppose à celui-ci, et plus encore, après la victoire du Bloc des gauches aux élections de 1902, à la politique anticléricale d'Émile Combes. En tant que membre de l'Alliance libérale démocratique (centre-droit), il soutient cependant, de façon générale, le cabinet combiste.
Plus tard, c'est au Sénat que Poincaré décida de se présenter. Élu sénateur de la Meuse en 1903, il quitte ses fonctions en 1913, date à laquelle il est élu à l'Élysée, puis reprend ses fonctions en 1920 et ce jusqu'en 1934, date de son décès.
En 1906, Clemenceau, qui juge pourtant Poincaré un peu trop mou — c'est lui qui aurait inventé l'expression « poincarisme » dans son hebdomadaire Le Bloc du 15 mars 1902 — lui propose néanmoins d'entrer dans son gouvernement. Poincaré, peut-être par animosité, s'y refuse.
Belle consécration, il est élu à l'Académie française en 1909, et est également professeur aux écoles HEI-HEP.








 
Tags : Raymond Poincaré, Bar-le-Duc, Raymond, 20 août 1860, 20 août, 1860, Décès, 15 octobre 1934, 15 octobre, 1934, IIIe République, Homme d'État, Député de la Meuse, Sénateur de la Meuse, Président de la République, Conseiller général de la Meuse, Président du Conseil général de la Meuse, Personnalité née en Meuse
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#Posté le jeudi 15 octobre 2020 05:30

Raymond Poincaré

Le président du Conseil (1912 - 1913)

En janvier 1912, il est nommé président du Conseil et forme un gouvernement de républicains modérés avec Briand aux Affaires étrangères ; Théophile Delcassé à la Marine ; Jules Pams à l'Agriculture ; Albert Lebrun aux Colonies et Léon Bourgeois au Travail et à la Prévoyance sociale.
Du 6 au 12 août 1912, il est en visite officielle en Russie dans le cadre de l'alliance franco-russe et assiste à des revues militaires.

Raymond Poincaré
Poincaré au front.



L'élection présidentielle de janvier 1913

Alors que le mandat présidentiel d'Armand Fallières touche à sa fin, Poincaré se présente comme candidat à l'élection présidentielle de janvier 1913. Le président du Conseil est en lice face au président de la Chambre, Paul Deschanel, et au président du Sénat, Antonin Dubost. Avec Clemenceau, les radicaux soutiennent Jules Pams, le ministre de l'Agriculture, une personnalité considérée comme effacée et dont la candidature vise essentiellement à contrer Poincaré.

Selon la tradition républicaine, un scrutin préparatoire a lieu pour choisir le candidat du « camp républicain » ; les « modérés » (républicains de droite) d'un côté, de l'autre les socialistes, refusent toutefois d'y participer. Au troisième tour, Pams l'emporte avec 323 voix contre 309 pour Poincaré, classé à gauche à l'époque (dreyfusard, laïc, il s'était marié civilement). La discipline républicaine aurait voulu que, battu à ces primaires, il se retire, et c'est ce que lui demande une délégation conduite par Combes et Clemenceau.

Mais Poincaré refuse, sachant que lors du scrutin officiel, il serait soutenu par la droite républicaine : il se présente donc à Versailles, et est élu le 17 janvier 1913 au deuxième tour, avec 482 voix contre 296 à Pams et 69 pour le socialiste Édouard Vaillant. Clemenceau conservera une rancune tenace contre Poincaré pour n'avoir pas respecté la discipline républicaine, que lui-même respectera lors de l'élection présidentielle de 1920.

L'Élysée (1913 - 1920)

Son mandat de chef de l'État va évidemment être marqué par la Première Guerre mondiale, pendant laquelle il est l'artisan de l'Union Sacrée politique et sociale, aux côtés de René Viviani, d'Aristide Briand puis de Georges Clemenceau. Avec Briand et Clemenceau, et contre Jaurès et la SFIO, il soutient la loi des trois ans, votée en juillet 1913.

Son rôle dans le déclenchement de la guerre est controversé : il aurait poussé à la fermeté la Russie lors de son voyage officiel du 13 au 23 juillet 1914 en Russie, afin de renforcer les alliances deux semaines après l'attentat de Sarajevo. Le 4 août, son message est communiqué aux Chambres par Viviani : la France « sera héroïquement défendue par tous ses fils, dont rien ne brisera devant l'ennemi, l'Union sacrée, et qui sont aujourd'hui fraternellement assemblés dans une même indignation contre l'agresseur, et dans une même foi patriotique ».
Il n'hésite pas, parfois au péril de sa vie, à venir au front (essentiellement dans la Meuse et dans la Somme) afin de juger du moral des troupes et des populations déplacées. Il visite à plusieurs reprises la partie de l'Alsace redevenue française dès le 7 août 1914 : au Col de la Schlucht, à Thann, Masevaux, Saint-Amarin et Dannemarie entre le 11 février 1915 et le 10 avril 1916.

