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Automobile : Derrière la bourde de Sibeth Ndiaye, la stratégie industrielle de Renault en question

 
Automobile : Derrière la bourde de Sibeth Ndiaye, la stratégie industrielle de Renault en question
 
Automobile : Derrière la bourde de Sibeth Ndiaye, la stratégie industrielle de Renault en question
 
 
FAKE OFF La porte-parole du gouvernement a affirmé, à tort, que Renault produisait 6 millions de véhicules par an mais n'en vendait que 3 millions
Publié le 04/06/20 à 17h03 — Mis à jour le 04/06/20 à 18h36
Aymeric Le Gall 


Sibeth Ndiaye s'est attiré les foudres des professionnels de l'automobile après avoir affirmé que Renault produisait 6 millions de véhicules par an mais n'en vendait que deux fois moins.
Si la porte-parole du gouvernement a reconnu une erreur, elle a tout de même évoqué un sujet de préoccupation réelle chez Renault, celui de la surcapacité de production de l'entreprise.
Pour bien comprendre la situation économique actuelle de l'entreprise, il faut revenir en arrière et s'interroger sur les erreurs stratégiques commises par la direction ces deux dernières années.
Sibeth Ndiaye a fait bondir les professionnels de l'automobile – et bon nombre d'internautes français – après son passage chez Jean-Jacques Bourdin sur RMC et BFMTV vendredi dernier. Interrogée au sujet du plan d'économie annoncée par la firme, qui comprend notamment la suppression de 15.000 postes à travers le monde (dont 4.600 en France), la porte-parole du gouvernement a déplacé la conversation sur le volume de production du constructeur automobile.
« Il faut quand même avoir un chiffre en tête, je pense que c'est important que les auditeurs et les téléspectateurs le comprennent : aujourd'hui, Renault fabrique 6 millions de voitures par an. Vous savez combien ils en vendent ? Trois millions. Donc vous avez trois millions de voitures qui restent sur le carreau. Ça pose question. »
 
 
 




Dans les minutes qui ont suivi, la machine Twitter s'est mise en branle et beaucoup sont tombés sur la porte-parole du gouvernement, l'accusant d'avoir évoqué des chiffres totalement farfelus.
 
FAKE OFF
 
En se basant sur les données publiées par la marque automobile pour l'année 2019, on se rend en effet compte que Renault a produit très exactement 3.818.411 véhicules dans ses différentes usines de par le monde l'an passé, pour 3,75 millions de ventes. On est donc très, très loin des soi-disant « trois millions de voitures qui restent sur le carreau ». Consciente de son erreur, Sibeth Ndiaye a d'ailleurs publié un tweet rectificatif quelques heures plus tard.
« J'ai dit ce matin que Renault fabriquait 6M de voitures et en vendait 3M. Je parlais de la capacité de production de Renault. En effet, l'entreprise a une capacité de production de 6M de véhicules par an, mais n'en produit que 3M, ce qui pèse sur l'entreprise. »
 


 


Caramba, encore raté ! Comme l'a souligné Nicolas Barré, le directeur de la rédaction des Echos sur Twitter, le chiffre de six millions annoncé est une nouvelle fois erroné, la capacité de production de Renault étant de 4 millions de véhicules... « Nous conserverons néanmoins une capacité de production à plein régime de près de 5 millions de véhicules », précisait cependant Clotilde Delbos, la directrice générale du groupe, le 29 mai dernier.
 



 
 


Une restructuration devenue inéluctable
 
Malgré ces approximations arithmétiques, la porte-parole du gouvernement soulève tout de même un point intéressant pour justifier ce « besoin de restructurer l'appareil industriel » de Renault, au moment même où le gouvernement vient de valider auprès du constructeur le prêt de 5 milliards garanti par l'Etat : celui de la surcapacité de production. « En France, nous avons la capacité de fabriquer 1.080.000 véhicules par an et nous en produisons 655.000 », admettait récemment son président Jean-Dominique Sénard. D'où « l'ambition de ramener notre capacité de 4 millions [au niveau mondial] à 3,3 millions de véhicules par an d'ici 2024 », selon les mots de Clotilde Delbos, la directrice générale de l'entreprise, qui n'a pas hésité au passage à mettre un tir à Carlos Ghosn, l'ancien boss de Renault dont le spectre plane toujours sur le losange.
« Aujourd'hui nous payons la politique de volumes décidée par la précédente direction. Nous avons des coûts structurels taillés pour une croissance qui n'a pas eu lieu. L'objectif de ce plan d'économies est simple, il s'agit de reconstruire les bases d'une performance financière et d'assurer la pérennité de l'entreprise », a-t-elle déclaré le 29 mai dernier au siège de l'entreprise à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) lors de l'annonce du plan d'économie. Pour Bruno Le Maire, il est même question pour Renault de jouer « sa survie ».
 
