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10 articles taggés Jean Castex

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Qui est Jean Castex, le nouveau premier ministre pour la suite du mandat d'Emmanuel Macron ?

Qui est Jean Castex, le nouveau premier ministre pour la suite du mandat d’Emmanuel Macron ?Qui est Jean Castex, le nouveau premier ministre pour la suite du mandat d'Emmanuel Macron ?A 55 ans, il a évolué dans la haute fonction publique, jusqu'à l'Elysée lorsque Nicolas Sarkozy était président. Pendant la crise sanitaire, il a été en charge de la stratégie de déconfinement nationale.
 
Le Monde avec AFP Publié aujourd'hui à 14h46, mis à jour à 15h53
 
 
Haut fonctionnaire, élu local et ancien conseiller de Nicolas Sarkozy : Jean Castex, nommé vendredi 3 juillet premier ministre en remplacement d'Edouard Philippe, était devenu une personnalité de choix pour la majorité depuis sa mission de conseil stratégique sur le déconfinement.
Cet homme de 55 ans, qui n'a jamais été ministre, cumule, aux yeux du président, les avantages pour porter la deuxième phase du quinquennat : énarque, mais au contact des territoires ; toujours étiqueté LR, mais réputé homme de dialogue et parfait connaisseur des arcanes du pouvoir depuis son passage à l'Elysée comme secrétaire général adjoint, à la fin du mandat de Nicolas Sarkozy.

L'homme du déconfinement
 
Début avril, au pic de la crise, Jean Castex reçoit un coup de fil d'Edouard Philippe. « On aurait besoin de vous », lâche le premier ministre. L'homme est alors délégué interministériel aux Jeux olympiques et paralympiques de 2024 et s'embarque au ministère de la santé, qu'il connaît bien, pour penser le déconfinement d'une France à l'arrêt, alors que plusieurs centaines de personnes meurent encore chaque jour du Covid-19 dans le pays.
 
Doté d'une équipe de 18 personnes, il navigue entre l'Elysée, Matignon et le ministère de la santé pour proposer une stratégie de levée des mesures strictes de contrôle de l'épidémie. Il défend un déconfinement par petits pas et, dans la mesure du possible, adaptable au terrain. Pour l'école comme pour les transports publics, un maître mot : « On y va mollo. »
Il regrette l'interdiction faite à la maire de Paris d'ouvrir les parcs et jardins dans la capitale, ainsi que l'ouverture du Puy du Fou décidée par Emmanuel Macron. Mais « environ 90 % de ses recommandations ont été suivies », selon un de ses proches.

Un maire rural et de droite
 
 Jean Castex, maire de Prades (Pyrénées-Orientales), aux côtés d'Elisabeth Borne, alors ministre des transports, en novembre 2017. STRINGER / AFP
 
 
Jean Castex, qui a gardé un léger accent de son Gers natal (il est né le 25 juin 1965 à Vic-Fezensac), est maire Les Républicains de Prades depuis 2008, quand il avait arraché la commune à la gauche. Il a été réélu dans cette petite ville des Pyrénées-Orientales à 75 % dès le premier tour, le 15 mars. Entre 2010 et 2015, il était conseiller régional de Languedoc-Roussillon et a été candidat malheureux aux législatives de 2012, battu par la candidate PS.
« Politiquement, je suis de droite et je l'assume parfaitement », avait-il dit au début des années 2000. Ce père de quatre filles soutient la candidature de François Fillon pour la présidence de l'UMP lors du congrès d'automne 2012. Mais il avait déjà réussi à se ménager des appuis à La République en marche : son nom avait un temps circulé fin 2018 pour succéder à Gérard Collomb au ministère de l'intérieur.
 
Un haut fonctionnaire proche de Xavier Bertrand et Nicolas Sarkozy
 
Enarque, membre de la Cour des comptes, il enchaîne les hauts postes depuis des années, notamment sur les questions de santé. Directeur de l'hospitalisation au ministère des solidarités en 2005-2006, il devient ensuite directeur de cabinet de Xavier Bertrand à deux reprises, d'abord au ministère de la santé (2006-2007) puis au travail (2007-2008). « Le premier plan pandémie, c'est Jean Castex qui est dircab » à l'époque du virus H5N1, rappelle Xavier Bertrand, en louant « les idées claires et le franc-parler ».
 
« C'est un vrai couteau suisse, il a des connexions un peu partout, il sait faire ce qu'il faut faire au bon endroit », assure Franck Louvrier, l'ancien conseiller de Nicolas Sarkozy. Immédiatement après avoir été nommé, Jean Castex a appelé l'ancien président Nicolas Sarkozy. « Jean Castex est quelqu'un pour lequel Nicolas Sarkozy a beaucoup de respect, d'amitié et même d'affection », assure-t-on dans l'entourage de l'ancien président.