Fin 1917, il nomme le radical-socialiste Clemenceau, qu'il n'apprécie guère mais dont il admire la fermeté de caractère, comme président du Conseil. Son rôle devient alors plus discret, et il se plaint même, dans ses écrits, d'être mis de côté. Il conserve toutefois une certaine influence : selon l'historien Michel Winock, une certaine forme de cohabitation se met en place entre les deux hommes.
Tags : Raymond Poincaré, Bar-le-Duc, Raymond, 20 août 1860, 20 août, 1860, Décès, 15 octobre 1934, 15 octobre, 1934, IIIe République, Homme d'État, Député de la Meuse, Sénateur de la Meuse, Président de la République, Conseiller général de la Meuse, Président du Conseil général de la Meuse, Personnalité née en Meuse
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#Posté le jeudi 20 août 2020 04:00

Raymond Poincaré

Raymond Poincaré
Dès 1920, alors que son mandat n'est pas achevé, il se fait élire sénateur de la Meuse. Aristide Briand ayant démissionné de la Présidence du Conseil à la suite des critiques subies du fait de ses prises de position en matière de politique étrangère à la Conférence de Cannes, Poincaré accepte de redevenir président du Conseil en janvier 1922, à la demande du Président de la République Alexandre Millerand.

Face à l'Allemagne qui refuse de payer les « réparations de guerre », Raymond Poincaré a recours à la force, faisant occuper la Ruhr. Mais sa politique de rigueur budgétaire le rend impopulaire et, en 1924, après la victoire du Cartel des gauches, il doit présenter sa démission, tout comme le président Millerand.
On le rappelle à la tête du gouvernement en 1926, devant l'ampleur de la crise financière. Il forme alors un cabinet d'union nationale, en conservant Briand aux Affaires étrangères, et en revenant à une politique d'austérité financière ; le franc Germinal est remplacé par le franc Poincaré d'une valeur cinq fois moindre, dévaluation qui se borne à entériner le change réel. Malade et fatigué, il démissionne et se retire de la scène publique en 1929. Mort à Paris en 1934, il est inhumé à Nubécourt (Meuse), dans son département natal.


Mandats électifs

Député de la Meuse (1887-1903)
Sénateur de la Meuse (1903-1913 puis 1920-1934)
Président de la République (1913-1920)
Conseiller général de la Meuse : 1886-1913 / 1920-1934
Président du Conseil général de la Meuse : 1910-1913


Fonctions gouvernementales

Ministre de l'Instruction publique en 1893 puis en 1895.
Ministre des Finances en 1894.
Il fut cinq fois président du Conseil :
du 14 janvier 1912 au 21 janvier 1913, cumule ces fonctions avec les Affaires étrangères
du 15 janvier 1922 au 29 mars 1924 cumule ces fonctions avec les Affaires étrangères
29 mars 1924 au 1er juin 1924
du 23 juillet 1926 au 6 novembre 1928 cumule ces fonctions avec les Finances
du 11 novembre 1928 au 20 juillet 1929

Décorations

Grand-croix de la Légion d'honneur en 1913 en tant que président de la République.
Grand-Maître de la Légion d'honneur de 1913 à 1920
Chevalier de l'ordre de la Toison d'or (Espagne) en 1913


Œuvres de Raymond Poincaré

Du droit de suite dans la propriété mobilière, 1883.
Idées contemporaines, 1906.
Questions et figures politiques, 1907.
Messages, discours, allocutions, lettres et télégrammes (1914-1919), 1919.
Histoire politique, chroniques de quinzaine, 4 vol. , 1921-22.
Au service de la France, neuf années de souvenirs, 1926-1934.
L'Invasion 1914, Paris, Plon (livre tiré à 100 exemplaires qui retrace le septennat du président).
Ce que demande la cité, Hachette, 1911. Vingt textes de Raymond Poincaré extraits de la revue pour enfants "Au seuil de la vie" (Hachette, 1910). Réédition en 2010 aux Éditions Nouvelles Mémoires (voir bibliographie).


