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Jean-Claude Van Damme, né Jean-Claude Van Vaerenbergh le 18 octobre 1960 à Berchem-Sainte-Agathe, en Belgique, est un acteur, réalisateur, producteur de cinéma et pratiquant d'arts martiaux belge.
Après s'être exercé intensivement aux arts martiaux dès l'âge de dix ans, Van Damme connaît le succès national en Belgique comme lutteur et bodybuilder, remportant le titre de « Mr. Belgium ».
En 1982, il émigre aux États-Unis afin de poursuivre une carrière au cinéma et connaît le succès avec Bloodsport (1988) qui, pour un budget d'un million et demi de dollars, en rapporte soixante-cinq dans le monde. Il atteint des sommets au box-office, notamment avec Universal Soldier (1992) et Timecop (1994), qui rapporteront à eux deux plus de deux cent millions de dollars de recettes et feront de lui l'une des célébrités du cinéma d'action des années 1990.
Après une période de difficultés personnelles et de succès déclinant, au cours de laquelle son image publique s'est ternie du fait de multiples déclarations perçues comme absurdes (particulièrement à la télévision française), il s'oriente à partir de la fin des années 2000 vers des rôles plus personnels, bénéficiant d'un bon accueil critique, notamment pour son rôle semi-autobiographique dans JCVD (2008).
Jean-Claude Van Damme est souvent désigné par ses simples initiales JCVD ou, aux États-Unis, comme « The Muscles from Brussels » (« Les Muscles de Bruxelles »)
Biographie
Jeunesse
Jean-Claude Van Vaerenbergh naît le 18 octobre 1960 à Berchem-Sainte-Agathe, une commune de Bruxelles, en Belgique. Il est le fils d'Eugène et d'Éliana Van Vaerenbergh.
Il se lance dans les arts martiaux à l'âge de dix ans au sein d'une école de karaté. Son style de combat se compose de karaté Shotokan et de kickboxing. Il parvient à obtenir sa ceinture noire en karaté. Il se lance ensuite dans le bodybuilding, désireux de développer sa musculature, ce qui lui vaut par la suite le titre de Mr. Belgium en bodybuilding. À l'âge de seize ans, il arrête la danse classique qu'il a pratiquée pendant cinq ans. Selon lui, la danse classique « est un art, mais c'est aussi l'un des sports les plus difficiles. Si vous pouvez survivre à un entraînement de danse classique, vous pouvez survivre à l'entraînement de n'importe quel autre sport »
Le rêve américain
En 1975, Jean-Claude Van Vaerenbergh rencontre Abdel Qissi, un boxeur belgo-marocain qui le présente à son frère Mohamed, également passionné d'arts martiaux. Jean-Claude et Mohamed développent une forte amitié et partagent le désir commun de devenir acteurs aux États-Unis. Abdel présente également Jean-Claude à l'homme d'affaires Paul Van Damme. Ce dernier lui permet de devenir le mannequin officiel de Pierre Alexandre, un magazine de vêtements masculins, dans lequel Jean-Claude sera photographié en position de combat. La popularité du cliché va faire germer dans son esprit le désir de devenir acteur dans des films d'arts martiaux
En 1982, avec trois mille dollars en poche et sans grande connaissance de l'anglais, qu'il aurait appris par la suite en regardant Les Pierrafeu, Jean-Claude Van Vaerenbergh part avec Mohamed Qissi à Los Angeles « à la conquête d'Hollywood ». Les deux amis rencontrent des difficultés pour percer. Pendant plusieurs années, Jean-Claude enchaîne des petits boulots, tels que livreur de pizzas, videur de boîte de nuit ou encore poseur de moquette, mais aussi entraîneur personnel et chauffeur de limousine ; ce dernier travail lui permet de faire des rencontres potentiellement fructueuses.
Durant cette période, il fait la connaissance de Chuck Norris et Lou Ferrigno, et décroche quelques rôles au cinéma. Il fait une brève apparition, dans le rôle d'un karatéka homosexuel dans Monaco Forever, un film resté inachevé qui ne sera distribué que plusieurs années après, une fois Van Damme devenu célèbre.
En 1985, il obtient son premier rôle important dans le film Le Tigre rouge de Corey Yuen, en interprétant le rôle du méchant, un karatéka russe. C'est à cette occasion que Jean-Claude Van Vaerenbergh change son nom en « Van Damme ». Lors du tournage du film, quelques problèmes surviennent lors des cascades, lorsque Van Damme touche accidentellement les autres cascadeurs en leur portant des coups
Il joue par la suite dans L'Arme absolue, interprétant à nouveau le rôle du méchant — cette fois un agent soviétique — face au héros joué par Sho Kosugi. Il est ensuite engagé pour prêter sa silhouette au Predator dans le film homonyme, mais quitte l'équipe de cette production les jours suivants (il se serait plaint d'étouffer dans le costume, et de n'apparaître à l'image que sous un masque, en outre l'équipe de production a réalisé qu'un acteur plus imposant était nécessaire pour rendre la créature menaçante face à un groupe de soldats d'élite joués par Arnold Schwarzenegger, Jesse Ventura, Carl Weathers, Bill Duke ou encore Sonny Landham) ; le rôle du Predator est repris par Kevin Peter Hall
Quelques mois plus tard, il provoque la rencontre qui va lancer sa carrière en allant au-devant du producteur Menahem Golan à la sortie d'un restaurant et en lui faisant une démonstration d'arts martiaux sur l'aire de stationnement. Menahem Golan lui propose de jouer dans Bloodsport qui sera un succès international (et donnera naissance à plusieurs suites sans Van Damme). Un procès l'opposera à Frank Dux, dont il joue le rôle dans le film.
