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4 articles taggés 10 avril

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Brigitte Bardot charge à nouveau Emmanuel Macron

“Il est bien embêté” : Brigitte Bardot charge à nouveau Emmanuel Macron
 
 
Brigitte Bardot charge à nouveau Emmanuel Macron 
 
« IL NE SAIT PAS GOUVERNER »
Mathieu Lecerf | mercredi 8 avril 2020 à 22h51
 

 
En pleine pandémie de coronavirus, qui a déjà fait plus de 10 000 morts en France et oblige la population à rester cloîtrée chez elle, le chef de l'Etat Emmanuel Macron doit essuyer plâtres et critiques, notamment celles répétées de l'ancienne actrice Brigitte Bardot.
 
Alors que la pandémie de coronavirus a déjà fait plus de 10 000 morts en France, que la population est confinée depuis bientôt un mois, et que le pic devrait être seulement atteint dans les prochains jours, Emmanuel Macron est plus que jamais en première ligne et s'il continue de "se mêler de tout", il est aussi la cible de toutes les critiques depuis le début de la crise sanitaire, notamment récemment après avoir provoqué un rassemblement lors d'une visite en Seine-Saint-Denis.
Parmi ses détracteurs récurrents, on retrouve la mythique Brigitte Bardot. L'ancienne actrice de 85 ans, star de films comme Le Mépris ou La Vérité, et amoureuse des animaux devant l'Éternel, ne manque en effet pas une occasion de dire tout le mal qu'elle pense du président de la République, et quand elle ne s'en prend pas directement à Emmanuel Macron, c'est envers sa femme Brigitte (Macron) que Brigitte (Bardot) sort les griffes.
 
"Je suis confinée depuis 10 ans !"
 
Coutumière donc du fait de tacler le couple présidentiel, l'ancienne star de cinéma en a remis une couche dans une interview accordée au Figaro ce 7 avril, dans laquelle elle a particulièrement décrié la situation sanitaire de la France et tiré à boulets rouges sur l'exécutif : "Les humains doivent avoir d'autres valeurs que celles de la finance. Le président de la République a tout fait pour qu'on en arrive là. Maintenant, il est bien embêté. On ne doit pas dépendre du monde entier pour les produits indispensables à notre sécurité, à notre santé. On est en manque de médicaments. Et surtout d'un président qui sache gouverner, car ce n'est pas le cas d'Emmanuel Macron." Avant d'en rajouter : "Je n'ai jamais connu un monde aussi invivable, aussi destructeur, aussi violent, avec un tel manque de liberté, que celui d'aujourd'hui. J'ai vécu des années absolument magnifiques. Nous étions libres. On pouvait s'amuser, vivre sans être toujours poursuivis par des caméras, des lois, des arrêtés préfectoraux... "
 
Et de conclure sur le sujet : "Je suis confinée depuis 10 ans, ça ne me change rien ! Je ne suis pas une grande passionnée de l'être humain, je ne vois pas grand-monde."
 
 
 



Tags : Brigitte Bardot, Emmanuel Macron, Cinéma, Actrice, 28 septembre 1934, 28 septembre, 1934, Paris, Chanteuse, Musique, Fondation Brigitte-Bardot, Brigitte Anne-Marie Bardot, Brigitte, BB, 10 avril 2020, 10 avril, 2020
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#Posté le vendredi 10 avril 2020 16:49

Vladimir Ilitch Lénine

Vladimir Ilitch Lénine
Vladimir Ilitch Oulianov, dit Lénine à partir de 1901, est un révolutionnaire communiste, théoricien politique et homme d'État russe, né le 10 avril 1870 (22 avril 1870 dans le calendrier grégorien) à Simbirsk (aujourd'hui Oulianovsk) et mort le 21 janvier 1924 à Vichnie Gorki (aujourd'hui Gorki Leninskie).
 