 


 


Et si la crise sanitaire liée au coronavirus n'est pas l'élément déclencheur de ce plan de restructuration – dans les cartons depuis le mois de février –, « elle aura permis de légitimer des mesures qui auraient été prises de toute façon », nous explique Bernard Jullien, économiste spécialiste de l'automobile.
En revanche, pour le maître de conférences à l'université de Bordeaux, le terme de « survie » est quelque peu surévalué : « Je ne suis pas aussi alarmiste que certains. Il y a eu un creux commercial, il y a eu des erreurs stratégiques non corrigées, ou plutôt une stratégie déphasée par rapport à ce qu'était la conjoncture ces dernières années, mais si on considère que la crise de Renault et de Nissan sur les deux dernières années a été essentiellement une crise de gouvernance, alors on peut nourrir quelque espoir dans ce plan de relance ».
 
Quand la direction de Renault tardait à réagir
 
Il n'empêche, l'heure est grave pour Renault, qui s'est retrouvé dans le rouge pour la première fois depuis 2008, avec des pertes chiffrées à 141 millions d'euros sur l'année 2019. D'autant que l'entreprise ne peut plus perdre de temps, après deux années d'atermoiements durant lesquelles le groupe n'avait plus de capitaine à bord du fait des poursuites judiciaires contre Carlos Ghosn. Si Bernard Jullien tient à nuancer les erreurs stratégiques de celui qu'on surnomme le « cost killer » dans le monde de l'automobile, il pointe tout de même du doigt l'apathie de la direction de Renault au moment où le marché de l'automobile entamait sa lente mais certaine décroissance.
« Le plan stratégique, tel qu'il a été conçu en 2017, n'était pas du tout délirant si on se replace dans le contexte économique de l'époque. Le problème, c'est qu'en 2018, quand il aurait fallu changer de braquet et faire une révision radicale de ce plan du fait du changement de conjoncture économique, il n'y avait plus personne, déplore-t-il. Les états-majors étaient tellement perdus dans des problématiques de gouvernance ou de guéguerres internes [liée à l'alliance avec le groupe Nissan] que ça a traîné. Ensuite intervient l'arrestation de Ghosn, et on a effectivement une année 2019 qui est absolument catastrophique. » Pour cet économiste, la grande faute de la direction de Renault a été de ne pas réagir au moment opportun. « Sans cela, dit-il, il n'y aurait pas forcément 15.000 emplois supprimés aujourd'hui... ».
 
Renault, un enjeu capital pour le gouvernement
 
En France, l'Etat, qui conditionnait l'octroi de ce prêt de 5 milliards à des garanties sur l'emploi, semble avoir obtenu gain de cause, en particulier au sujet du site de Maubeuge dont les salariés s'inquiétaient d'un projet de fusion avec le site de Douai. Il faut dire que dans ce dossier, le gouvernement joue sa chemise et les boutons de manchettes qui vont avec : à deux ans des élections, il serait suicidaire pour Emmanuel Macron de donner l'impression de lâcher ce symbole de l'industrie française.
« C'est une grande victoire, a déclaré mardi à l'AFP Jérôme Delvaux, secrétaire du syndicat CGT-MCA à l'issue d'une réunion tenue à Bercy avec des élus, représentants des salariés et la direction de l'entreprise. Au-delà du maintien des 2.100 salariés, il y a aussi un engagement pour trouver un nouveau véhicule à construire pour garantir l'emploi au-delà de 2023 ».
Car pour le futur PDG de Renault, Luca De Meo, qui prendra ses fonctions le 1er juillet, l'enjeu est double : réussir une restructuration sociale la moins violente possible (comprendre : sans licenciements secs) et offrir aux salariés qui passeront à travers les gouttes une réelle perspective d'avenir avec la mise en place d'un plan stratégique clair. Tout un programme.
 