Le personnage Johnny Cage du jeu vidéo Mortal Kombat est inspiré du personnage de Frank Dux dans ce film. Johnny Cage est habillé (y compris les chaussures) comme Van Damme dans le combat final du film, et un des coups spéciaux de Johnny Cage provient du combat entre Frank Dux et le sumo dans le film. La société de jeu vidéo Midway, n'ayant pu obtenir les droits du film pour le jeu, a fait de Johnny Cage une star de cinéma pour l'histoire du personnage, et a adapté le concept de kumite en « kombat »
Succès mondiaux, échecs et films à petits budgets
En 1988, Jean-Claude Van Damme joue dans Cyborg d'Albert Pyun et, en 1989, dans Kickboxer de Mark DiSalle. Viennent ensuite en 1990 Full Contact (Lionheart), sous la direction de Sheldon Lettich ainsi que Coups pour coups (Death warrant) de Deran Sarafian (tourné avant mais sorti après Full Contact).
Ses films ayant tous rapporté beaucoup d'argent au box-office, il collabore de nouveau avec Sheldon Lettich, avec un budget supérieur. Pour Double Impact, Van Damme joue pour la première fois un double rôle (une prouesse qu'il réitérera par la suite dans Risque maximum et Replicant), interprétant deux frères jumeaux, face à Bolo Yeung qui était déjà son principal adversaire dans Bloodsport ; le public est au rendez-vous et le film est un succès.
Mario Kassar (Carolco) signe avec lui pour le film Universal Soldier de Roland Emmerich qui sort en 1992, partageant l'affiche avec Dolph Lundgren. Van Damme touche son premier million, pour un budget de 23 millions de dollars ; le film va en rapporter cinq fois plus à travers le monde et devient à l'époque son plus grand succès au box-office.
Les cachets de l'acteur montent alors en flèche. Cavale sans issue (Nowhere To Run) de Robert Harmon (1993), est un franc succès en Europe, avec notamment un million de spectateurs en France, mais les fans apprécient moins ce nouveau genre, montrant un Van Damme plus dramatique et délaissant les arts martiaux. Il enchaîne avec Chasse à l'homme (Hard Target) de John Woo (1993), premier film américain du réalisateur chinois (et devenant un tremplin pour les autres réalisateurs asiatiques voulant percer aux États-Unis), et renouvellera le genre avec Ringo Lam et Tsui Hark. L'action est au rendez vous, mais John Woo est contraint par les producteurs de couper au montage vingt minutes du film, jugées trop violentes pour la classification R, permettant ainsi aux mineurs de moins de 17 ans de pouvoir voir le film. Le film connait un succès relatif. Vient ensuite Timecop de Peter Hyams, un film de science-fiction basé sur le voyage dans le temps, qui rencontre en 1994 son plus grand succès aux États-Unis.
L'acteur est alors au sommet de sa gloire, ne subissant aucun échec. Il devient l'un des acteurs d'arts-martiaux les plus populaires et un des acteurs les mieux payés au monde, avec un cachet de huit millions de dollars pour Street Fighter : L'ultime combat (1994) de Steven E. de Souza ; le film est descendu par la critique et les fans du jeu vidéo Street Fighter II dont le film est l'adaptation, cependant le succès est au rendez-vous.
Van Damme plonge alors dans la drogue, devenant dépendant à la cocaïne. Il avouera avoir refusé à cette période une offre de la part des studios Universal pour une série de trois films avec un cachet de 12 millions de dollars par film, au motif que Jim Carrey touchait alors 20 millions par film. Il aurait en conséquence été placé sur liste noire par les principaux studios de production. Entre-temps il a signé pour Mort Subite (Sudden Death) de Peter Hyams qui, sorti en salle fin 1995, lui vaudra sa première déception, le film ne rapportant que 64 millions dans le monde pour un budget de 35 millions. Pensant pouvoir revenir avec un projet qu'il a en tête depuis des années et qui lui tient à cœur, il réalise en 1996 son premier film, Le Grand Tournoi, dont il est également scénariste et producteur en plus d'être l'acteur principal, mais le film ne remporte pas le succès escompté. Il tourne la même année Risque maximum de Ringo Lam, un semi-succès, et enchaîne avec Double Team de Tsui Hark en 1997, qui s'avère un échec cuisant.
Sa consommation de drogue augmente en 1998 ; il réussit tant bien que mal à tourner dans un état second Piège à Hong Kong, toujours avec Tsui Hark ; ce dernier profite de son état pour l'humilier afin de se venger de Double Team en ne le filmant pas à son avantage Le film sort la même année que Légionnaire de Peter MacDonald ; ces deux films sont des échecs.
Universal Soldier : Le Combat absolu, sorti en 1999, est un nouveau fiasco, ce qui conduit à faire sortir Inferno de John G. Avildsen directement en DTV (Direct-to-video) la même année. Van Damme fait alors une pause et soigne ses addictions. C'est à cette occasion qu'il reçoit un diagnostic de trouble bipolaire
En 2001, il revient en pleine forme avec Replicant de Ringo Lam, mais à nouveau le film sort directement en DVD, malgré la popularité intacte de l'acteur en Europe. Le film est un échec, avec seulement 100 000 entrées en salles, mais bénéficie de meilleures critiques que les précédents.
