Skyrock.com
  • ACCUEIL
  • BLOGS
  • PROFILS
  • CHAT
  • Apps
  • Musique
  • Sources
  • Vidéos
  • Cadeaux
  • Connecte-toi
  • Crée ton blog

dessinsagogo55

Masquer Voir son profil
Photo de dessinsagogo55
  • Suivre
  • Envoyer un messageMessage
  • Voir son profil
  • Plus d'actions ▼
  • Blog secret
  • Partager
  • Offrir un cadeau
  • Devenir VIP
  • Bloquer
  • S'abonner à mon blog
  • 40 honneurs
  • 15 105 articles
  • 261 342 kiffs
  • 66 367 commentaires
  • 499 tags
  • 418 828 visites
Jouer

Skyrock Les n°1 sont Rap & RnB

Ajouter Skyrock.fm

Création : 01/10/2007 à 23:30 Mise à jour : 18/01/2023 à 22:38

Retour au blog de dessinsagogo55

7 articles taggés 13 septembre

Rechercher tous les articles taggés 13 septembre

Jacqueline Bisset : dessinsagogo55


Jacqueline Bisset : dessinsagogo55177
Tags : Jacqueline Bisset, dessinsagogo55, 13 septembre 1944, 13 septembre, 1944, Weybridge, Cinéma, Actrice, Jacqueline
​ 10 | 0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le mardi 13 septembre 2022 02:00

Jacqueline Bisset

Jacqueline BissetJacqueline BissetJacqueline Bisset


Tags : Jacqueline Bisset, 13 septembre 1944, 13 septembre, 1944, Weybridge, Cinéma, Actrice, Jacqueline
​ 13 | 1 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le lundi 13 septembre 2021 05:00

Jacqueline Bisset : dessinsagogo55

Jacqueline Bisset : dessinsagogo55
Tags : Jacqueline Bisset, dessinsagogo55, 13 septembre 1944, 13 septembre, 1944, Weybridge, Cinéma, Actrice, Jacqueline
​ 8 | 0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le dimanche 13 septembre 2020 03:00

Jacqueline Bisset : dessinsagogo55

Jacqueline Bisset : dessinsagogo55
 
 
 
 
 
 
 
Tags : Jacqueline Bisset, dessinsagogo55, 13 septembre 1944, 13 septembre, 1944, Weybridge, Cinéma, Actrice, Jacqueline
​ 4 | 0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le dimanche 13 septembre 2020 04:00

Jacqueline Bisset

Jacqueline Bisset


Jacqueline Bisset est une actrice anglaise, née le 13 septembre 1944 à Weybridge dans le Surrey en Angleterre, de Max Fraser-Bisset et Arlette Alexander.

Jacqueline Bisset

Jacqueline Fraser est la fille de Arlette Alexander, d'origine française, avocate devenue femme au foyer, et de Max Fraser Bisset, un médecin généraliste écossais. Elle a été élevée dans le Berkshire. Pendant l'offensive allemande en France en 1940, sa mère doit pédaler depuis Paris pour s'embarquer à bord d'un transport de troupes britanniques pour échapper aux Allemands. Sa mère lui a appris à parler couramment français et elle a fait ses études au Lycée Français Charles de Gaulle à Londres.
Enfant, elle prend des leçons de ballet, commence à prendre des cours de théâtre et fait du mannequinat pour les payer. Elle est notamment connue du public français par son interprétation du double rôle Christine / Tatiana au côté de Jean-Paul Belmondo dans le film de Philippe de Broca, Le Magnifique.

Jacqueline Bisset

Jacqueline Bisset est la marraine de l'actrice Angelina Jolie. Elles ont tourné ensemble dans Mr. et Mrs. Smith (2005) mais la scène fut coupée au montage.
Bien qu'ayant connu de longues aventures, elle ne s'est jamais mariée. Elle a vécu 10 ans avec l'acteur Michael Sarrazin puis avec le danseur de ballet Alexander Godunov.
Elle vit entre l'Angleterre et Beverly Hills en Californie.