Il rejoint à la fin du XIXe siècle le Parti ouvrier social-démocrate de Russie, la section russe de la Deuxième Internationale, puis provoque en 1903 une scission du Parti russe et devient l'un des principaux dirigeants du courant bolchevik. Auteur d'une importante ½uvre écrite d'inspiration marxiste, il se distingue par ses conceptions politiques qui font du parti l'élément moteur de la lutte des classes et de la dictature du prolétariat.
 
En 1917, après l'effondrement du tsarisme, les bolcheviks s'emparent du pouvoir en Russie lors de la révolution d'Octobre. La prise du pouvoir par Lénine donne naissance à la Russie soviétique, premier régime communiste de l'histoire, autour de laquelle se constitue ensuite l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS). Lénine et les bolcheviks parviennent à assurer la survie de leur régime, malgré leur isolement international et un contexte de guerre civile. Ayant pour ambition d'étendre la révolution au reste du monde, Lénine fonde en 1919 l'Internationale communiste : il provoque à l'échelle mondiale une scission de la famille politique socialiste et la naissance en tant que courant distinct du mouvement communiste, ce qui contribue à faire de lui l'un des personnages les plus importants de l'histoire contemporaine. Il instaure également le parti unique en URSS.
 
En mars 1923, Lénine est définitivement écarté du jeu politique par la maladie ; il meurt en début d'année suivante. Deux successeurs se présentent : Joseph Staline et Léon Trotski. Lénine ne voulait pas que le premier gouverne et préférait Trotski, mais Staline sort finalement vainqueur de cette rivalité. Les idées de Lénine sont, après sa mort, synthétisées au sein d'un corpus doctrinal, baptisé léninisme, qui donne ensuite naissance au marxisme-léninisme, idéologie officielle de l'URSS et de l'ensemble des régimes communistes durant le XXe siècle.
 
La continuité politique entre Lénine et Staline fait l'objet de débats ; certains auteurs ont souligné que la philosophie politique et la pratique du pouvoir de Lénine contiendraient des éléments clés de la dictature au sens moderne du terme, voire du totalitarisme quand d'autres soutiennent l'idée d'une rupture entre les pratiques des deux dirigeants. À l'international, certains historiens le comparent parfois à Oliver Cromwell et Maximilien de Robespierre, puisqu'ils sont considérés comme les principaux responsables de régicides, tout en se rendant ultérieurement responsables de pratiques répressives et d'expériences dictatoriales voire proto-totalitaires éloignées des idéaux de libertés affichés lors des révolutions menées


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Tags : Vladimir Ilitch Lénine, Vladimir Ilitch Oulianov, Lénine, 10 avril 1870, 10 avril, 1870, Simbirsk, Oulianovsk, 21 janvier 1924, 21 janvier, 1924, Vichnie Gorki, Gorki Leninskie, Vladimir, Politique, dessinsagogo55
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#Posté le mercredi 16 mars 2022 06:30

Modifié le dimanche 10 avril 2022 17:42

Auguste Lumière


 
 Auguste Lumière
 
Auguste Lumière, né le 19 octobre 1862 à Besançon et mort le 10 avril 1954 à Lyon, est un ingénieur, industriel, biologiste français, pionnier de la médecine humorale et illusionniste. Au cours des années 1894-1895, il participa avec son frère Louis à l'invention d'un appareil de prise de vues photographiques animées et de projection, le Cinématographe, qui rencontra un succès mondial.

Jeunesse

Auguste Marie Louis Nicolas Lumière est fils de l'industriel, peintre et photographe Antoine Lumière, né le 13 mars 1840 à Ormoy (Haute-Saône), et de Jeanne Joséphine Costille, née le 29 septembre 1841 à Paris. Il eut deux frères et trois s½urs : Louis (1864-1948), Jeanne (1870-1926), Juliette (1874-1924), France (1883-1924) et Édouard (1884-1917).
 