Lors de la promotion de ce film en France, il se fait davantage remarquer par son comportement que par le contenu de celui-ci : c'est en effet à cette période qu'il apparaît fréquemment dans des entretiens à la télévision ou à la radio en tenant des propos jugés décousus, absurdes et involontairement comiques, dans son franglais idiosyncrasique, abordant spontanément les thèmes les plus divers (les femmes, les chiens, la religion, la drogue, sa capacité à casser des noix avec ses fesses...), avec une insistance particulière sur les questions de spiritualité et de développement personnel (en particulier une tirade dans laquelle il emploie à plusieurs reprises la formule « être aware », laquelle devient dès lors associée à son image publique en France). Affecté par les railleries et l'exploitation qui est faite de ces séquences dans certaines émissions à caractère humoristique, rejaillissant sur ses enfants (ce sera un des thèmes de JCVD), il devient de plus en plus réticent à accorder des entretiens en français, craignant d'être de nouveau piégé par sa spontanéité comme par le cynisme des médias de masse, toujours en quête de pittoresque sans se soucier des répercussions dans le réel. Il expliquera par la suite avoir tenté de communiquer des bribes de sagesse, péniblement acquises par son expérience comme par ses erreurs, auprès de jeunes gens peu éduqués rêvant de réussir, comme lui-même autrefois, mais avoir dû composer avec les contraintes temporelles de la télévision, avec ses difficultés à s'exprimer correctement en français (langue qu'il pratique désormais rarement), le tout combiné avec les effets du jet lag, aboutissant à son élocution parfois maladroite.
En juillet 2001, il lance sa ligne de vêtements, Damage7, vendue uniquement chez Harrods à Londres.
À partir du début des années 2000, Van Damme apparaît dans un grand nombre de films « direct to video » à l'intérêt variable : The Order de Sheldon Lettich (2001) ; Point d'impact (Derailed) (2002) de Bob Misiorowski ; il tourne encore avec Ringo Lam dans In Hell (2003) qui sera son plus grand succès en location aux États-Unis ; L'empreinte de la mort (Wake Of Death) de Philippe Martinez (2004) ; Ultime Menace (2006) ; The Hard Corps (2006) ; Jusqu'à la mort (Until Death) (2007) de Simon Fellows ; Trafic mortel (The Shepherd) (2008) d'Isaac Florentine ; Universal Soldier : Régénération (2009) ; Assassination Games (2011), Six Bullets (2012), Welcome to the Jungle (2013), Enemies closer (2013) et Pound of Flesh (2015).
Retour au cinéma
Jean-Claude Van Damme continue cependant d'apparaître au cinéma, notamment en France, avec L'Empreinte de la mort qui fait l'objet d'une sortie limitée, mais ce n'est qu'en 2008 qu'il fait son grand retour dans les salles françaises avec JCVD de Mabrouk El Mechri. Le film fait l'objet d'une sortie limitée aux États-Unis, cependant il reçoit des critiques très positives de la part du Los Angeles Times.
L'histoire de JCVD, film à mi-chemin entre fiction et réalité, se base sur la carrière et sur la personnalité de l'acteur. Bien que les critiques reconnaissent que Van Damme y déploie de vrais talents d'acteur, le public ne suit pas, et JCVD doit se contenter d'environ 165 000 spectateurs, ce qui est très peu au regard de la large promotion télévisuelle dont le film a bénéficié. Malgré une offre de la Twentieth Century Fox, Van Damme refuse d'apparaitre dans la suite de Street Fighter, notamment pour se consacrer à JCVD. Le film de la Fox sera alors remanié pour devenir Street Fighter: Legend of Chun-Li. Juste après, il auto-produit et réalise Frenchy. Le tournage a lieu en Thaïlande en 2008. La postproduction est chaotique et il préfère ainsi refuser un rôle proposé par Sylvester Stallone dans Expendables : Unité spéciale. Son film, qui change plusieurs fois de titres (Soldiers, The Eagle Path, Full Love) peine à trouver un distributeur et reste inédit.
Le 5 octobre 2011, il est à Grozny lors de la luxueuse fête du trente-cinquième anniversaire du président tchétchène Ramzan Kadyrov, qui l'a invité (ainsi qu'Hilary Swank ou Vanessa-Mae). La présence de ces têtes d'affiche crée la polémique, au regard des exactions commises par Kadyrov.
En 2011, il est la voix de maître Croc dans Kung Fu Panda 2.
À l'été 2012, pour la première fois depuis treize ans, il réapparaît dans les salles de cinéma aux États-Unis avec Expendables 2 : Unité spéciale. C'est également pour lui l'occasion de tourner un film avec Chuck Norris (bien que les deux acteurs n'apparaissent pas ensemble à l'écran). Le film engendre plus de 300 millions $ au box-office, ce qui en fait le film le plus rentable de la série. Au Festival de Cannes 2013, il annonce être à la tête d'un projet de série télévisée réalisée à Dubaï. Cette série, Luxury Meets Justice, est produite par Fashion TV, et se composera de deux saisons, comportant chacune un film-pilote, et 12 épisodes.
En 2016, il double à nouveau la voix de maître Croc dans Kung Fu Panda 3 ; le film rencontre un énorme succès.
En 2017, Il est le personnage principal dans la série Jean-Claude Van Johnson diffusée sur Prime Video.
En 2018, il revient dans la franchise Kickboxer avec Kickboxer : L'Héritage, sorti en DTV. Il apparaît ensuite aux côtés de Dolph Lundgren dans le film Black Water également sorti en DTV. Toujours en 2018, il revient au cinéma avec le drame Lukas.