Tags : Sibeth Ndiaye, 2020, Renault, Politique, dessinsagogo55
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#Posté le vendredi 05 juin 2020 06:09

Sa note à l'Elysée révélée, Gilles Le Gendre dans la tourmente


Sa note à l'Elysée révélée, Gilles Le Gendre dans la tourmente


Sa note à l'Elysée révélée, Gilles Le Gendre dans la tourmente

 
 
Par Laure Equy — 6 juin 2020 à 09:29
 
 

 

Tags : Elysée, Gilles Le Gendre, LREM, Politique, dessinsagogo55, 6 juin, 2020
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#Posté le samedi 06 juin 2020 07:49

Petite grivoiserie pour le retour de Griveaux à l'Assemblée

Petite grivoiserie pour le retour de Griveaux à l’Assemblée






Petite grivoiserie pour le retour de Griveaux à l'Assemblée
 
 Nathalie Segaunes  
09 juin 2020 à 12h45
 
Le député de Paris n'a pas échappé à la fine plaisanterie d'un député LR pour saluer son retour dans l'hémicycle...
 
 
L'événement est passé totalement inaperçu : Benjamin Griveaux a fait son retour à l'Assemblée nationale la semaine dernière. Le député de Paris n'était pas réapparu en séance publique depuis le 14 février, date de son renoncement à la candidature à la mairie de Paris après la mise en ligne d'une vidéo à caractère pornographique dont il était le protagoniste.
(rectificatif)
 
 

Petite grivoiserie pour le retour de Griveaux à l’Assemblée
 
Tags : Benjamin Griveaux, Politique, dessinsagogo55, 2020, 9 juin
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#Posté le mardi 09 juin 2020 14:41

Modifié le mardi 09 juin 2020 15:05

Pourquoi Emmanuel Macron va-t-il parler aux Français ce dimanche ?

Pourquoi Emmanuel Macron va-t-il parler aux Français ce dimanche ?
 
 
 
Pourquoi Emmanuel Macron va-t-il parler aux Français ce dimanche ? 
Emmanuel Macron a finalement décidé d'accélérer son calendrier et s'adressera à la Nation dès ce dimanche soir, lors d'une allocution solennelle à 20 heures. 

édité par Venantia Petillault
PUBLIÉ LE 11/06/2020 À 07:33
 
Mais pourquoi Emmanuel Macron s'adressera-t-il dimanche aux Français ? Il y a une semaine pile à la même heure, je vous parlais de la prochaine intervention du président de la République mais de celle de début juillet.
 
Je vous disais comment Emmanuel Macron voulait orienter la suite du quinquennat : rechercher du consensus. Je vous disais aussi que d'ici là, ballons d'essai, tentatives d'influence et rumeurs allaient se multiplier. J'étais en deçà de la réalité. 
La semaine a été très chahutée : un festival de paroles maladroites, de silences gênés et de fuites malheureuses. Dimanche par sa prise de parole, Emmanuel Macron va d'abord refermer plusieurs chapitres, disons-le, un peu brouillons pour certains et préparer la suite. Même si personne ne le dit encore comme ça, il n'y a pas de deuxième vague de l'épidémie de Covid-19 à l'horizon. Nous pouvons passer à autre chose...
 
Emmanuel Macron va donc refermer cette page de la crise sanitaire et parler maintenant de la crise économique à venir. Il y a la question des dernières restrictions, de l'école, de l'activité économique, des destructions massives d'emploi. Toutes ces questions ne peuvent pas attendre début juillet, juste avant les premiers départs en vacances. Il y a urgence et il faut déjà y répondre. Il y a aussi une atmosphère politique pesante alors que le président est en recherche de cohésion nationale, de grands objectifs à partager.
 