Jacqueline Bisset

Filmographie sélective

1964 : Le Knack... et comment l'avoir de Richard Lester (non créditée)
1966 : Cul-de-sac de Roman Polanski, Jacqueline
1967 : Casino Royale, de Val Guest, Kenneth Hughes, John Huston, Joseph McGrath et Robert Parrish, Julie Lacuisse
1967 : Voyage à deux (Two for the Road) de Stanley Donen, Jackie
1968 : Le Détective (The Detective) de Gordon Douglas, Norma MacIver
1968 : Fureur à la plage (The Sweet Ride) de Harvey Hart, Vickie Cartwright
1968 : Bullitt de Peter Yates, Cathy
1969 : The First Time de James Neilson, Anna
1970 : Airport de George Seaton, Gwen Meighen
1970 : The Grasshopper de Jerry Paris, Christine Adams
1971 : Satan, mon amour (The Mephisto Waltz) de Paul Wendkos, Paula Clarkson
1971 : Believe in Me de Stuart Hagmann, Pamela
1972 : Juge et Hors-la-loi (The Life and Times of Judge Roy Bean) de John Huston, Rose Bean (la fille du juge Roy Bean)
1973 : Le voleur qui vient dîner The Thief Who Came to Dinner de Bud Yorkin, Laura
1973 : La Nuit américaine de François Truffaut, Julie
1973 : Le Magnifique de Philippe de Broca, Christine / Tatiana
1974 : Le Crime de l'Orient-Express de Sidney Lumet, La comtesse Andrenyi
1975 : Der Richter und sein Henker de Maximilian Schell, Anna Crawley
1975 : La Nuit de la peur (The Spiral Staircase) de Peter Collinson, Helen Mallory
1975 : La Femme du dimanche (La Donna della domenica) de Luigi Comencini, Anna Carla
1976 : Monsieur St. Ives (St. Ives) de J. Lee Thompson, Janet Whistler
1977 : Les Grands Fonds (The Deep) de Peter Yates, Gail Berke
1977 : L'Empire du Grec (The Greek Tycoon) de J. Lee Thompson, Liz Cassidy
1978 : La Grande Cuisine (Who Is Killing the Great Chefs of Europe?) de Ted Kotcheff, Natasha O'Brien
1979 : Amo non amo, d'Armenia Balducci, Louise
1980 : Le Jour de la fin du monde (When Time Ran Out...) de James Goldstone, Kay Kirby
1981 : Inchon de Terence Young, Barbara Hallsworth
1981 : Riches et Célèbres (Rich and Famous) de George Cukor, Liz Hamilton
1983 : Class de Lewis John Carlino, Ellen Burroughs
1984 : Au-dessous du volcan de John Huston, Yvonne Firmin
1984 : Défense d'aimer (Forbidden) d'Anthony Page, Nina von Halder
1985 : Anna Karenina (TV) de Simon Langton, Anna Karenina
1986 : Les Choix de vie (Choices) (TV), Marisa Granger
1987 : Soleil grec de Clare Peploe, Katherine Shaw
1987 : Napoleon and Josephine: A Love Story (feuilleton TV) : Josephine de Beauharnais
1988 : La Maison de jade, de Nadine Trintignant, Jeanne Lambert
1989 : Scenes from the Class Struggle in Beverly Hills de Paul Bartel, Clare Lipkin
1990 : L'Orchidée sauvage, de Zalman King, Claudia Dennis
1990 : L'Experte, de Ian Barry, Holly Mac Fee
1991 : Rossini, Rossini de Mario Monicelli, Isabella Colbran
1993 : Les Marmottes d'Élie Chouraqui, Frédérique
1995 : La Cérémonie de Claude Chabrol, Catherine
1996 : September de Colin Bucksey (TV), Pandora
1996 : Alliance interdite (Once You Meet a Stranger) (TV) de Tommy Lee Wallace, Sheila Gaines
1998 : La Courtisane (Dangerous Beauty) de Marshall Herskovitz, Paola Franco
1999 : Jeanne d'Arc, de Christian Duguay, Isabelle d'Arc
1999 : Jésus de Roger Young, Marie
2000 : Britannic de Brian Trenchard-Smith, Lady Lewis
2000 : Les Gens qui s'aiment de Jean-Charles Tacchella, Angie
2001 : Un été pour vivre de Suri Krishnamma, Geraldine
2001 à 2002 : Ally McBeal de David E. Kelley, Frances Shaw (2 épisodes)
2003 : La tentation d'Aaron de C. Jay Cox, Lila Montagne
2003 : Swing de Martin Guigui, Christine/Mrs. DeLuca
2003 : New York unité spéciale (série TV), Juliet Barclay (1 épisode)
2004 : Fascination de Klaus Menzel, Maureen Doherty
2005 : Domino de Tony Scott, Sophie Wynn (mère de Domino et ex-mannequin chez Vogue)
2006 : Née pour danser 2 (Save the last dance 2), de David Petrarca, Monique Delacroix
2006 : Nip/Tuck (série TV), James LeBeau (7 épisodes)
2007 : Comme une ombre dans la nuit (Carolina Moon) (TV) de Stephen Tolkin, Margaret Lavelle
2008 : Death in Love de Boaz Yakin, La mère
2008 : Contre tout l'or du monde (An Old Fashioned Thanksgiving) (TV) de Graeme Campbell, Isabella
2009 : The Eastmans (TV) de Jason Ensler, Emma Eastman
2009 : Le Concert de Radu Mihaileanu, Betty (scènes supprimées)
2010 : Le Tumulte des sentiments (An Old Fashioned Christmas) (TV) de Don McBrearty, Isabella Caldwell
2011 : Rizzoli & Isles (série TV), Constance Isles (2 épisodes)
2012 : Dancing on the Edge (série TV)
2013 : Vivaldi