En 2019, lors d'une interview pour la sortie remastérisée de Kickboxer, il annonce qu'il reviendra aux côtés de son fils Kris Van Damme dans le film The Tower qui sortira en 2020
Le 30 juillet 2021, il est à l'affiche du film Le Dernier Mercenaire, qui sort en exclusivité sur Netflix
Vie privée
En 1986, Jean-Claude Van Damme épouse la bodybuilder Gladys Portugues (en) ; ils ont deux enfants : Kristopher (1987) et Bianca (1990) ; ils divorcent en 1993. Il se remarie l'année suivante avec Darcy Lapier (en) qui lui donne un fils, Nicholas (1995) ; ils divorcent en 1997. En 1999, Gladys Portugues et JCVD se marient à nouveau
En 2007, il révèle au magazine Empire sa liaison avec la chanteuse Kylie Minogue durant le tournage de Street Fighter
Combats de karaté semi-contact
Jean-Claude Van Damme ne possède aucun titre de karaté. Sa biographie officielle fait état d'un titre de champion de Belgique de light-contact en 1978 (variante moins violente du full-contact et du kick-boxing), d'un titre de champion d'Europe de light contact en 1978, et de sa participation aux championnats du monde WAKO en Floride en 1979, où il est éliminé par un autre Belge, Patrick Teugels, ce dernier terminant 2e de la compétition.
Hommage
Le 17 octobre 2010, la chaîne de télévision belge RTL-TVI consacre une émission biographique à Jean-Claude Van Damme. Les personnes ayant marqué sa vie y sont invités (ses parents, son entraîneur Claude Goetz), il y reçoit également des mains de la ministre Belge de la Culture, de l'Audiovisuel, de la Santé et de l'Égalité des chances, Fadila Laanan, la médaille des Chevaliers de l'ordre de la Couronne.
En octobre 2012, il inaugure sa statue de bronze, grandeur nature, à Anderlecht (Belgique). Celle-ci est inspirée du personnage Frank Dux, qu'il incarne dans le film Bloodsport.
L'acteur a par ailleurs inspiré la création de la danse du Kuduro (musique électro africaine), basée sur une scène du film Kickboxer où le protagoniste danse en étant saoul. L'acteur apparaît comme un personnage clé du roman Comme un karatéka belge qui fait du cinéma de Jean-Claude Lalumière (Le Dilettante, février 2014).
Dans la série nord-américaine Sense8, l'un des personnages, Capheus, est fan de Jean-Claude Van Damme. Chauffeur de bus, il nomme le sien Van Damn, en référence à son acteur fétiche. Il obtient le surnom Van Damn après avoir gagné un combat à mains nues.
En 2020, le rappeur Jul sors un single nommé JCVD faisant allusion à Jean Claude van Damme
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MORT DE L'ACTEUR ET SCÉNARISTE JEAN-PIERRE BACRI, À 69 ANS
Le 18/01/2021 à 16:35
L'acteur, scénariste et réalisateur Jean-Pierre Bacri vient de mourir d'un cancer, à l'âge de 69 ans.
Son nom est associé à celui d'Agnès Jaoui, sa complice et alter ego à l'écran et derrière la caméra, depuis des décennies. Jean-Pierre Bacri, acteur, scénariste, réalisateur, vient de mourir à l'âge de 69 ans d'un cancer. "Il est mort en début d'après-midi", à Paris, a déclaré son agente Anne Alvares-Correa à l'AFP.
Avec Agnès Jaoui, il a écrit et tourné de nombreux films devenus des classiques, de Cuisine et dépendances, en 1992 à Place publique en 2018, en passant par Le Goût des autres, Comme une image...
En plus de quarante ans de carrière, il a promené sa silhouette d'éternel râleur dans plus d'une cinquantaine de films, se forgeant une image de type bourru, mais aussi de poufendeur du sectarisme culturel, du conformisme, des chapelles, de la servilité...
"Quand quelque chose me gonfle, je le dis!"
"Je sais que j'ai cette image de casse-couilles qui fait la gueule... C'est ma façon d'être", glissait au Monde en 2003, l'acteur né en Algérie en 1951. "Moi aussi, j'ai envie d'être aimé. Pas à n'importe quel moyen. Pour moi, le sourire doit être spontané ou ne pas être. Je n'ai rien à vendre, je ne suis ni VRP ni animateur de télévision. Les gens qui me connaissent savent que je suis un joyeux luron. J'aime rire et faire rire, mais quand quelque chose me gonfle, je le dis!"
"C'était quelqu'un d'extrêmement drôle, mais c'était l'envers d'un ricaneur", selon Jean-Michel Ribes, qui l'a mis en scène au théâtre à ses débuts. "Monté" à Paris à 23 ans, Jean-Pierre Bacri découvre le théâtre et les cours d'art dramatique, son premier "déclic". Le second sera sa rencontre avec Agnès Jaoui, en 1987, sur les planches, dans une pièce de Pinter, avec qui il formera un couple jusqu'en 2012 et un duo créatif jusqu'à aujourd'hui.
"Voilà quelqu'un qui exprimait ce que je ressentais sans même me l'être formulé; qui avait des réflexions qui me percutaient, me soulageaient, témoignaient de valeurs communes, d'un rapport au bien et au mal que je partageais, avec une conviction qui m'émerveillait car elle était si singulière"!", évoquait Agnès Jaoui dans Le Monde, le 17 janvier dernier.Les "Jabac"
Après le théâtre - il joue et écrit sa première pièce en 1977 - il décroche de petits rôles à la télévision et au cinéma, décrochant un petit rôle dans Le Toubib, avec Alain Delon. Après Le Grand Pardon d'Alexandre Arcady, en 1982, il craint d'être cantonné à des rôles de pied-noir, apparaît dans le Subway de Luc Besson en 1985, puis L'Eté en pente douce de Gérard Krawczyk en 1987, ou Les Saisons du plaisir, de Jean-Pierre Mocky, en 1988, Didier d'Alain Chabat, en 1997. Pour Alain Resnais, il joue en 1997 dans On connaît la chanson, au côté d'Agnès Jaoui, avec qui il signe également le scénario.