Un pays profondément fracturé
 
 
Les manifestations contre les violences policières, contre le racisme ont rappelé que notre pays était profondément fracturé. En toile de fond ce qui se joue est grave. C'est l'autorité de l'État, c'est la jeunesse, c'est le réveil après la Covid-19 d'une multitude de contestations. Ce qui se passe peut venir parasiter les messages qu'Emmanuel Macron veut faire passer pour la suite du quinquennat. Et puis, il faut aussi mettre fin aux concours d'échalote dans la majorité. Faut-il remplacer Edouard Philippe ? Faut-il demander un effort aux riches ? Là aussi, le bruit de fond est assez cafouilleux. Le chef de l'État doit déminer le terrain en quelque sorte, avant de se projeter pour la suite. Avant de nous dire, enfin, comment il va se réinventer.
 
Et là dessus, il faut aussi qu'il s'avance un peu plus. Emmanuel Macron doit commencer à expliquer ce qu'il veut faire, parce que pour l'instant pour reprendre l'expression d'un ancien conseiller, "nous sommes dans la pensée complexe". Il consulte des économistes, des syndicats, des intellectuels et il attends les propositions des présidents d'assemblées, des consultations sur l'hôpital et les idées des citoyens pour le climat. Le président ne veut pas être tout seul à proposer des solutions.
C'est le message qu'il fait passer à ceux qu'ils rencontrent en ce moment. Mais pour que tout le monde comprenne cette démarche et cette nouvelle façon de faire, c'est quand même plus simple qu'il le dise lui-même, directement aux Français. Vu les audiences de ses trois dernières interventions, c'est trois records absolus. Il aurait tort de se priver de ce privilège. Celui d'accaparer tous les médias, un dimanche soir pour un message sans filtre et sans commentaire. Un privilège de président...




 
 
Tags : Emmanuel Macron, Macron, Politique, 2020, 11 juin, dessinsagogo55
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#Posté le jeudi 11 juin 2020 05:37

Benjamin Griveaux va s'occuper de la BITD française

Benjamin Griveaux va s’occuper de la BITD française




Benjamin Griveaux va s'occuper de la BITD française
11 juin 2020 à 17h28
 

    
Non, ce n'est pas une blague de 1er avril. Benjamin Griveaux, qui vient de retrouver son siège de député à l'Assemblée nationale, va se voir confier une mission sur la « base industrielle et technologique de défense », la BITD, dont seuls les spécialistes des affaires de défense savent que cela se prononc B-I-T-D et non Bitde...
Bien conscient du ridicule de la situation, compte tenu du passé récent de l'ancien candidat à la mairie de Paris, la commission de la défense, dont il est membre, va modifier cette appellation qui deviendra pour l'occasion Base industrielle de souveraineté de la défense.
 



 
Plus sérieusement, cette mission flash de deux mois se penchera sur la place des industries de défense dans le plan de relance post-covid. Dix sept auditions sont prévues. Les deux rapporteurs sont Benjamin Griveaux (qui, par ailleurs, ne passe pas pour un spécialiste de ces questions) et Jean-Louis Thieriot (LR).
 
 
 


Tags : Benjamin Griveaux, BITD, Politique, 11 juin, 2020;, dessinsagogo55
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#Posté le vendredi 12 juin 2020 03:20

On passe au vert

On passe au vert
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#Posté le dimanche 14 juin 2020 15:01

Emmanuel Macron a déclaré que la République n'effacerait aucune trace ni aucun nom de son histoire

Emmanuel Macron a déclaré que la République n'effacerait aucune trace ni aucun nom de son histoire
Tags : Emmanuel Macron, Politique, 2020, 15 juin, Racisme, Macron, dessinsagogo55
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#Posté le lundi 15 juin 2020 04:37

Allocution d'Emmanuel Macron : "déni surréaliste", "auto-satisfecit", "discours un peu light", les réactions très critiques de l'opposition


Allocution d'Emmanuel Macron : "déni surréaliste", "auto-satisfecit", "discours un peu light", les réactions très critiques de l'opposition




Allocution d'Emmanuel Macron : "déni surréaliste", "auto-satisfecit", "discours un peu light", les réactions très critiques de l'opposition
 
Le président de la République a pris la parole à 20 heures, dimanche 14 juin, pour une allocution solennelle en direct de l'Elysée, la quatrième depuis le début de la crise du coronavirus.
 
franceinfoRadio France
Mis à jour le 14/06/2020 | 23:31
publié le 14/06/2020 | 22:56
 
 
 

Les critiques sont vives de la part de l'opposition après l'allocution d'Emmanuel Macron, dimanche 15 juin, en direct de l'Elysée, la quatrième intervention du chef de l'Etat depuis le début de la crise du coronavirus. Jean-Christophe Lagarde (UDI), Damien Abad (LR) et Sébastien Chenu dénoncent tous les trois une forme d'auto-satisfaction du président. À gauche, la députée LFI Manon Aubry estime que la question du racisme et des violences policières a été balayée "d'un revers de main". David Corman, député européen EELV regrette un discours "un peu light" sur l'écologie.
 