Bibliographie

Henry Girard, Raymond Poincaré, chez lui, au Parlement, à l'Élysée, A. Méricant, 1913
René Dumesnil, Poincaré, Flammarion, vers 1930
Gaston Gros, Mr. Poincaré mémorialiste (sa psychologie), Ed. Baudinière, 1930
Dr. Georges Samné, Raymond Poincaré, Politique et personnel de la IIIe République, Les œuvres représentatives, 1933
Fernand Payen, Raymond Poincaré, chez lui, au Parlement, au Palais, Grasset, 1936
Jacques Chastenet, Raymond Poincaré, Julliard, 1948
Pierre Miquel, Raymond Poincaré, Paris, Fayard, 1961.(Prix Broquette-Gonin de l'Académie française)
Pierre Miquel, Les Souvenirs de Raymond Poincaré, publication critique du XIe tome avec Jacques Bariéty, Plon, 1973
Daniel Amson, Raymond Poincaré, l'acharné de la politique, Tallandier, 1997
John Keiger, Raymond Poincaré, Cambridge, Cambridge University Press, 1997
S. Jeannesson, Poincaré, la France et la Ruhr (1922-1924), histoire d'une occupation, Presses universitaires de Strasbourg, 1998
François Roth, Raymond Poincaré, Paris, Fayard, 2000
Alain Ostenga et Christian Gérini, "Raymond Poincaré. Ce que demande la cité", Pierrefeu du Var, Éditions Nouvelles Mémoires, diffusion : HDiffusion, 6 rue de la Sorbonne, 75005 Paris, 2010.



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#Posté le jeudi 20 août 2020 05:00

Giacomo Grosso (1860-1938), La Cella delle Pazze - 1884

Giacomo Grosso (1860-1938), La Cella delle Pazze - 1884

Giacomo Grosso (1860-1938), La Cella delle Pazze - 1884
Tags : Giacomo Grosso, 1860, 1938, La Cella delle Pazze, 1884, Peintre
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#Posté le vendredi 12 juin 2015 00:05

Modifié le samedi 13 juin 2015 02:28

Paul-Gustave Fischer

Paul-Gustave Fischer

Paul Gustav Fischer, né le 22 juillet 1860 à Copenhague et mort le 1er mai 1934 à Gentofte, dans la région de l'Hovedstaden au Danemark, est un peintre danois. Son nom est parfois orthographié Paul Gustave Fischer ou Poul Gustav Fischer et ses travaux mentionnés sous le nom raccourci de Paul Fischer. Il est principalement connu pour ses peintures issu du mouvement réalisme et a connu son apogée au début du XXe siècle.

Paul Gustave Fischer naît à Copenhague dans une famille d'ascendance juive-polonaise. Son père Philip Fischer (da) (1817-1907) possède un commerce de peinture et de laques et, ayant souhaité devenir peintre dans sa jeunesse, oriente son fils vers cette activité. Comme son frère Johannes August Fischer (da) (1854-1921), qui devient également peintre, il suit les cours de l'Académie royale des beaux-arts du Danemark à Copenhague pendant deux années.

Il débute par des peintures représentant des scènes de rues se déroulant à Copenhague, prises à la tombée de la nuit, lors de journées grises ou par temps de pluie et de neige et qui montrent l'activité des gens et illustrent l'atmosphère du Copenhague d'alors. Entre 1891 et 1895, il séjourne à Paris, fréquente des peintres issu du mouvement impressionnisme et développe la couleur dans ses toiles. Fischer se rend par la suite à plusieurs reprises en Allemagne et en Italie, voyage en Scandinavie et continue à peindre sur ses thèmes de prédilection. Il signe également plusieurs tableaux montrant des scènes de baignade nus se déroulant sur des plages ensoleillées.

Ses œuvres font partie du mouvement réalisme puis naturalisme. Au cours de sa carrière, Fischer a également développé un intérêt pour les affiches, inspiré en cela par les travaux de Théophile Alexandre Steinlen et Henri de Toulouse-Lautrec, et Jules Chéret le publia dans Les Maîtres de l'affiche (1895-1900).

Il décède à l'age de 73 ans à Gentofte au Danemark.
Tags : Paul-Gustave Fischer, Peintre, 22 juillet 1860, 22 juillet, 1860, Copenhague, Décès, 1 Mai 1934, 1 mai, 1934
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#Posté le dimanche 26 juillet 2015 20:04

Modifié le jeudi 05 mai 2016 10:41

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