Une personnalité « avenante »
 
« II a une bonhomie et une sympathie incroyable, une empathie et humilité naturelles. Il travaille à la vitesse de la lumière en gardant un calme à toute épreuve », se souvient un ancien du cabinet ministériel de Xavier Bertrand.
« C'est le mec réglo par excellence, confirme le président socialiste de la Seine-Saint-Denis, Stéphane Troussel. Jamais de coup tordu. Il dit les choses et, quand il dit oui, il s'engage à fond. Et en plus, il est très sympathique. Des comme lui, j'en ai rarement croisé dans ma carrière. » Pour Valérie Pécresse, « c'est tout sauf un courtisan. C'est un mélange assez inédit de très grande connaissance de l'appareil d'Etat et de sensibilité du terrain, grâce à son mandat de maire de Prades. Cela lui donne une forme de bon sens, de recul par rapport aux jeux de pouvoir. »
De son passage au ministère du travail, les centrales syndicales gardent le souvenir d'un homme « disponible » et « avenant », même s'il « cache une certaine fermeté », avec « une excellente connaissance de ses dossiers ». En somme, disent les mêmes, « quelqu'un avec qui on peut discuter ».
 
Tags : Jean Castex, Premier ministre, Politique, 03 juillet, 03 juillet 2020, 2020, dessinsagogo55
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#Posté le vendredi 03 juillet 2020 11:24

Passation de pouvoirs

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Passation de pouvoirs
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Tags : Premier ministre, Politique, 03 juillet, 03 juillet 2020, 2020, dessinsagogo55, Jean Castex, Édouard Philippe
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#Posté le vendredi 03 juillet 2020 14:01

Jean Castex agacé ? Cette réplique à Emmanuel Macron

Jean Castex agacé ? Cette réplique à Emmanuel Macron
 
 
Jean Castex agacé ? Cette réplique à Emmanuel Macron
 
 
« MA PERSONNALITÉ N'EST PAS SOLUBLE »
GIPSY DAUGE | dimanche 5 juillet 2020 à 08h50 - Mis à jour le dimanche 5 juillet 2020 à 12h14

 





Jean Castex dessine les contours de son rôle de Premier ministre. Dans une interview au JDD ce dimanche, le successeur d'Édouard Philippe met en garde Emmanuel Macron : il ne deviendra pas son « subordonné ».
 
 
Jean Castex - que l'on dit d'une « redoutable efficacité » - a été nommé Premier ministre vendredi pour succéder à Édouard Philippe, démissionnaire et réélu maire du Havre. 48 heures plus tard, le nouveau Premier ministre met les point sur les i : son rôle n'est pas d'obéir sans broncher au Président. « Le mot de « collaborateur » est un peu péjoratif, vous en conviendrez. Il n'entre pas dans les intentions du chef de l'État de faire de moi un subordonné voué aux tâches secondaires. Quand vous aurez appris à me connaître, vous verrez que ma personnalité n'est pas soluble dans le terme de 'collaborateur' », assure dans les colonnes du JDD ce dimanche 5 juillet celui qui demande aux Français de lui laisser sa chance et de le juger « sur pièces ».
 
Pourtant, en nommant Jean Castex, Emmanuel Macron a pris le parti d'avoir à ses côtés un Premier ministre moins politique et moins encombrant que son prédécesseur, dont la popularité s'était envolée. "Un non-Premier ministre", s'est même moqué le président des Républicains, Christian Jacob. D'autant qu'à Matignon, Jean Castex aura comme directeur de cabinet Nicolas Revel, un proche d'Emmanuel Macron, que le président n'avait pas réussi à imposer à Edouard Philippe.
 
 
« Il ne peut en rien faire ombre au président »
 
Une situation que Raymond Soubie, ancien conseiller social à l'Élysée sous Nicolas Sarkozy, a résumé à sa manière : Jean Castex, selon lui, est un "casting idéal" : "Puisqu'il n'a aucune existence politique par lui-même, il ne peut en rien faire ombre au président", a-t-il déclaré sur Public Sénat. "Pour le président, il est une double assurance : il est l'homme idéal pour cette situation et en même temps cela ne peut pas être un rival politique. En vérité, pour le président, c'est un choix très habile." , a-t-il poursuivi. Une présentation qui n'a sans doute pas plu au nouveau Premier ministre.



 
 
Tags : Premier ministre, Politique, 2020, dessinsagogo55, Jean Castex, 5 juillet, 5 juillet 2020
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#Posté le dimanche 05 juillet 2020 10:05

Gouvernement Castex

Gouvernement Castex
 
 
Gouvernement Castex : Gérald Darmanin nommé ministre de l'intérieur, Eric Dupond-Moretti garde des sceaux

Le secrétaire général de l'Elysée, Alexis Kohler, a annoncé ce lundi soir la composition du gouvernement. Roselyne Bachelot est nommée ministre de la culture, Barbara Pompili devient ministre de la transition écologique.
 
Le Monde aujourd'hui à 19h19

Roxana Maracineanu est nommée ministre déléguée aux sports
Le Monde aujourd'hui à 19h18

Auprès de Barbara Pompili au ministère de la transition écologique, Emmanuelle Wargon est nommée ministre déléguée au logement. Jean-Baptiste Djebbari est nommé ministre délégué aux transports.
Le Monde aujourd'hui à 19h18

Auprès de Jean-Yves Le Drian au Quai d'Orsay, Franck Riester est nommé ministre délégué au commerce extérieur et à l'attractivité. M. Riester quitte donc le ministère de la culture, qui revient à Roselyne Bachelot.
Le Monde aujourd'hui à 19h17

Auprès du premier ministre, Elisabeth Moreno est nommée ministre déléguée à l'égalité femmes-hommes, à la diversité et à l'égalité des chances
Le Monde - Photos aujourd'hui à 19h17
 