Formation

Après huit années passées à Besançon, Auguste déménage avec toute sa famille à Lyon. Il commence sa scolarité comme interne à l'institution Franklin puis entre en 1876 à La Martinière, école hautement réputée à l'époque pour former des scientifiques. Au sortir de La Martinière, Auguste envisagea très sérieusement d'entrer à l'École polytechnique mais la formation qu'il avait reçue ne comportait pas certaines matières dont la connaissance était obligatoire pour passer son baccalauréat et y postuler, telles le latin, la philosophie ou la littérature. Il prépara donc son baccalauréat tout seul, qu'il obtint en juillet 1879, grâce à un précepteur, un certain Perronet, étudiant en médecine. Il suivit ensuite un cycle de mathématiques spéciales au Lycée de Lyon (sic).
Des problèmes de santé obligèrent Auguste à interrompre ses études en 1881.
 
L'armée

Ainsi libéré de ses études supérieures, Auguste Lumière devance son appel au service militaire et fut incorporé le 11 novembre 1881 au 97e régiment d'infanterie de Chambéry, qu'il quitta un an plus tard, le 12 novembre 1882 avec le grade de sergent. Année sous les drapeaux pendant laquelle il faisait - dit-il - des croquis au crayon entre deux exercices. Ayant accepté de suivre une formation pour devenir officier de réserve, il fut nommé sous-lieutenant, affecté au 22e bataillon de chasseurs alpins, puis gravit quelques échelons pour devenir capitaine honoraire dans l'armée territoriale en 1912. Au titre de la réserve, le capitaine Auguste Lumière eut l'occasion d'organiser pour l'état-major de Lyon un service photographique, ancêtre du service cinématographique des armées (SCA, aujourd'hui ECPAD).
Dès l'entrée en guerre de la France en juillet 1914, Auguste Lumière demande aussitôt à reprendre du service. À la suite de son expérience de clinicien et de chercheur, et en tant qu'ancien administrateur des Hospices Civils de Lyon, il est affecté au Service de Santé de l'Hôtel-Dieu, chargé de la gestion du service radiographique, car il en connaissait déjà les équipements. De 1914 à 1918 plus de dix-huit mille radios de malades ont été effectuées, et leurs développements et tirages furent offerts par la Société Lumière. C'est pendant ces années passées à l'Hôtel-Dieu qu'Auguste Lumière énonça les lois de la cicatrisation, qui le conduisirent à inventer un pansement pour le traitement des brûlures qui eut un succès mondial considérable, le Tulle gras Lumière, encore commercialisé aujourd'hui. A partir de 1932, il apporta son aide aux différentes recherches menées par son confrère le docteur Jos Jullien de Joyeuse en Ardèche.
 
Mariage et descendance

Auguste Lumière épousa Marguerite Winckler (1874-1963) le 31 août 1893, dont la s½ur Rose (1868-1925) avait épousé son frère Louis en février de la même année. Ils eurent deux enfants, Andrée (1894-1918), décédée de la Grippe espagnole lors de la célèbre pandémie qui fit trente millions de morts de par le monde selon l'Institut Pasteur, et Henri (1897-1971), aviateur et industriel, qui prit la succession de son père et de son oncle peu avant la Deuxième Guerre mondiale.
 
Carrière

Loi des développateurs

1883, c'est l'année de l'entrée dans la vie active, et Auguste Lumière commence tout naturellement à travailler dans la boutique de photographe de son père, avec son frère Louis. De son expérience et de ses recherches, il tirera en 1892 un énoncé de la Loi des développateurs (révélateur photo) :
« Pour qu'une substance de la série aromatique soit un développateur, il faut qu'il y ait, dans un même noyau, deux groupements hydroxylés {\displaystyle OH}OH ou deux groupements aminés {\displaystyle NH^{2}}NH^2, ou un hydroxylé et un aminé, en position ortho ou para. »
 