Un discours du "déni "
 
"Il y une grande inquiétude pour moi dans ce discours, c'est le déni quelque peu surréaliste sur le bilan de la crise sanitaire", a réagit Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée nationale. "Cette crise sanitaire a entraîné malheureusement beaucoup de pertes humaines en France, beaucoup de dysfonctionnements dans les hôpitaux, des pénuries de masques, des pénuries de tests. Là-dessus, j'ai senti un certain déni, qui est embarrassant.", recense Damien Abad qui estime également que des "allers-retours" de l'éxécutif ont ébranlé la confiance des Français en Emmanuel Macron.
 
 
 La réouverture des écoles "est ridicule"
 

Sébastien Chenu, porte-parole du Rassemblement national pointe lui aussi un "manque d'humilité" de la part du président de la République lorsqu'il déclare "nous n'avons pas à rougir de notre bilan. Des dizaines de milliers de vies ont été sauvées par nos choix, par nos actions". "Emmanuel Macron n'a pas su gérer cette crise. Ça a été un fiasco", juge Sébastien Chenu. Le responsable RN est particulièrement critique de l'annonce du retour obligatoire de tous les élèves en classes, à l'exception des lycéens, à partir du 22 juin. "La mesure de d'Emmanuel Macron de rouvrir les écoles pour huit jours, avec un caractère obligatoire, c'est ridicule. Il y a un côté ridicule dans tout cela".
 
La question du racisme et des violences trop vite évacuées
 
À gauche, Manon Aubry, députée européenne La France Insoumise estime qu'Emmanuel Macron n'a pas été à la hauteur lorsqu'il a évoqué la question du racisme et des violences policières. Il "balaie d'un revers de la main des questions sur lesquelles on l'attendait spécifiquement ces derniers jours et ces dernières semaines, au vu de la mobilisation forte contre des pratiques racistes et des violences". Le chef de l'Etat a déclaré que "nous serons intraitables face au racisme, à l'antisémitisme et aux discriminations". La députée LFI considère que "c'est rappeler des règles qui existent déjà". "Que va-t-il faire pour s'assurer que l'ensemble des procédures de L'IGPN ne finisse pas nulle part, comme c'est le cas à l'heure actuelle ?", s'interroge Manon Aubry.
 
 
Un manque de remise en question
 
David Cormand, député européen Europe-Écologie-Les Verts, estime, pour sa part, que l'intervention présidentielle a manqué de contenu : "C'est un peu light", "Il y avait très peu d'éléments précis dans ce qu'a indiqué le président de la République ce soir." David Corman s'est dit "étonné par ce discours sur l'écologie" . 
 
"Aujourd'hui, notre modèle productif est un modèle prédateur de notre environnement. On a toujours l'impression qu'il utilise les mots de l'écologie, mais avec un référentiel qui est selon moi très daté", juge David Corman. L'élu écologiste note tout de même une "bonne nouvelle" : le plan de rénovation thermique des bâtiments même s'il doute qu'un budget suffisant soit réellement débloqué.
 
Un président trop focalisé sur sa réélection
 
Même s'il reconnaît "un certain nombre de satisfactions dans les annonces du président", comme "la réouverture des cafés et restaurants en Île-de-France", Jean-Christophe Lagarde, le président de l'UDI, décrit le discourt d'Emmanuel Macron comme "une espèce d'auto satisfecit" qui l'a dit-il, "déçu". "Il a dit quand dans les autres pays, rien n'a été fait autant qu'en France. Sauf que pratiquement aucun autre pays comparable au notre n'a subi une crise aussi violente qu'en France.", poursuit le patron du parti centriste. Pour Jean-Christophe Lagarde, Emmanuel Macron semble plus préoccupé par sa réélection que par la situation économique du pays.