Jacqueline Bisset
Tags : Jacqueline Bisset, Jacqueline Fraser, 13 septembre 1944, 13 septembre, 1944, Weybridge, Actrice, Cinéma, Jacqueline
​ 23 | 2 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le dimanche 13 septembre 2020 01:00

Nicolas Charles Oudinot

Nicolas Charles Oudinot, né le 25 avril 1767 à Bar-le-Duc, mort le 13 septembre 1847, duc de Reggio et maréchal d'Empire.

Nicolas Charles Oudinot

Nicolas-Charles Oudinot est issu de la petite bourgeoisie meusienne. Après des études dans sa ville natale puis à Toul, il s'engagea en 1784, à l'âge de dix-sept ans, dans le régiment de Médoc-infanterie, son caractère ne l'inclinant guère à participer aux affaires de la brasserie paternelle. Revenu dans sa région trois ans plus tard avec le grade de sergent, il y épousa Françoise-Charlotte Derlin en septembre 1789, année où les premiers événements de la Révolution lui fournirent l'occasion de se révéler.
Le 14 juillet 1789, une compagnie soldée, formée à Bar, plaça à sa tête l'ancien soldat du Médoc-infanterie avec le grade de capitaine. Ayant montré sa fermeté et son esprit de décision lors de quelques troubles qui agitèrent cette ville, Oudinot fut désigné en 1790 comme chef de légion, commandant la Garde nationale du département, puis, le 6 septembre 1791, élu à la majorité des suffrages lieutenant-colonel du 3e bataillon des volontaires de la Meuse, avec lequel il partit pour la frontière du Nord-Est.


À la suite de sa remarquable défense de Bitche, il fut promu chef de brigade (colonel) le 5 novembre 1793 et se vit attribuer le commandement de la 4e demi-brigade, qui venait d'être constituée avec l'un des plus brillants éléments de l'armée monarchique, le régiment de Picardie. En décembre de la même année, à l'affaire d'Haguenau il reçut la première d'une longue série de blessures qui firent de lui le maréchal le plus blessé de l'Empire. Quelques mois plus tard, sa conduite à Kaiserslautern, où il se fraya un passage à la baïonnette dans les rangs prussiens, lui valut le grade de général de brigade (14 juin 1794). Il avait alors vingt-sept ans et, comme la plupart des futurs maréchaux de l'Empire, était parvenu à ce grade bien avant le 18 Brumaire. En octobre 1795, victime de cinq coups de sabre à Neckerau et laissé sur le terrain, il fut fait prisonnier par les Autrichiens. Libéré l'année suivante à la suite d'un échange d'officiers supérieurs, il rejoignit les armées du Rhin et de la Moselle commandées par le général Moreau. En 1799, pendant la campagne d'Helvétie, il se distingua à la prise de Zurich et à celle de Constance, étant alors chef d'état-major de Masséna qui le fit nommer général de division (12 avril 1799).