L'invention du Cinématographe
 

« C'est à la fin de l'été 1894, sur la demande de leur père émerveillé par le Kinétoscope d'Edison9 », qu'Auguste et Louis se lancent dans la recherche d'un mécanisme permettant de projeter des images photographiques animées devant un public. Lors d'un voyage à Paris en 1894, leur père Antoine avait assisté sur les grands boulevards à une démonstration de l'appareil de visionnement inventé par William Kennedy Laurie Dickson, l'assistant de Thomas Edison pour voir individuellement les premiers films réalisés par Dickson avec la première caméra de cinéma, le kinétographe, utilisant un support souple et résistant inventé par John Carbutt et commercialisée par George Eastman, qu'Edison avait eu l'idée de débiter en bobineaux de 35 mm de large, perforés sur les bords pour assurer l'entraînement intermittent par des rouleaux dentés. « Le cinéma, tel que nous le connaissons aujourd'hui, a commencé avec l'invention du kinétographe et du kinétoscope. Ces deux appareils représentent la première méthode viable de la cinématographie. » Antoine Lumière avait aussi eu l'occasion d'assister à une projection des premiers dessins animés du cinéma, peints directement par Émile Reynaud sur une pellicule de 70 mm de large. Les Lumière étaient persuadés qu'il leur fallait inventer une machine qui couplerait la pellicule photographique perforée du type Edison avec une projection sur grand écran devant un public assemblé, à la manière de Reynaud. Le 26 décembre 1894, un article du Lyon républicain rapporte que « les frères Lumière [...] travaillent actuellement à la construction d'un nouveau kinétographe, non moins remarquable que celui d'Edison et dont les Lyonnais auront sous peu, croyons-nous, la primeur. » Comme on le constate, le kinétographe Edison est encore la référence, puisque, d'un point de vue historique, il est le premier appareil de prise de vues cinématographiques. Mais l'invention des frères lyonnais va le supplanter. Auguste est le premier à développer leur projet avec un mécanicien des usines Lumière, Charles Moisson, et cet essai aboutit à un échec.
Son frère Louis reprend alors les recherches et, avec l'aide de l'ingénieur parisien Jules Carpentier, qui apporte de nombreuses transformations, il produit une première machine qu'Antoine Lumière veut baptiser « Domitor », mais qui sera finalement désignée sous l'appellation déposée de Cinématographe. Le choix de Jules Carpentier et des deux frères a été de réunir en une seule machine plusieurs fonctions, moyennant quelques accessoires : la prise de vues, la projection sur écran, le tirage des copies. Un triple dispositif que toute personne aisée peut acheter, contrairement au kinétographe, utilisé en exclusivité par Dickson et les opérateurs d'Edison, dont seuls les films déjà tournés sont à vendre avec une machine spécifique pour les visionner individuellement, le kinétoscope (l'utilisation du mot anglais film, qui signifie couche, voile, pour désigner les bobineaux de pellicule impressionnés est due à Edison). Louis va mettre son talent de photographe, hérité de son père, pour réaliser les premiers films Lumière qu'il baptise vues photographiques animées. Auguste apparaît dans plusieurs d'entre elles comme comédien amateur, ou plutôt comme sujet de ces petits reportages en un seul plan d'une cinquantaine de secondes chacun.
Au cours de l'année 1895, des projections privées sont organisées par la famille Lumière pour consulter le monde scientifique, puis c'est la célèbre première projection publique du 28 décembre au Salon indien du Grand Café à Paris, qui ne réunit qu'une poignée de spectateurs, et ensuite c'est le succès phénoménal du cinématographe qui provoque dans le monde l'émergence de nombreuses autres caméras déjà en gestation.

La vocation de biologiste

Comme il le dit lui-même dans son autobiographie, Auguste se désintéresse alors du cinéma ("j'abandonnais le problème à mon frère") et continue à se poser des questions sur les caractéristiques chimiques des développateurs, ce qui l'amena à créer un laboratoire de physiologie expérimentale et de pharmacodynamique pour orienter ses découvertes vers la médecine expérimentale. Ce seront les Laboratoires Lumière, construits 45 rue Villon à Lyon, dirigés par lui-même jusqu'au 25 octobre 1940, date à laquelle il passe la présidence de son entreprise à son fils Henri.
Auguste continuera à travailler avec passion jusqu'à sa mort en 1954, recherchant sans cesse des réponses aux Pourquoi de la Science.
 