Le secrétaire général de l'Elysée, Alexis Kohler, annonce la composition du gouvernement, le 6 juillet. JEAN-CLAUDE COUTAUSSE POUR « LE MONDE »
Le Monde aujourd'hui à 19h16

Auprès du premier ministre, Marc Fesneau est nommé ministre délégué aux relations avec le Parlement et à la participation citoyenne
Le Monde aujourd'hui à 19h15

Amélie de Montchalin est nommée ministre de la transformation et de la fonction publique
Le Monde aujourd'hui à 19h15

Julien Denormandie devient ministre de l'agriculture et de l'alimentation

Le Monde aujourd'hui à 19h14

Frédérique Vidal conserve ses prérogatives de ministre de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation

Le Monde aujourd'hui à 19h14

Annick Girardin prend la responsabilité d'un nouveau ministère de la mer
Le Monde aujourd'hui à 19h13

Olivier Véran reste ministre de la santé et des solidarités
Le Monde aujourd'hui à 19h13

Roselyne Bachelot est nommée ministre de la culture
Le Monde aujourd'hui à 19h12

Sébastien Lecornu est nommé ministre des outre-mer
Le Monde aujourd'hui à 19h12

Elisabeth Borne est nommée ministre du travail, de l'emploi et de l'insertion

Le Monde aujourd'hui à 19h11

L'avocat Eric Dupond-Moretti est nommé ministre de la justice, en remplacement de Nicole Belloubet
Le Monde aujourd'hui à 19h10

Jacqueline Gourault est nommée ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales

Le Monde aujourd'hui à 19h09

Gérald Darmanin est nommé ministre de l'intérieur. Il succède ainsi à Christophe Castaner.

Le Monde aujourd'hui à 19h09

Florence Parly reste au ministère des armées

Le Monde aujourd'hui à 19h08

Jean-Michel Blanquer reste ministre de l'éducation

Le Monde aujourd'hui à 19h08

Barbara Pompili est nommée ministre de la transition écologique
 
 
 
 
 
 
Tags : 6 juillet, 6 juillet 2020, 2020, Ministre, Politique, Jean Castex
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#Posté le lundi 06 juillet 2020 13:37

Jean Castex fait grincer les dents des députés LREM

Jean Castex fait grincer les dents des députés LREMJean Castex fait grincer les dents des députés LREM
Le groupe majoritaire fait pour l'instant contre mauvaise fortune bon c½ur. Mais l'enthousiasme des débuts a disparu. Gare à une rentrée chahutée.  Par Valérie PeifferModifié le 09/07/2020 à 10:27 - Publié le 09/07/2020 à 08:31 | Le Point.fr
 
 
C'est dans un brouhaha intense que le Premier ministre Jean Castex et ses ministres ont fait leur entrée dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale. Pour leurs premières questions au gouvernement, qui devancent d'une semaine la déclaration de politique générale, l'ambiance était – sans surprise – survoltée, tandis que le jeu restait classique. Chacun a tenu son rôle sur le devant de la scène : les oppositions en championnes de la contestation et des mises en garde tonitruantes, la majorité à l'écoute bienveillante et aux applaudissements nourris. Reste que, dans les coulisses, beaucoup de députés de la majorité s'interrogent. L'acte III du quinquennat tiendra-t-il ses promesses d'un nouveau chemin ? Et ce dernier respectera-t-il la promesse originelle du macronisme ?
Nicolas Sarkoy de retour au pouvoir ?
« Main dans la main avec le gouvernement et Jean Castex », a tweeté Gilles Le Gendre, le (encore) président du groupe LREM à l'Assemblée nationale. C'est loin d'être l'avis des 280 députés qui restent dans le parti majoritaire. Il y a évidemment ceux de l'aile gauche qui s'inquiètent de voir la droite en majesté dans ce gouvernement. « Nicolas Sarkozy ne serait-il pas de nouveau au pouvoir ? » s'interroge, grinçant, un ancien député socialiste. Tandis que d'autres notent qu'il y a eu beaucoup de ministres sortants issus de la gauche. Dans ce camp, même si l'on affirme toujours croire en Emmanuel Macron, on se sent « trahi » : la ligne politique n'est plus celle du début.
 
 
Certains parlementaires sont cependant plus nuancés. « Le signal est inquiétant au regard du message lancé par les électeurs aux municipales », analyse Claire Pitollat, députée des Bouches-du-Rhône, qui se sent « orpheline de sa ligne politique » avec LREM qui se conforte dans le centre droit et une gauche qui penche vers les Insoumis. Ce qui ne l'empêche pas de penser que rien n'est perdu : « Si on regarde dans le détail, Jean Castex est aussi celui qui a géré la crise d'une manière très sociale. Et la nomination de son directeur de cabinet [un homme de gauche] pourrait permettre des arbitrages plus équilibrés à Matignon qu'avant. » Et de souligner que « la création d'un ministère de l'Insertion est aussi une nouvelle prometteuse ».
 