Les "Jabac" comme les surnomme affectueusement Alain Resnais, commencent leur collaboration avec la pièce de théâtre Cuisine et dépendances, qu'ils adaptent à l'écran en 1992. La même année, ils écrivent, toujours pour Resnais, Smoking/No smoking, puis en 1996, Un air de famille, que réalise Cédric Klapisch. Leur point de vue décalé et tendrement ironique sur la société française, fait mouche.
Le duo explose avec Le Goût des autres, première réalisation d'Agnès Jaoui - et près de 4 millions d'entrées en salles en 2000 - et impose son style.
"Traquer le vécu, refuser la tricherie"
"C'est quelqu'un qui avait non seulement un tempérament d'acteur, mais aussi des valeurs. Quelqu'un qui avait cette capacité à emmener vers son univers, ce en quoi il croyait", estime Jean-Michel Ribes sur BFMTV.
Jean-Pierre Bacri a été récompensé cinq fois aux César, où il a reçu quatre fois le trophée du meilleur scénario avec Agnès Jaoui, pour Smoking/No Smoking, Un air de famille, On connaît la chanson et Le Goût des autres, et une fois celui du meilleur acteur dans un second rôle pour On connaît la chanson.
Le comédien et auteur confiait il y a quelques années à l'AFP ne pas aimer les héros. Je "ne crois pas aux types éclatants de bonheur": "traquer le vécu, la sobriété, la pudeur", "refuser la tricherie" est une profession de foi.
N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.236.80.119) si quelqu'un porte plainte.
Maurice Risch est un acteur français né le 25 janvier 1943 à Paris
Maurice Risch suit les cours au Conservatoire national d'art dramatique. Il en sort en 1966 avec un premier prix moderne et un second prix classique
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Sa rondeur en fait rapidement l'un des piliers du théâtre de boulevard. Louis de Funès le fait débuter au cinéma, dans Le Grand Restaurant (1966) puis dans Les Grandes Vacances (1967) dans le rôle de Michonnet. En 1978, il devient l'un des gendarmes de Saint-Tropez dans les deux derniers épisodes de la saga. Il tourne avec Pascal Thomas, Yves Robert, Gérard Oury, Claude Confortès, mais aussi quelques « nanars » tels que Le Führer en folie (1972) ou Mon curé chez les Thaïlandaises (1983). Habitué aux seconds rôles, il tient le rôle-titre dans Gros dégueulasse (1985), adapté de la bande dessinée de Jean-Marc Reiser. Dans les années 1970, Maurice Risch avait un net air de famille avec Jacques Villeret, au point que certains confondaient parfois les deux comédiens. Ceux-ci interprètent d'ailleurs des frères dans le film Les Naufragés de l'île de la Tortue. La critique s'est parfois référée à cette ressemblance pour qualifier cruellement Maurice Risch de "Jacques Villeret des pauvres".
En parallèle, il est apparu dans des films plus "sérieux" comme Nous ne vieillirons pas ensemble (1972) de Maurice Pialat, Le Dernier Métro (1980) de François Truffaut ou Beau-père (1981) de Bertrand Blier.
En 1981, il manquera le rôle de l'extraterrestre, dans le film La Soupe aux choux de Jean Girault, finalement interprété par Jacques Villeret (v. ci-dessus). Les deux comédiens deviendront amis.Le comédien avait refusé ce rôle, car il avait accepté un second rôle sérieux dans le film Beau-Père, de Bertrand Blier. Ainsi, il changeait de registre, passant de la comédie comique à la comédie dramatique, où il montrait une autre facette de son talent.
À partir du milieu des années 1980, avec la fin des films dits « franchouillards », surtout des œuvres à petits budgets, Maurice Risch est de plus en plus absent du grand écran, moins demandé par les producteurs, et surtout par les réalisateurs. Il s'investit alors surtout au théâtre
Théâtre Comédien
1965 : La Dame de chez Maxim de Georges Feydeau, mise en scène Jacques Charon, théâtre du Palais-Royal 1968 : La Bonne Adresse de Marc Camoletti, mise en scène Christian-Gérard, théâtre de la Potinière 1969 : Frédéric de Robert Lamoureux, mise en scène Pierre Mondy, théâtre des Ambassadeurs 1969 : Échec et Meurtre de Robert Lamoureux, mise en scène Jean Piat, théâtre des Ambassadeurs 1970 : Brouart et le désordre de Claude Aveline, mise en scène Jean Meyer, théâtre des Célestins 1970 : Voulez-vous jouer avec moâ ? de Marcel Achard, mise en scène Jacques Échantillon, théâtre La Bruyère 1970 : Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand, Théâtre des Célestins (Lyon) avec Jean Marais 1972 : Mais qu'est-ce qui fait courir les femmes, la nuit à Madrid ? de Daniel Ceccaldi, Festival du Marais 1972 : Le Plaisir conjugal d'Albert Husson, mise en scène Robert Manuel, théâtre de la Madeleine 1973 : Mais qu'est-ce qui fait courir les femmes, la nuit à Madrid ? de Daniel Ceccaldi, théâtre de l'Athenée 1974 : Le Médecin malgré lui de Molière, mise en scène