 
Tags : Emmanuel Macron, Politique, 2020, 15 juin, Racisme, Macron, dessinsagogo55, 15 juin 2020
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#Posté le lundi 15 juin 2020 05:46

“Casta, ça ne le fait pas” : Macron tacle en privé son ministre de l'Intérieur

“Casta, ça ne le fait pas” : Macron tacle en privé son ministre de l'Intérieur


“Casta, ça ne le fait pas” : Macron tacle en privé son ministre de l'Intérieur
 
Par Auteur
valeursactuelles.com
 

/ Mardi 16 juin 2020 à 22:25
 

 


Vit-on les dernières semaines de Christophe Castaner à la tête du ministère de l'Intérieur ? Rarement apprécié au cours de son mandat, le « premier flic de France » s'est également mis à dos tous les effectifs de police et de gendarmerie de France ces derniers jours. En cause, ses récentes annonces sur l'interdiction de la clé d'étranglement et les « soupçons avérés » de racisme lors des opérations de police. Sur la sellette, le ministre de l'Intérieur ne convainc plus grand monde, pas même le président de la République, dont il est pourtant proche. 
 
Castaner désavoué par son propre numéro 2 
En effet, d'après Le Canard enchaîné, Emmanuel Macron aurait confié en privé la semaine dernière que « Casta, ça ne le fait pas ». De fait, Christophe Castaner a même été lâché par son fidèle acolyte Laurent Nunez, la semaine dernière. Alors que le locataire de Beauvau faisait des concessions aux antiracistes, le numéro 2 déclarait : « Nous ne laisserons pas passer la stigmatisation de la police et les attaques portées à la police. En tout cas, croyez bien vu mon engagement, vu ce qu'a été mon engagement pour la sécurité des Français, j'y veille personnellement ». Un désaveu discret mais qui fragilise un peu plus la position du ministre. Pour autant, Christophe Castaner n'est pas encore parti, selon Le Canard enchaîné. « Couper la tête de Castaner, ce serait donner une victoire trop facile aux syndicats policiers », confie ainsi un conseiller de l'Elysée à l'hebdomadaire. 
 
 

Plusieurs noms de successeur circulent 
 
Des noms de successeur circulent néanmoins depuis plusieurs semaines, d'après Le Figaro. Celui qui ressort le plus souvent est Frédéric Péchenard, l'ancien directeur de la police nationale et conseiller régional LR d'Île-de-France. Seulement, « c'est quand même un homme de Sarko », tempère le même conseiller auprès du Canard enchaîné. Les noms de Didier Guillaume, actuel ministre de l'Agriculture ou encore Jean Castex, en charge du déconfinement, sont également cités. Tout comme ceux des ministre et secrétaire d'Etat Sébastien Lecornu et Gabriel Attal. Et pourquoi pas Laurent Nunez, qui prend de plus en plus ses distances avec son patron ? « Il a beaucoup de qualités, mais, pour l'Intérieur, il faut un politique », tranche le conseiller. 
 

 
Tags : Politique, Emmanuel Macron, 2020, 16 juin, Macron, Christophe Castaner, Castaner, dessinsagogo55, 16 juin 2020
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#Posté le mercredi 17 juin 2020 05:14

80 ans de l'Appel du 18-Juin : Emmanuel Macron accueilli par le prince Charles à Londres

 
 
80 ans de l'Appel du 18-Juin : Emmanuel Macron accueilli par le prince Charles à Londres
 
 
 
EN DIRECT - 80 ans de l'Appel du 18-Juin : Emmanuel Macron accueilli par le prince Charles à Londres
 
 
 
HISTOIRE - Le chef de l'Etat rend hommage ce jeudi au général de Gaulle : après les Invalides en milieu de matinée puis la traditionnelle cérémonie au Mont-Valérien, il est arrivé en milieu d'après-midi à Londres, là où le chef de la France Libre a prononcé son célèbre discours il y a 80 ans jour pour jour. A suivre en direct sur LCI et LCI.fr.
 
18 juin 14:40 - La rédaction de LCI
 
 

Il s'agit de son premier déplacement à l'étranger depuis la crise sanitaire. Après Paris dans la matinée, Emmanuel Macron célèbre ce jeudi après-midi à Londres le 80e anniversaire de l'Appel du 18-Juin de Charles de Gaulle.
 