Les années de guerre et de collaboration

« Sympathisant du régime de Vichy » selon Alexandre Moatti, « Auguste Lumière, comme son frère, adhère aux idées de la révolution nationale. C'est pour lui une véritable bouffée d'oxygène : la remise en cause des pouvoirs traditionnels qu'elle implique le séduit. Depuis vingt ans, lui aussi se bat contre le pouvoir établi, celui des académiciens [...] Auguste Lumière, alors âgé de 79 ans, reprend son antienne sur le "martyrologe des novateurs" qui pave l'histoire des grandes découvertes. » C'est alors qu'il publie en particulier Les Fossoyeurs du progrès, les mandarins contre les pionniers de la science, dans lequel il propose une réforme de l'Académie des sciences, sinon sa suppression, qu'il s'agirait de remplacer par un organisme chargé de « soutenir les artisans du progrès et de les protéger contre l'incompréhension et les bassesses de leurs concitoyens. » Moatti s'interroge à ce propos : « [la reconnaissance] que l'Académie d'avant 1940 ne lui a pas accordée, la révolution nationale de Vichy la lui apportera-t-elle ? En ce sens, les dérives idéologiques d'hommes ayant cherché vainement la reconnaissance de leurs travaux scientifiques ne peut-elle s'expliquer par un transfert vers le domaine de l'idéologie politique de leur envahissant besoin de reconnaissance – par exemple à la faveur d'une révolution qui peut favoriser un tel transfert, chez ces esprits déjà échauffés ? »
Nommé en 1941 au conseil municipal de Lyon, il est décoré de l'ordre de la Francisque comme son frère Louis et fait partie du comité d'honneur de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme, aux côtés de Fernand de Brinon, d'Abel Bonnard et d'Alphonse de Chateaubriant. Cependant, comme le relève Pascal Ory à propos de l'un comme de l'autre des frères Lumière, « pour un Lumière, un d'Arsonval, un Jean-Louis Faure, le stade d'une ou deux déclarations à la presse ne sera guère dépassé, même si la propagande sait en tirer le maximum. » Dans le même ordre d'idées, Paul Ariès relève à propos de sa participation au conseil municipal vichyste qu'« Auguste [écrit] à [son frère] Louis ne rien comprendre à ce qui se dit au sens propre mais peut-être aussi au sens figuré. »
 
Les publications de l'après-guerre

Auguste Lumière publia après-guerre un certain nombre d'autres ouvrages :
Aures habent et non audient, impr. c/o Laboratoires Lumière, 1950
La Recherche scientifique, Société d'édition d'enseignement supérieur, 1948.
Tuberculose. Contagion, hérédité, Imprimerie Léon Sézanne, 1930.
La maladie cette grande inconnue, 1949
Vérités de demain. Rhumatisme, Inflammation, Tuberculose, Cancer, Syphilis 2e édition 1951
Le Cancer et le secret de sa genèse, 1953
Mes travaux et mes jours, La Colombe, 1953
 
Créations
 
Enregistreur pour inscriptions continues d'analyses médicales inventé par Auguste Lumière en 1900.
Les différents établissements créés par Auguste Lumière ne disposaient pas toujours de tous les équipements nécessaires à leurs activités. C'est ainsi qu'il eut l'occasion d'inventer ou de perfectionner les systèmes suivants :
un enregistreur Lumière pour inscriptions en continu (ancêtre de l'électroencéphalogramme)
une pince pour remplacer une main amputée
un microscope néphélométrique
un dispositif en verre pour la récolte du plasma sanguin
un régulateur d'étuves
un appareil pour ouvrir les mâchoires des gros animaux
un appareil pour recueillir le sang des petits animaux
un appareil à contention pour injections dans la jugulaire chez le cobaye
un appareil à gavage
 