Les déçus : de futurs frondeurs en puissance
Il y a aussi celles et ceux qui pensaient entrer au gouvernement et qui doivent définitivement se faire une raison et s'en tenir à leur place dans l'hémicycle. Déçus, ils accusent le coup en silence, pour l'instant. Certains espèrent encore un poste de secrétaire d'État... Mais que feront-ils à la rentrée ? « C'est a priori le dernier remaniement, leurs espoirs sont douchés et si, pour l'instant, ils se taisent pour ne pas apparaître comme de mauvais joueurs, ils pourraient vite devenir bruyants et frondeurs. La culture du hold-up façon 2017 est dans les gènes des Marcheurs », explique un député.
 
Pour les autres, qui n'espéraient rien, la palette des positionnements est aussi vaste que le groupe est nombreux. « Ce n'est pas une question de personne, mais ce gouvernement et Jean Castex n'incarnent pas ce pour quoi les Marcheurs issus de la société civile se sont engagés », observe une députée « ni de gauche ni de droite ». « L'image que cela renvoie ne me parle pas. » Sans préjuger de la capacité du Premier ministre et de son gouvernement à faire leurs preuves, un certain nombre de députés regrettent aussi le manque d'audace de cette nomination. Jean Castex n'incarne pas le changement annoncé par le président de la République et attendu par les députés. « C'est vrai que certains se disent tout ça pour ça ! et déplorent le manque de profondeur du changement », note Éric Pouillat, député de Gironde. Lui-même le reconnaît : « Jean Castex n'était pas le Premier ministre que j'attendais, mais il a envoyé des signaux corrects lorsqu'il nous [les députés de la majorité, NDLR] a reçus à Matignon et quand il est venu à notre réunion de groupe. Plusieurs fois, le Premier ministre a répété qu'il serait le chef de la majorité et qu'il entendait valoriser les députés et le travail parlementaire. »
 
Un discours de politique générale très attendu
Des paroles qui ont fait du bien aux troupes, qui en ont marre des leçons qui leur sont données et surtout d'être sur le banc des accusés. Notamment en ce qui concerne les résultats des municipales. « S'entendre répéter en boucle qu'il faut faire du terrain est insupportable, souligne un député. Le terrain, nous en faisons tout le temps, cela fait partie du job. Les ministres feraient bien d'en faire autant... » Aussi, une majorité de députés assure préférer juger sur pièces le nouveau Premier ministre et le gouvernement. Prévu le 15 juillet à 15 heures, le discours de politique générale que livrera Jean Castex dans l'hémicycle est ainsi très attendu.
 
Tags : Jean Castex, LREM, Politique, dessinsagogo55, Premier ministre, 9 juillet 2020, 9 juillet, 2020
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#Posté le jeudi 09 juillet 2020 07:58

« Roselyne Bachelot, c'est le retour du monde d'avant, mais tout le monde s'en fiche »

« Roselyne Bachelot, c’est le retour du monde d’avant, mais tout le monde s’en fiche »« Roselyne Bachelot, c'est le retour du monde d'avant, mais tout le monde s'en fiche »
Michel Guerrin
La ministre de la culture est peut-être anachronique par rapport au paysage dominant, mais elle arrive dans un climat qui vise à sauver d'abord, à réfléchir ensuite, explique, dans sa chronique, Michel Guerrin, rédacteur en chef au « Monde ».
Publié hier à 10h47   
 
Chronique
. Roselyne Bachelot surgit et la magie opère. Elle a beau être, à 73 ans, la plus âgée des vingt-cinq ministres de la culture qui se sont succédé, personne ne le lui reproche. Elle s'est retirée de la politique il y a huit ans, et ce n'est pas un problème. Elle fait la mariole aux « Grosses Têtes » de RTL et elle n'essuie aucun sarcasme. Dans ses goûts, elle est anachronique par rapport au paysage culturel dominant, très loin du numérique et de l'industrie du divertissement, et tout le monde s'en fiche.
Pour une raison simple. Roselyne Bachelot a été choisie pour jouer les urgentistes, déconfiner la culture et financer le secteur le plus touché, après le bâtiment, avec une perte de chiffre d'affaires de 22 milliards d'euros. Elle entend intensifier les réouvertures de lieux de spectacle et trouver des sous. Donc un milieu qui fait la quête préfère jouer les courtisans plutôt que de pinailler.
Il est vrai que, pour un job au temps compté, elle a des atouts. Elle est connue, populaire, incarne le poste, sait jouer des médias – tout le contraire d'une ribambelle de noms qui l'ont précédée. Ensuite, elle est « dingue » de culture, d'opéra d'abord, au point d'avoir déjà rêvé du poste en 2007, quand Sarkozy lui a attribué la santé. Il n'est pas courant de voir une personnalité politique au concert et pleurer d'émotion sans la cacher.
 
Le monde culturel pense aussi qu'avec son caractère trempé elle saura tenir tête à Emmanuel Macron, mais aussi à son épouse, Brigitte, si interventionnistes dans la culture qu'ils ont tétanisé les précédents ministres, notamment Franck Riester, parti avec l'image d'un écolier à qui le président fait la leçon.
 