Jean-Louis Thamin, théâtre de l'Atelier 1974 : Et à la fin était le bang de René de Obaldia, mise en scène Pierre Franck, théâtre de l'Atelier 1975 : En r'venant de l'expo de Jean-Claude Grumberg, mise en scène Jean-Pierre Vincent, Théâtre national de l'Odéon 1975 : L'Éventail de Carlo Goldoni, mise en scène Daniel Ceccaldi, Festival du Marais 1975 : La Grosse de Charles Laurence, mise en scène Jean Le Poulain, théâtre des Bouffes-Parisiens 1980 : Silence... on aime de Michel Lengliney, mise en scène Maurice Risch, théâtre des Bouffes-Parisiens 1981 : Mademoiselle de Jacques Deval, mise en scène Jean Meyer, Théâtre des Célestins, théâtre de la Michodière 1982 : Vive les femmes ! de Jean-Marc Reiser, mise en scène Claude Confortès, théâtre de la Gaîté-Montparnasse 1983 : Vive les femmes ! de Jean-Marc Reiser, mise en scène Claude Confortès, théâtre Fontaine 1984 : Le Bluffeur de Marc Camoletti, mise en scène de l'auteur, théâtre des Variétés 1984 : Les Précieuses ridicules de Molière, mise en scène Jean Meyer, Lyon théâtre des Célestins 1985 : Topaze de Marcel Pagnol, mise en scène Jean Meyer, Lyon théâtre des Célestins 1987 : Y a-t-il un otage dans l'immeuble ? d'Alain Reynaud-Fourton, mise en scène Maurice Risch, théâtre Daunou 1988 : Pyjama pour six de Marc Camoletti mise en scène de l'auteur, théâtre Michel 1989 : La Bonne Adresse de Marc Camoletti, mise en scène de l'auteur, théâtre Michel 1990 : Lady Godiva de Jean Canolle, mise en scène de Jacqueline Boeuf [archive], Lyon Théâtre tête d'or 1991 : Trois partout de Ray Cooney, adap Jean Poiret, mise en scène Pierre Mondy, tournée 1993 : Coup de foudre de et mise en scène Francis Joffo, tournée 1993 : Vent de folie de Bernard Granger, mise en scène Maurice Risch, théâtre d'Edgar 1994 : Le Bal des voleurs de Jean Anouilh, mise en scène Jean-Claude Brialy, Festival d'Anjou 1995 : L'Hôtel du libre échange de Georges Feydeau, mise en scène Franck de la Personne, théâtre de la Michodière 1995 : Le Portefeuille de Pierre Sauvil et Éric Assous, mise en scène Jean-Luc Moreau, tournée 1998 : Les Casseroles de Jean Galabru, mise en scène Michel Galabru, tournée 1999 : Coup double de Serge Pénard, tournée 2000 : Espèces menacées de Ray Cooney, mise en scène Éric Civanyan, tournée 2000 : Le Bourgeois gentilhomme de Molière, Mise en scène Gérard Savoisien, tournée 2001 : Bon appétit, messieurs ! de Jean Galabru, mise en scène Olivier Macé et Jean-Pierre Dravel, théâtre Comédia 2003 : Quel cinéma ! de Francis Joffo, mise en scène de l'auteur, théâtre du Palais-Royal 2007 : Le Système Ribadier de Georges Feydeau, tournée 2008 : Ma femme s'appelle Maurice de Raffy Shart, mise en scène Jean-Luc Moreau, théâtre des Nouveautés 2008 : Les Bidochon de Christian Binet, mise en scène Jean-Luc Borras, théâtre des Mathurins 2009 : Drôles de parents de Daniel Wilder, mise en scène Maurice Risch, tournée 2012 : Ça reste en famille de Bernard Granger, mise en scène Maurice Risch, tournée, Le Palace 2013 : Coup de foudre de Francis Joffo, mise en scène de l'auteur, tournée 2015 : Ma femme est sortie de Jean Barbier, mise en scène Jean-Pierre Dravel et Olivier Macé, tournée puis théâtre Daunou 2016 - 2019 : Ma colocataire est une garce de Michel Delgado, tournée
Metteur en scène
1979 : Un roi qu'a des malheurs de Rémo Forlani, théâtre La Bruyère 1987 : Y a-t-il un otage dans l'immeuble ? d'Alain Reynaud-Fourton, théâtre Daunou 1980 : Silence... on aime de Michel Lengliney, théâtre des Bouffes-Parisiens 1993 : Vent de folie 1998 : Le Médecin malgré lui de Molière 2002 : Patate de Marcel Achard, théâtre des Nouveautés 2009 : Drôle de parents 2012 : Ça reste en famille
Filmographie Cinéma
1966 : Le Grand Restaurant de Jacques Besnard : Julien 1967 : Les Grandes Vacances de Jean Girault : Stéphane Michonnet 1970 : Le Pistonné de Claude Berri : Clochon 1972 : L'Œuf de Jean Herman : Gustave 1972 : Nous ne vieillirons pas ensemble de Maurice Pialat : Michel 1972 : Le Führer en folie de Philippe Clair : Toto 1972 : Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil de Jean Yanne : un rédacteur 1973 : Salut l'artiste de Yves Robert : le photographe 1975 : Opération Lady Marlène de Robert Lamoureux : le soldat du métro 1976 : L'Éducation amoureuse de Valentin de Jean L'Hôte : Louis 1976 : Le Trouble-fesses de Raoul Foulon : Ernesto Capoli 1976 : Les Naufragés de l'île de la Tortue de Jacques Rozier : Gros Nono 1977 : Un oursin dans la poche de Pascal Thomas : Benjamin 1978 : La Zizanie de Claude Zidi : l'imbécile 1978 : Le Gendarme et les Extra-terrestres de Jean Girault : Beaupied 1980 : Le Dernier Métro de François Truffaut : Raymond Boursier 1980 : Le Coup du parapluie de Gérard Oury : le producteur de Paris 1980 : Les