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Auguste_Lumi%C3%A8re

 


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Tags : Auguste Lumière, Auguste, 19 octobre 1862, 19 octobre, 1862, Besançon, 10 avril 1954, 10 avril, 1954, Lyon, Ingénieur, Industriel, Biologiste, Décès, dessinsagogo55
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#Posté le jeudi 17 mars 2022 05:00

Modifié le dimanche 10 avril 2022 17:41

Omar Sharif

 Omar Sharif



Omar Sharif, également orthographié Omar El-Sharif, né Michel Dimitri Shalhoub le 10 avril 1932 à Alexandrie et mort au Caire le 10 juillet 2015, est un acteur égyptien, actif des années 1950 aux années 2010 dans les productions du cinéma américain, des cinémas britannique, français, italien et de nombreux autres pays.
 
Il est également un compétiteur de bridge renommé, et est aussi connu, notamment en France, en tant que propriétaire de chevaux de courses hippiques.
 
 
Enfance et formation

 
Né en 1932 à Alexandrie dans une famille d'origine syrienne et chrétienne (grec-catholique melkite) originaire de Damas, Michel Chalhoub est le fils de Joseph Chalhoub, marchand de bois précieux, et de Claire Saada de Lattaquié en Syrie. Élevé dans le rite melkite, il se convertira en 1955 à l'islam afin d'épouser l'actrice musulmane égyptienne Faten Hamama, dont il divorce plus tard.
 
Au Collège britannique Victoria d'Alexandrie, il étudie les mathématiques, la physique, le français ainsi que cinq autres langues, qu'il parle plus ou moins couramment : l'arabe, l'anglais, le grec, l'italien et l'espagnol.
 
Après avoir obtenu un diplôme en mathématiques et physique à l'université du Caire, il travaille pendant cinq ans dans l'entreprise de bois précieux de son père avant d'aller étudier le métier d'acteur à la prestigieuse Royal Academy of Dramatic Art de Londres.

 
Star égyptienne

 
En 1954, alors qu'il est de retour en Égypte, il est découvert par son compatriote le cinéaste Youssef Chahine, qui le fait débuter dans Le démon du désert, et dans lequel l'acteur incarne un jeune bédouin répondant au nom de « Omar El Sharif ». Deux ans plus tard, Youssef Chahine le fait jouer dans Les Eaux noires, dans un rôle vedette, face à la star égyptienne de l'époque Faten Hamama.
 
Les films s'enchaînent. Le film est présenté au festival de Cannes, où il obtient ses premières louanges. Il joue pour Atef Salem, Fatin Abdel Wahab, puis Salah Abou Seif. En 1961, il est une des vedettes du film d'Henry Barakat, Fi Baytina Rajul [Un homme chez nous], aux côtés de Zubaida Tharwat. Ce film est consacré à une famille égyptienne qui est conduite à cacher un jeune révolutionnaire accusé de l'assassinat d'un homme politique. Ce thème de la résistance égyptienne contre l'occupation anglaise, avant la révolution du 23 juillet 1952, fait écho à la décolonisation en cours dans le continent africain. Omar El Sharif devient une grande star du cinéma en tenant la vedette de 26 films égyptiens.
 
Il épouse Faten Hamama en 1955, avec qui il a un fils en 1957, Tarek, ce qui augmente sa popularité dans le monde arabe. Ils divorceront en 1974, et Omar Sharif ne se remariera pas.

 
Star internationale
 
 

 

En 1956, l'acteur entame une carrière internationale en venant tourner en France La Châtelaine du Liban sous la direction de Richard Pottier, car l'acteur Jean-Claude Pascal l'a vivement recommandé. Le film suivant, Goha est un film franco-tunisien réalisé par Jacques Baratier, obtiendra le prix « Un certain regard » au Festival de Cannes.
 