Roselyne Bachelot est déjà offensive, estimant que les salles de spectacle ont trop de contraintes quand elle voit les Français s'agglutiner dans la rue, le métro ou un TGV. A contrario, en cas de malheur, c'est-à-dire de reconfinement, elle saura tenir le gouvernail.
Une autre époque
 
 
Tags : Roselyne Bachelot, Politique, dessinsagogo55, 2020, Ministre, Jean Castex, 11 juillet, 11 Juillet 2020
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#Posté le dimanche 12 juillet 2020 03:57

Jean Castex presse ses ministres d'aller « sur le terrain »

Jean Castex presse ses ministres d’aller « sur le terrain »Jean Castex presse ses ministres d'aller « sur le terrain »
 
 
 
 
 
 
AU TRAVAIL 
Le Premier ministre a animé son tout premier séminaire de travail ce samedi matin
20 Minutes avec AFPPublié le 11/07/20 à 14h09 — Mis à jour le 11/07/20 à 14h11
Plus de temps à perdre. Jean Castex a pressé ce samedi ses ministres d'aller « sur le terrain » pour « entendre les demandes » et veiller à la concrétisation des décisions du gouvernement, lors d'un premier séminaire de travail.
 
Place à la « méthode Castex »
 
Lors du premier Conseil des ministres en début de semaine, « le président de la République a fixé le cap » et « maintenant il y a la traduction concrète avec la "méthode Castex" », a précisé le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal​ à l'issue de ce séminaire. C'est « un gouvernement des 600 jours » jusqu'au bout du quinquennat, a rappelé Gabriel Attal, soulignant que « nous sommes dans un moment de crise historique pour le pays et nous ne pouvons pas attendre pour agir ».
« Il y a un souci très marqué par le Premier ministre de la concrétisation », ce qui doit conduire « les membres du gouvernement à se déplacer, à aller sur le terrain, au contact des Français » pour « mesurer les effets concrets des décisions », a-t-il dit. Jean Castex a aussi « un souci très appuyé de dialogue, de concertation, avec les élus locaux, les entreprises, les associations » pour « avancer » et « embarquer du monde », a rapporté le porte-parole.
 
« Travailler en circuit court »
 
Le gouvernement a eu par ailleurs « un échange politique assez long autour de la déclaration de politique générale » que fera le Premier ministre devant l'Assemblée nationale mercredi, après une interview télévisée d'Emmanuel Macron mardi. Il était « important que tous les membres du gouvernement puissent faire valoir leurs idées », selon Gabriel Attal. Un participant a rapporté un échange « assez prospectif » afin que chacun donne sa « perception du terrain ». Jean Castex veut « travailler en circuit court », selon ce ministre.
 
Interrogé sur une possible augmentation du nombre de conseillers ministériels, Gabriel Attal n'a pas confirmé mais relevé que pour le dialogue et la concertation, il faudrait « qu'on ait dans les équipes des ministres des interlocuteurs en mesure de répondre et d'échanger avec l'ensemble des acteurs qui participent à la vie du pays ». « Peut-être c'est quelque chose qui a un peu manqué précédemment d'avoir des personnes identifiées sur ces sujets-là », a-t-il admis.
 
Tags : Jean Castex, 2020, Politique, dessinsagogo55, 11 juillet, 11 Juillet 2020, Premier ministre
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#Posté le dimanche 12 juillet 2020 04:04

Plan de relance, écologie, territoires... Ce qu'il faut retenir du discours de politique générale de Castex

 
 Plan de relance, écologie, territoires... Ce qu'il faut retenir du discours de politique générale de Castex
 
 
 
 
Plan de relance, écologie, territoires... Ce qu'il faut retenir du discours de politique générale de Castex
 
 
Au lendemain de l'interview télévisée d'Emmanuel Macron, le chef du gouvernement a passé son premier grand oral à l'Assemblée nationale ce mercredi après-midi.
Par Loris Boichot, Claudia Cohen, Louis Heidsieck et Pierre Maurer
Publié il y a 2 heures, mis à jour il y a 1 heure
 
Chacun son tour. Au lendemain de l'interview télévisée accordée mardi par Emmanuel Macron à TF1 et France 2, le premier ministre Jean Castex s'est exprimé à l'Assemblée nationale ce mercredi après-midi. Deux semaines après sa nomination à Matignon, le chef du gouvernement a prononcé son premier discours de politique générale dans l'hémicycle, avant de solliciter la confiance des députés en fin d'après-midi. À la tribune, il a commencé à préciser les contours du «nouveau chemin» promis par l'exécutif pour projeter le pays dans le «monde d'après», et affronter la crise économique et sociale.
 
 
● Coronavirus : développement du port du masque et intensification des dépistages
 
Arrivé à Matignon après «l'une des plus graves crises sanitaires» que la France «ait connu», le premier ministre souhaite «renforcer nos actions de prévention». Il s'agit selon lui de la «meilleure façon de nous préparer à une reprise possible de l'épidémie» et d'«éviter» un «retour à des formes strictes et larges de confinement». «Cela passe nécessairement par le développement du port du masque et une intensification de notre politique de dépistage», assure-t-il.
 
● Plan de relance d'au moins 100 milliards d'euros
 
«À la crise sanitaire succède une crise économique d'une ampleur inégalée depuis la Seconde Guerre mondiale», a souligné Jean Castex. Le premier ministre a précisé les modalités du plan de relance de 100 milliards d'euros prévu par l'exécutif, au service de l'emploi (38 milliards), de la transformation des secteurs industriels stratégiques (40 milliards) et de la transition écologique (20 milliards).
 
 
● La lutte contre le chômage, «priorité absolue» des «18 prochains mois»
 
«La lutte contre le chômage et la préservation de l'emploi» : telles seront les priorités «absolues» du gouvernement pour «les 18 prochains mois».
 