Fourberies de Scapin de Roger Coggio : Sylvestre 1981 : Signé Furax de Marc Simenon : l'ivrogne de l'Obélisque 1981 : Beau-père de Bertrand Blier : Nicolas 1981 : L'Ombre rouge de Jean-Louis Comolli : Marcel 1982 : Le Gendarme et les Gendarmettes de Jean Girault : Beaupied 1982 : Les P'tites Têtes de Bernard Menez : Henri 1983 : Mon curé chez les Thaïlandaises de Robert Thomas : le curé Maximin 1984 : Vive les femmes ! de Claude Confortès : Mammouth 1984 : La Smala de Jean-Loup Hubert : Gégène 1984 : Retenez-moi... ou je fais un malheur ! de Michel Gérard : Farett 1985 : Gros dégueulasse de Bruno Zincone : Gros dégueulasse 1986 : Les Clowns de Dieu de Jean Schmidt : Mac Goy 1986 : Paulette, la pauvre petite milliardaire de Claude Confortès : le chef du personnel 1986 : Justice de flic de Michel Gérard : Bernadac 1994 : La Cité de la peur d'Alain Berbérian : le journaliste cinématographique 2001 : Mercredi, folle journée ! de Pascal Thomas : Grogneau 2005 : Mon petit doigt m'a dit... de Pascal Thomas : M. Coupelay 2006 : Le Grand Appartement de Pascal Thomas : Ravambuse
Télévision
1970 : Les Six Jours de Arlen Papazian : le déménageur 1971 : La Dame de Monsoreau de Yannick Andréi 1973 : La Porteuse de pain de Marcel Camus 1974 : Gil Blas de Santillane de Jean-Roger Cadet : le moine 1977 : Recherche dans l'intérêt des familles, épisode Le PDG de Philippe Arnal 1978 : L'Équipage de André Michel : Marbot 1978 : Le Retour de Jean de Robert Guez 1980 : Les Incorrigibles de Abder Isker : Bruno 1981 : Nana de Maurice Cazeneuve : l'animateur du bal 1982 : Médecins de nuit d'Emmanuel Fonlladosa, épisode : La Dernière Nuit : M. Martinez 1987 : Capitaine James Cook de Lawrence Gordon Clark : Monkhouse 1987 : Les Enquêtes du commissaire Maigret, épisode : Les Caves du Majestic tiré du roman de Simenon et réalisé par Maurice Frydland 1989 : Douce France de Don Kent : Maurice Laigle 1990 : La Bonne Adresse de Georges Folgoas : Bernard 1991 : Appelez-moi Tonton de Dominique Baron : M. Anselme 1992 : Tout ou presque de Claude Vital 1995 : Une femme dans la tempête de Bertrand Van Effenterre : Ernest Belon 1997 : Une soupe aux herbes sauvages d'Alain Bonnot : Vaucheux 2000 : Les Jours heureux de Luc Béraud : Robert 2002 : Marc Eliot (1 épisode) 2005 : L'Évangile selon Aîmé de André Chandelle : Albert 2008 : Petites vacances à Knokke-le-Zoute de Yves Matthey : Génécand 2014 : No Limit (Saison 3, épisode 8) : Michel
Au théâtre ce soir
1966 : L'Amour toujours l'amour de Jacques Vilfrid et Jean Girault, mise en scène Pierre Mondy, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny 1970 : Frédéric de Robert Lamoureux, mise en scène Pierre Mondy, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny 1971 : Zoé de Jean Marsan, mise en scène de l'auteur, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny 1971 : Voulez-vous jouer avec moâ ? de Marcel Achard, mise en scène Jacques Échantillon, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny 1972 : Lysistrata d'Albert Husson d'après Lysistrata d'Aristophane, mise en scène Robert Manuel, réalisation Georges Folgoas, théâtre Marigny 1978 : Le Misanthrope et l'Auvergnat d'Eugène Labiche et Marc Michel, mise en scène Jean Le Poulain, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny 1979 : Mon crime de Louis Verneuil et Georges Berr, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny 1980 : Silence on aime de Michel Lengliney, mise en scène Maurice Risch, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny 1981 : Mademoiselle de Jacques Deval, mise en scène Jean Meyer, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny
Doublage Cinéma Films
1980 : Popeye : Castor Oyl (Donovan Scott) 1984 : Il était une fois en Amérique : 'Fat' Moe Gelly (Larry Rapp) (1er doublage) 1984 : Amadeus : le valet de Salieri (Vincent Schiavelli) (1er doublage) 1984 : Splash : Freddie Bauer (John Candy) 1985 : Peur bleue : Milt Sturmfuller (James A. Baffico) 1987 : Un couple à la mer : Billy Pratt (Mike Hagerty) 1991 : La Vie, l'Amour, les Vaches : Ira Shalowitz (David Paymer) Dessins animés 1986 : Astérix chez les Bretons : Chateaupétrus
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1980 : Fly-tox Insecticide
Anecdotes
Souvent confondu avec Jacques Villeret dans les années 1970 en raison de leur ressemblance, il interprètera son frère dans le film Les Naufragés de l'île de la Tortue.
Il est avec Patrick Prejean un des derniers acteurs encore en vie à avoir incarné un des gendarmes de Saint-Tropez.
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Patrick Bourdeaux, dit Patrick Dewaere [patʁik dəvɛʁ] est un acteur français né le 26 janvier 1947 à Saint-Brieuc (France) et mort le 16 juillet 1982 à Paris 14e.