En 1962, alors qu'il a 30 ans, il joue le rôle du prince du désert Ali Ibn Kharish dans sa première superproduction internationale, Lawrence d'Arabie de David Lean, aux côtés de Peter O'Toole. Ce film consacrera son nouveau nom « Omar Sharif » dans la partie occidentale du monde, car ce rôle lui vaut une célébrité mondiale immédiate, ainsi qu'un Golden Globe du meilleur acteur dans un second rôle 1963 et une nomination pour l'Oscar du Meilleur Second Rôle 1963. Ce film marque le début de sa carrière d'acteur international et lui vaut une place dans la légende du cinéma mondial. Il s'installe alors avec son fils à Hollywood, où il signe un contrat de sept ans avec les studios hollywoodiens Columbia Pictures. C'est à cette époque qu'il se sépare de sa femme, d'un commun accord malgré leurs sentiments, pour « incompatibilité de la vie de couple avec la vie d'acteur international ».
 
 

 

En 1965, il récidive avec un triomphe mondial dans Le Docteur Jivago aux côtés de Julie Christie, une autre réalisation de David Lean, pour lequel il obtient cette fois le Golden Globe Award du Meilleur Acteur en 1965 pour son rôle du poète médecin russe Youri Jivago.
 
Omar Sharif joue alors dans plus de 60 films américains et européens notamment, jeune premier puis figure paternelle, entre autres avec les cinéastes Anthony Mann, Francesco Rosi, Henri Verneuil, Sidney Lumet, Andrzej Wajda, Alejandro Jodorowsky, Blake Edwards, John McTiernan, David Zucker, Jim Abrahams et Jerry Zucker, Arielle Dombasle et Valeria Bruni Tedeschi, Roland Emmerich, Jim Sheridan, et les acteurs James Coburn et Anita Ekberg, Anthony Quinn, Catherine Deneuve, Jean-Paul Belmondo, Sophia Loren, Michael Caine, Gregory Peck, Julie Andrews, Claudia Cardinale faisant ses premiers pas devant une caméra, Jane Seymour à plusieurs reprises, Lea Massari, Antonio Banderas, Viggo Mortensen, à la télévision Jeanne Moreau et Grace Jones... Malgré d'indéniables réussites (La Nuit des généraux d'Anatole Litvak, La Vallée perdue de James Clavell), Omar Sharif s'est toujours montré très critique à l'égard de son travail et de sa paresse.
 
Sa vie privée, réelle ou supposée, a fait le régal des tabloïds. Dès son premier film, il s'offre un flirt avec Yolanda Gigliotti, Miss Égypte et future Dalida. Après sa séparation avec son épouse, la liste de ses conquêtes comprend Ingrid Bergman, de dix-sept ans son aînée, Annette Stroyberg, ex de Roger Vadim, qu'il emmène à Los Angeles, Barbra Streisand dont l'identité juive menace la nationalité égyptienne de Sharif qui attendra presque dix ans pour retourner dans son pays (Streisand lui a d'ailleurs rendu hommage à l'annonce de sa mort), Ava Gardner, Anouk Aimée, Andréa Ferréol avec qui il vécut ses dix dernières années...
 
Comme toutes les stars, Sharif a interprété un certain nombre de personnages historiques ou mythiques, au cinéma et à la télévision : Genghis Khan, Che Guevara, Nicolas II de Russie, le capitaine Némo, Saint Pierre en 2005, Jethro dans Les Dix Commandements de Robert Dornhelm en 2006, et dans nombre d'adaptations (de Joseph Kessel, James Hadley Chase, Jean-Paul Sartre, Fedor Dostoïevski, Michael Crichton...), passant de l'Allemagne ou l'Italie à l'Inde, d'un genre à un autre, western, espionnage, comédie musicale ou non...
 