Cette journée, que vous pourrez suivre en direct sur LCI et LCI.fr, placée sous le signe de l'amitié franco-britannique commencera à 10h aux Invalides pour Emmanuel Macron, avec une visite du Musée de la Libération. Il y rencontrera Hubert Germain, 99 ans, l'un des quatre derniers Compagnons de la Libération, qui est pensionnaire aux Invalides. 
Le chef de l'Etat assistera ensuite à 11h30 à la traditionnelle cérémonie au mémorial du Mont Valérien (Hauts-de-Seine), principal lieu d'exécution de résistants et d'otages pendant la Seconde Guerre mondiale. C'est ici que Charles de Gaulle, alors président, avait fait ériger le Mémorial de la France combattante. Emmanuel Macron y sera aux côtés notamment de son prédécesseur Nicolas Sarkozy, mais sans public, pour cause de précaution sanitaire. L'ancien président François Hollande ne sera pas non plus présent selon BFMTV. Le locataire de l'Elysée lira enfin le célèbre discours du général avant que ne soit interprété la Marseillaise et le Chant des Partisans. La patrouille de France et les Red Arrows de la Royal Air Force survoleront le Mont Valérien et la statue de Winston Churchill devant le Petit Palais.
 
La Légion d'honneur remise à la ville de Londres
 
Avec une délégation restreinte, Emmanuel Macron s'envolera ensuite à 14h pour Londres -où l'obligation de quarantaine pour les visiteurs étrangers exempte les visites diplomatiques- pour rendre hommage à la ville qui fut la capitale de la France Libre. Il s'agira de son premier déplacement à l'étranger depuis sa visite à Naples le 27 février pour un sommet italo-français.  En présence du prince Charles, il remettra à 15h45 la Légion d'honneur à la ville de Londres, la septième ainsi décorée après Alger, Belgrade, Brazzaville, Liège, Luxembourg et Volgograd. 
Cette visite intervient alors que Londres et Bruxelles essaient de débloquer les négociations d'un accord sur la relation post-Brexit entre le Royaume-Uni et l'Union européenne après la fin de la période de transition le 31 décembre.  Emmanuel Macron sera notamment reçu à Clarence House, résidence du prince Charles. Il terminera sa visite par un entretien avec le Premier ministre Boris Johnson, où les négociations du Brexit devraient être au menu.
 
Ce déplacement sera pour le chef de l'Etat le deuxième événement dans le cadre de "l'année de Gaulle" après la célébration, le 17 mai, du 80e anniversaire de la bataille de Montcornet (Aisne, vidéo ci-dessous) et avant le 50e anniversaire de la mort du général à Colombey-les-Deux-Eglises le 9 novembre.
 
 
Emmanuel Macron célèbre "l'esprit français" à Montcornet
 
 


Emmanuel Macron n'est pas le seul à se revendiquer du général de Gaulle, en particulier comme le défenseur de la "souveraineté" de la France, un mot qu'emploie désormais toute la classe politique. Jusqu'à Marine Le Pen, la présidente du Rassemblement national, dont le parti a pourtant longtemps combattu le général au nom de l'Algérie française, qui s'est rendue mercredi sur l'île de Sein pour commémorer l'appel, un jour à l'avance.  Citant en exemple sa défense de l'indépendance de la France, la candidate déjà déclarée à la présidentielle de 2022 estime désormais que le RN est le véritable héritier des valeurs de De Gaulle. 
Les autres formations de droite eux aussi se revendiquent de De Gaulle, à commencer par LR pour qui le général est "l'ADN de notre famille", a expliqué le patron du parti Christian Jacob, qui ira déposer une gerbe au Mont Valérien. Et à gauche, on salue en de Gaulle un homme qui "n'a jamais adhéré à la main invisible du marché, et préférait la planification", selon l'Insoumis Jean-Luc Mélenchon
 
 
Tags : Politique, Prince Charles, Londres, Général de Gaulle, Appel, 18 juin, 18 juin 1940, 18 juin 2020, 2020, Emmanuel Macron, Macron, dessinsagogo55
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#Posté le jeudi 18 juin 2020 10:18

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