Au départ enfant acteur parmi les « petits Maurin », il s'émancipe au sein de la troupe du café de la Gare puis est révélé au grand public avec Gérard Depardieu dans le film Les Valseuses en 1974, devenant une valeur montante du cinéma français, tournant pour différents réalisateurs comme Claude Miller, Yves Boisset, Jean-Jacques Annaud, André Téchiné, Alain Corneau, Henri Verneuil ou encore pour son ami Bertrand Blier.
Considéré comme un des acteurs les plus brillants de sa génération, son jeu se caractérise par un naturel, une exactitude et une vérité dans les expressions, dans les gestes et dans les attitudes proches de l'Actors Studio, inventives et généreuses même si à la fin des années 1970 les critiques préfèrent alors les « rondeurs » et le jeu de son alter-ego professionnel, concurrent et ami Gérard Depardieu. Il est ainsi l'un des grands oubliés de la cérémonie des César, jamais récompensé, malgré une nomination comme meilleur acteur dans un second rôle et cinq nominations au César du meilleur acteur.
Alternant les drames, les comédies ou comédies dramatiques, les thrillers et les polars, il marque par ses apparitions dans F... comme Fairbanks (1976), Coup de tête (1979), Série noire (1979), Un mauvais fils (1980), Beau-père (1981), Hôtel des Amériques (1981) et Paradis pour tous (1982) ainsi que dans de grands succès publics — étant un temps plus populaire que Depardieu au box-office — tels que Adieu poulet (1975) avec Lino Ventura, Le Juge Fayard dit « le Shériff » (1977), La Clé sur la porte (1978) avec Annie Girardot, et Préparez vos mouchoirs (1978) où il retrouve Depardieu.
Il se suicide à l'âge de trente-cinq ans, après avoir joué dans trente-sept longs métrages et incarné une soixantaine de personnages différents au théâtre, au cinéma et à la télévision durant trente et un ans, ayant aussi composé plusieurs chansons pour Françoise Hardy ainsi que d'autres titres qu'il interprète lui-même et écrit la musique du film F... comme Fairbanks.
Il est le père de la scénariste Angèle Herry, qu'il a eue avec Miou-Miou, et de la comédienne Lola Dewaere.
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La Tendresse est une chanson française écrite par Noël Roux et composée par Hubert Giraud (1920-2016), interprétée par Bourvil (1917-1970) en 1963, puis reprise dès l'année suivante par Marie Laforêt (1939-2019), en 1964. Le compositeur co-éditera l'œuvre avec les éditions SEMI. La dernière reprise de cette chanson en date, est celle d'Allan Vermeer.
Le texte de la chanson évoque cette forme d'affection présentée comme bienveillante et surtout indispensable (selon le sens de la chanson) aux êtres humains. Les meilleures comme les pires choses sont le lot quotidien des individus qui pour surmonter cette vie quelquefois « impitoyable » ont besoin de tendresse. La chanson, accompagnée par une musique très douce mais entraînante
Distribution
La chanson est distribuée dans un super 45 tours avec trois autres chansons de Bourvil, puis dans un album 33 tours, 30 cm, chez Pathé Marconi
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Interprétations
Cette chanson a été reprise en 1964 dans l'album « Viens sur la montagne » de Marie Laforêt. Elle figure dans la compilation « Tendre Bourvil », sortie en 1973.
La chanson a aussi été interprétée par de nombreux artistes, dont Maurane, le groupe de reggae Kana, Morice Benin, Nolwenn Leroy, Patrick Fiori, le Trio Esperança, Luc Arbogast, Corinne Sauvage, Mouloudji, Jean Lefebvre, Kids United, Debout sur le Zinc, Zaz et Jenifer pour les Enfoirés. Ainsi que par l'artiste originaire de Bordeaux TIOU. Il existe aussi une version en yiddish (avec un couplet en français) par le groupe Les Yeux noirs, sous le titre "Liebkeit (la tendresse)" sur l'album Balamouk.
En mars 2020, à l'initiative du guitariste Valentin Vander, 45 musiciens et chanteurs reprennent, depuis leur lieu de confinement, La Tendresse sous la forme d'une Symphonie Confinée,, en soutien aux victimes de la pandémie de Covid-19, interprétation diffusée le 29 mars 2020
On peut vivre sans richesse Presque sans le sou Des seigneurs et des princesses Y'en a plus beaucoup Mais vivre sans tendresse On ne le pourrait pas Non, non, non, non On ne le pourrait pas On peut vivre sans la gloire Qui ne prouve rien Etre inconnu dans l'histoire Et s'en trouver bien Mais vivre sans tendresse Il n'en est pas question Non, non, non, non Il n'en est pas question Quelle douce faiblesse Quel joli sentiment Ce besoin de tendresse Qui nous vient en naissant Vraiment, vraiment, vraiment Le travail est nécessaire Mais s'il faut rester Des semaines sans rien faire Eh bien, on s'y fait Mais vivre sans tendresse Le temps vous paraît long Long, long, long, long Le temps vous parait long
Dans le feu de la jeunesse Naissent les plaisirs Et l'amour fait des prouesses Pour nous éblouir Oui mais sans la tendresse L'amour ne serait rien Non, non, non, non L'amour ne serait rien Quand la vie impitoyable Vous tombe dessus On n'est plus qu'un pauvre diable Broyé et déçu Alors sans la tendresse D'un cur qui nous soutient Non, non, non, non On n'irait pas plus loin Un enfant nous embrasse Parce qu'on le rend heureux Tous nos chagrins s'effacent On a les larmes aux yeux Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu Dans votre immense sagesse Immense ferveur Faites donc pleuvoir sans cesse
Au fond de nos curs Des torrents de tendresse Pour que règne l'amour Règne l'amour Jusqu'à la fin des jours
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