● Retraites : réforme «nécessaire», en la distinguant «de toute mesure financière»
 
«La crise invite plus que jamais à poursuivre nos objectifs vers un système plus juste et plus équitable, notamment pour les femmes et les travailleurs modestes». C'est en ces termes que le premier ministre a remis la réforme des retraites sur le métier. Jean Castex a plaidé pour «la création d'un régime universel (qui) implique la disparition à terme des régimes spéciaux», mais il a affirmé vouloir prendre «pleinement en considération la situation des bénéficiaires actuels de ces régimes». Reconnaissant que les modalités de cette réforme ont généré «de l'inquiétude et de l'incompréhension» par le passé, il a confirmé qu'il allait distinguer «très clairement» la réforme structurelle de toute «mesure financière (...) paramétrique», comme le très controversé âge pivot.
 
 
● Un grand plan pour aider les jeunes à la rentrée
 
«Premiers touchés par la crise», les jeunes sont «la première urgence» de l'exécutif. C'est pourquoi un plan jeunesse «sera discuté vendredi avec les partenaires sociaux», afin d'accompagner les 700.000 jeunes qui se présenteront en septembre sur le marché du travail. L'État y aidera notamment «avec un dispositif exceptionnel de réduction du coût du travail, à hauteur de 4000 euros par an, pour les jeunes de moins de 25 ans, jusqu'à 1,6 Smic, dans toutes les entreprises et pour une durée d'au moins un an», a précisé le premier ministre ce mercredi à l'Assemblée nationale. Pour lutter contre le chômage, Jean Castex a également annoncé la création de 300.000 parcours et contrats d'insertion, qui permettront de «toucher les jeunes les plus en difficulté». Il a aussi évoqué 100.000 places de plus en service civique. Enfin, il a misé sur la formation, annonçant l'objectif de créer «200.000 places supplémentaires de formation en 2021».
 
● 19 milliards de plus pour l'hôpital, entre subventions et reprise de dette
 
Jean Castex s'est félicité des résultats du «Ségur de la Santé» signé lundi, qui permettra à «chaque infirmière (de) gagner dès l'année prochaine au moins 200 euros nets en plus chaque mois». «Soyons en fiers», a-t-il exhorté, avant d'annoncer de nouvelles aides à l'hôpital. «S'y ajouteront, dans le cadre du plan de relance, 13 milliards (d'euros) de reprise de la dette hospitalière et 6 milliards supplémentaires en investissements pour notre système de santé. L'objectif est de donner davantage de souplesse aux établissements», a-t-il ajouté.
 
● Repas à 1¤ pour les étudiants boursiers
 
Afin de «soutenir les étudiants, notamment les plus modestes, qui se retrouvent en difficulté avec moins d'accès aux petits boulots», le premier ministre a annoncé que «dès la rentrée, les repas dans les restaurants universitaires seront à 1 euro pour les étudiants boursiers» , contre 3,30 euros actuellement. Cette mesure devrait ainsi concerner près de 716.000 étudiants.
 
● Revalorisation «exceptionnelle» de 100 euros de l'allocation de rentrée scolaire
 
Parmi les nombreuses «mesures de soutien pour nos concitoyens les plus précaires», le premier ministre a annoncé une revalorisation «exceptionnelle» de 100 euros de l'allocation de rentrée scolaire en septembre. Il a également précisé que le plan pauvreté, dévoilé en 2018 par Emmanuel Macron, «sera amplifié en fonction de l'évolution de la conjoncture».
 
● Suspendue, la réforme de l'assurance-chômage va être «aménagée»
 
«Suspendues» jusqu'à nouvel ordre, certaines réformes vont désormais pouvoir reprendre... Sous des formes nouvelles. Le premier ministre a notamment dit vouloir «aménager» le texte sur l'assurance-chômage. «Ce sera l'un des points que nous aborderons vendredi (avec les partenaires sociaux) dans le cadre de la conférence du dialogue social» a-t-il indiqué. Un peu plus tôt, il avait tenu à rappeler que «lorsque la crise du coronavirus s'est abattue sur notre pays, le chômage était au plus bas depuis plus de dix ans».
 
● Un projet de loi contre «les séparatismes» sera présenté à la rentrée
 
Le premier ministre a affirmé que la lutte contre l'islam radical demeure «une préoccupation majeure» du gouvernement. À ce titre, un projet de loi «contre les séparatismes» sera présenté à la rentrée en Conseil des ministres. Le premier ministre, qui veut défendre la laïcité «avec intransigeance», souhaite «éviter que certains groupes ne se referment autour d'appartenances ethniques ou religieuses».
 
● «Réponse ferme» aux «minorités ultra violentes» et à la délinquance du quotidien
 
Après les violences perpétrées en juin à Dijon (Côte-d'Or) et la récente attaque mortelle d'un chauffeur de bus à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques), Jean Castex promet une «réponse ferme» aux «minorités ultra-violentes» et à «la délinquance du quotidien». Le premier ministre entend aussi «combattre avec la dernière énergie» les violences «conjugales», ainsi que «toutes (les) formes de discrimination», de «racisme» et d'«antisémitisme». Il veut créer des «juges de proximité» pour réprimer «les incivilités du quotidien».
 