En 2003, son rôle d'épicier philosophe dans Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran, de François Dupeyron (avec Isabelle Adjani déguisée en Brigitte Bardot), lui permet d'être récompensé par le César du meilleur acteur 2004. Le film est par ailleurs nommé au Golden Globe Award du Meilleur Film Étranger 2004.
 
En 2005, il donne sa voix au lion Aslan dans les doublages français et italien du film fantastique Le Monde de Narnia : Le Lion, la Sorcière blanche et l'Armoire magique. En 2006, il continue à prêter sa voix, cette fois en anglais et comme narrateur, pour le road movie O Gengis réalisé par Alan Simon.

 
Fin de vie

 
En mai 2015, son fils, Tarek El-Sharif, annonce dans une interview que Omar Sharif est atteint de la maladie d'Alzheimer. Il meurt le 10 juillet 2015 d'une crise cardiaque.
 
Ses obsèques ont lieu le 12 juillet 2015 dans une mosquée du Caire et il est inhumé au cimetière Sayyeda Nefissa dans le sud de la ville.

 
Sa passion du jeu
 
 

 

Omar Sharif est un des joueurs de bridge les plus célèbres du monde. Il a signé un livre de bridge ainsi que des commentaires sur des donnes pour plusieurs journaux, dont Le Figaro en France.
 
Aux Olympiades de Bridge de Deauville en 1968, il représentait l'équipe d'Égypte, opposée à celle du champion du monde italien Giorgio Belladonna. Quelques années plus tard, c'est face à ce même no 1 mondial qu'Omar Sharif fait une tournée internationale avec la Lancia Team. Dans chaque ville, une voiture était offerte au vainqueur, il en a gagné vingt-quatre.
 
Il devint vice-champion de France open en 1971, face à Pierre Jaïs associé à Michel Lebel.
Il a été vice-champion d'Europe seniors par équipes en 1999 à Malte avec l'équipe de France (associé entre autres à Paul Chemla).
 
Il a aussi donné son nom à plusieurs jeux vidéo, et il fréquente assidûment les casinos français.
 

Sa passion du cheval

 
Omar Sharif est attiré très jeune par le monde du cheval. Plus tard, il interprète des rôles de cavaliers, notamment dans Gengis Khan, La Belle et le Cavalier ou Les cavaliers. À partir des années 1980, installé en France, il fréquente assidument le monde des courses hippiques. C'est pour cette raison qu'il avait été choisi pour faire la publicité de Tiercé magazine pendant plusieurs années en rendant célèbre le slogan « Les courses, vous le savez, c'est ma grande passion ! ».
 
Propriétaire émérite, il explique alors que sa passion équestre est l'unique raison qui le pousse à continuer le 7e Art: « Je trouve le cheval noble. Et beau. C'est un geste magnifique, le geste du cheval. L'encolure d'un cheval [est] d'une beauté extraordinaire. J'ai même une passion pour les peintures et les sculptures de chevaux. Je trouve que les formes des lignes d'un cheval sont les lignes les plus harmonieuses qu'on trouve chez les animaux. Et puis j'aime ce tempérament un peu piaffeur ». « J'ai une douzaine de chevaux. J'en achète tous les ans. La raison pour laquelle je continue de travailler, c'est uniquement pour acheter plus de chevaux et pour pouvoir entretenir les chevaux, qui coûtent assez cher ». Il remporte en tant que propriétaire des courses de groupe dont le prix Perth ou le prix Guillaume d'Ornano sur son hippodrome de Deauville fétiche avec son cheval Don Bosco
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Omar_Sharif
 

 
 

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Tags : Omar Sharif, Michel Dimitri Shalhoub, 10 avril 1932, 10 avril, 1932, Alexandrie, Décès, 10 juillet 2015, 10 juillet, 2015, Cinéma, Acteur, dessinsagogo55, Michel
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#Posté le samedi 10 avril 2021 02:00

Modifié le dimanche 10 avril 2022 17:40

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