● La «première ambition» de l'exécutif sera de «ressouder la France»
 
Emmanuel Macron a reconnu mardi qu'il n'était «pas parvenu» à réconcilier les Français. Mais pas question pour autant de rester sur ce constat d'échec. «Notre première ambition, immense» sera de «souder ou ressouder (le pays)», a affirmé le premier ministre. Il a regretté que l'Hexagone soit aujourd'hui «ébranlé dans ses fondements par la coalition de ses ennemis : terroristes, extrémistes, complotistes, séparatistes, communautaristes».
 
● Oui à «la croissance écologique», non «à la décroissance verte»
 
Alors que l'exécutif a promis d'adopter la quasi-totalité des propositions de la Convention climat, Jean Castex a dit croire «en la croissance écologique» mais pas à la «décroissance verte». «Rien ne serait plus inefficace ou injuste que de demander à certains de nos concitoyens qui n'en ont (...) pas les moyens de changer brutalement leur mode de consommation ou de déplacement», a-t-il expliqué. Il a néanmoins enjoint «nos entreprises à évoluer», indiquant que 20 milliards d'euros du plan de relance seraient consacrés à la transition écologique et à la rénovation technique des bâtiments thermiques.
 
● Vers un «plan vélo très ambitieux»
 
Le «monde d'après» comportera «un plan vélo très ambitieux » et «contractualisé» avec les collectivités. Le premier ministre a annoncé que des «montants significatifs et inégalés» seraient investis en ce sens. Il a ajouté que, d'ici à la fin de l'année 2021, tous les territoires devront être dotés de «contrats de développement écologiques».
 
● Un «droit à la différenciation» des territoires sera consacré dans une loi
 
Désireux d'entamer une «nouvelle étape de la décentralisation» pour «réarmer» les «territoires» - un mot qu'il a employé 25 fois -, Jean Castex souhaite qu'un «droit à la différenciation» des collectivités territoriales soit consacré. Ce principe, qui était jusqu'alors contenu dans la réforme de la Constitution - restée au point mort -, devrait finalement figurer dans une «loi organique».
 
● Fonctionnaires: toutes les créations se feront dans les services départementaux
 
«C'est une révolution». Jean Castex a annoncé que toutes les créations d'emploi de fonctionnaires seront désormais affectées, «sauf exceptions justifiées», dans les services départementaux de l'État. Et non plus dans les administrations centrales : «Notre intention est de rendre rapidement plus cohérente et plus efficace l'organisation territoriale de l'État, en particulier au niveau du département».
 
● Dépendance : création d'une «cinquième branche» de la Sécurité sociale
 
Lors de son discours, le premier ministre a annoncé la création d'une «cinquième branche» de la Sécurité sociale, dédiée à la dépendance. Cet organe viendra couvrir les risques de la vie liés à la perte d'autonomie et au handicap. Il s'ajoute ainsi aux quatre autres branches déjà existantes : maladie, vieillesse, famille, accidents du travail. Son principe avait été voté en première lecture à l'Assemblée dans la nuit du lundi 15 au mardi 16 juin.
 
Tags : Jean Castex, Politique, Premier ministre, dessinsagogo55, 15 juillet 2020, 15 juillet, 2020
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#Posté le mercredi 15 juillet 2020 14:25

"On a trouvé un os à ronger pour le jeune Gabriel ?" Castex grillé par une note à la sortie de l'Élysée

 
 "On a trouvé un os à ronger pour le jeune Gabriel ?" Castex grillé par une note à la sortie de l'Élysée
 
 
 
 
 
 
"On a trouvé un os à ronger pour le jeune Gabriel ?" Castex grillé par une note à la sortie de l'Élysée
 
 

HISTOIRE D'OS -
Le Premier ministre a malencontreusement dévoilé ce mercredi une note en sortant du conseil des ministres au Palais de l'Elysée, demandant si "un os à ronger supplémentaire" avait été trouvé pour Gabriel Attal, porte-parole de son gouvernement.
23 juil. 06:32 - La rédaction de LCI

C'est une boulette qui ne passe pas inaperçu, révélée et moquée par des journalistes politiques ce mercredi sur les réseaux sociaux. Une note malencontreusement exhibée à la sortie du conseil des ministres au Palais de l'Elysée par le Premier ministre Jean Castex. Un simple zoom suffit pour la décrypter. 
 
 



Les photographes l'ont captée, les journalistes l'ont évidemment déchiffrée. La note commence par une question : "Finalement, on a trouvé un os à ronger supplémentaire pour le jeune Gabriel ?", le "jeune Gabriel" nommé dans la note étant Gabriel Attal, l'actuel porte-parole de son gouvernement. 
 
 
Une réponse masquée par le pouce de Jean Castex
Une personne, dont l'identité demeure inconnue, lui a répondu (avec une écriture fine et moins traduisible) un "Non", suivi de trois points de suspension, étayant une longue réponse que le pouce du Premier ministre masque partiellement. 
 
A l'heure qu'il est, tout Twitter tente de déchiffrer ce que contient la fameuse réponse négative à cette question manifestement pressante. 
 
 
Tags : Gabriel Attal, Politique, Jean Castex, 23 juillet 2020, 23 juillet, 2020, dessinsagogo55
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#Posté le jeudi 23 juillet 2020 11:24

Emmanuel Macron a été diagnostiqué positif au Covid-19

 
 
 
 
 Emmanuel Macron a été diagnostiqué positif au Covid-19
 
 
Emmanuel Macron a été diagnostiqué positif au Covid-19 
Le président de la République s'est placé en isolement, mais « continuera de travailler ». Le premier ministre, Jean Castex, s'est lui aussi isolé.

Le Monde avec AFP et Reuters
Publié aujourd'hui à 10h43, mis à jour à 14h28 
Emmanuel Macron a été diagnostiqué positif au Covid-19, a annoncé l'Elysée jeudi 17 décembre. Le président de la République va s'isoler pendant sept jours.
 
Après le diagnostic établi par « des tests RT-PCR réalisés dès l'apparition de premiers symptômes », le chef de l'Etat « s'isolera pendant sept jours », mais « continuera de travailler et d'assurer ses activités à distance », ajoute la présidence dans un communiqué. Un fidèle d'Emmanuel Macron se veut rassurant sur son état de santé. « Il n'est pas abattu, il va bien et n'a que des légers symptômes. Il continue à bosser. Ce matin, il a même organisé des visios à distance », confie cette source. Brigitte Macron, cas contact mais qui « ne présente aucun symptôme », s'est elle aussi placée en isolement. Elle était négative au Covid-19 mardi 15 décembre, selon les résultats d'un test avant une visite dans un service pédiatrique de l'hôpital Saint-Louis à Paris.
 
 
Un dîner politique s'est tenu à l'Elysée mercredi soir autour d'Emmanuel Macron, comme l'a révélé Le Point, au sujet de la préparation des élections régionales. Etaient présents le premier ministre, Jean Castex, le président de l'Assemblée nationale, Richard Ferrand, le président du MoDem, François Bayrou, le délégué général de LRM, Stanislas Guerini, les conseillers politiques d'Emmanuel Macron, Thierry Solère et Stéphane Séjourné, le président du groupe LRM à l'Assemblée nationale, Christophe Castaner, celui du groupe Modem, Patrick Mignola, et le secrétaire général de l'Elysée, Alexis Kohler. « Les règles de distanciation ont été respectées », rapporte un participant, qui assure que le chef de l'Etat ne présentait alors « aucun » symptôme. Les personnes présentes ne sont pas pour autant considérées comme cas contacts, assure-t-on au sommet de l'Etat, « car il y avait de la distance et les masques entre les plats ». « Sauf peut-être les voisins de table », précise un conseiller.
 
Test négatif pour Jean Castex, qui reste en isolement
 
Emmanuel Macron et Jean Castex s'étaient par ailleurs vus en tête à tête pour un café mardi soir. C'est pour cette raison que le chef du gouvernement a été considéré comme un cas contact. Un test PCR a été réalisé jeudi matin et s'est révélé négatif. Le premier ministre doit cependant rester en isolement pendant sept jours après le dernier contact avec Emmanuel Macron, conformément au protocole sanitaire.
 
« Son agenda va être adapté de manière à ce qu'il puisse travailler en distanciel pendant les sept prochains jours », a expliqué Matignon. Le chef du gouvernement a donc renoncé à présenter au Sénat le plan de stratégie vaccinale jeudi matin – c'est le ministre de la santé, Olivier Véran, qui a prononcé le discours à sa place. Il a dit avoir une « pensée particulière » pour le président de la République.

Le conseil des ministres en visioconférence
 
Le président de l'Assemblée nationale, Richard Ferrand, est également considéré comme cas contact et s'est lui aussi placé en isolement. Certains présidents de groupes politiques, comme Valérie Rabault (PS) ou Olivier Becht (Agir ensemble), qui comme le président de l'Assemblée nationale, ont déjeuné mardi avec le chef de l'Etat, ont annulé leurs rendez-vous ou se sont isolés, ont fait savoir des sources parlementaires. Le secrétaire général de l'Elysee, Alexis Kohler, est également cas contact de M. Macron et doit lui aussi s'isoler, a fait savoir l'Elysee.
 
 


nt pas considérés comme cas contacts, car ils portaient des masques et se trouvaient à distance », selon un conseiller de l'exécutif. Le dernier conseil des ministres de l'année, prévu lundi 21 décembre, se déroulera en visioconférence.
 
Le chef du gouvernement espagnol cas contact de Macron
 
Le chef du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, qui a rencontré M. Macron lundi à Paris, a fait savoir jeudi qu'il se mettait en quarantaine jusqu'au 24 décembre à la suite de l'annonce du test Covid-19 positif du président français. Les deux hommes se sont vus à l'occasion du 60e anniversaire de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
 
Le premier ministre du Portugal, Antonio Costa, s'est lui aussi placé en « isolement préventif » après s'être entretenu mercredi avec M. Macron. Il s'est soumis à un test Covid-19 dans la matinée de jeudi.
 
 


 


Le premier ministre britannique, Boris Johnson, lui aussi touché par le coronavirus en avril, a souhaité jeudi un prompt rétablissement à Emmanuel Macron dans un message en français sur Twitter :
 
 
 
 
 
Tags : Emmanuel Macron, Jean Castex, Coronavirus, Covid-19, 17 décembre 2020, 17 décembre, 2020
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#Posté le jeudi 17 décembre 2020 10:23

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