Oudinot prit ensuite part à toutes les grandes campagnes du Consulat et de l'Empire, à l'exception de celles d'Espagne et du Portugal. Auprès de Masséna, il soutint avec l'armée de Ligurie le siège de Gênes, place qui fut évacuée avec les honneurs de la guerre après avoir permis à Bonaparte de franchir les Alpes. Lors des dernières opérations en Italie, il s'illustra, notamment par un fait d'armes personnel en s'emparant avec son état-major d'une batterie autrichienne gardant le passage du Mincio (décembre 1800). En février 1805, à la veille de la formation de la troisième coalition, il reçut le commandement en chef des grenadiers réunis, soldats d'élite qui ne furent bientôt plus connus que sous le nom de « Grenadiers d'Oudinot » : il remporta l'année même une série de succès à Wertingen, Amstetten. Vienne et Hollabrünn, puis contribua à la victoire d'Austerlitz. Il rendit de précieux services en 1806 durant la campagne de Prusse, enleva Ostrolenka par une brillante charge de cavalerie Tannée suivante (février 1807) et se couvrit de gloire face aux Russes à Friedland (juin 1807). Le 25 juillet 1808. l'Empereur lui accorda le titre de comte de l'Empire avec pour dotation le domaine d'Inowaclo (Pologne). A la tête de sa troupe — surnommée « la colonne infernale » tant elle inspirait de crainte dans les rangs ennemis —, il se signala durant la campagne d'Autriche (1809) à Ebersberg puis Essling. Quand Lannes fut mis hors de combat, l'Empereur donna « le commandement du 2ecorps au comte Oudinot, général éprouvé dans cent combats, où il a montré autant d'intrépidité que de savoir» (23 mai, 10e Bulletin de la Grande Armée). Peu après, il fit des prodiges de valeur à Wagram, où il força la victoire en outrepassant les ordres de Napoléon, qui lui donna son bâton de maréchal le 12 juillet 1809 et le titre de duc de Reggio.

S'il semble bien que l'Empereur voyait, depuis plusieurs années déjà, en lui l'un de ses futurs maréchaux, divers facteurs ont pu venir retarder son élévation à cette dignité : Oudinot était de l'armée du Rhin el n'avait rencontré Bonaparte pour la première fois qu'après l'instauration du Consulat; républicain affiché, il fit longtemps partie du groupe des généraux « d'opposition »; s'il était un meneur d'hommes d'une bravoure exceptionnelle, il n'était toutefois pas un grand stratège ; ses multiples blessures, enfin, le tinrent trop souvent écarté aux moments où se distribuaient les distinctions. À l'intrépidité Oudinot joignait un esprit chevaleresque reconnu de ses adversaires et, dernière la rudesse extérieure de son caractère, un indéniable savoir-faire qui contribuèrent sans doute à lui faire attribuer certaines missions plus diplomatiques que militaires avant comme après son accession au maréchalat.

Chargé, en 1806, de prendre possession au nom de Berthier de la principauté de Neuchâtel (Suisse) cédée à la France par la Prusse, il s'attira, par son équité et son désintéressement, la reconnaissance des habitants qui, à son départ, lui offrirent une épée d'honneur et la citoyenneté de Neuchâtel. Gouverneur d'Erfurt, il eut la tâche délicate de veiller au bon déroulement d'un congrès (septembre 1808) où étaient conviés nombre de souverains et princes d'Europe autour de Napoléon et du tsar, auquel l'Empereur le présenta comme « le Bayard de l'armée française ». Lors de l'abdication de Louis Bonaparte du trône de Hollande, Napoléon, ayant décidé d'annexer ce pays à l'Empire, en confia l'occupation à Oudinot, qui sut concilier dans cette opération (1810) la fermeté qu'exigeait l'application des ordres reçus, le respect que demandait le sort d'un peuple éprouvé et les égards qu'appelait la situation du frère de l'Empereur.

C'est durant son séjour en Hollande qu'Oudinot apprit le décès de sa femme dont il avait eu sept enfants. Quelque temps plus tard, le 19 janvier 1812, il épousa Marie-Charlotte-Eugénie de Coucy, jeune femme de l'aristocratie de l'Ancien Régime, qui lui donna quatre autres descendants venant agrandir une famille où le métier des armes fut largement représenté. Tous ses fils embrassèrent la carrière militaire : l'aîné, Victor, lieutenant des hussards en 1809, chef d'escadron à la fin de l'Empire, reçut en 1849, une fois devenu général, le commandement en chef du corps expéditionnaire français contre la République romaine ; le deuxième, Auguste, colonel des chasseurs d'Afrique, trouva la mort durant la conquête de l'Algérie ; le troisième, Charles, fut lieutenant-colonel d'infanterie et le quatrième, Henri, général de brigade. Deux de ses gendres, Claude Pajol et Guillaume de Lorencez, étaient de brillants généraux de division qui, comme le maréchal, firent les dernières campagnes de l'Empire.

Chef du 2e corps pendant la campagne de Russie, Oudinot remporta plusieurs succès autour de Pulutsk (août 1812) et montra le plus admirable courage en ouvrant à l'armée le passage de la Bérézina (novembre 1812).
Commandant le 12e corps, le 4e, puis le 7e et 12e corps réunis durant la campagne d'Allemagne, il se battit comme un lion à Bautzen (mai 1813), mais fut refoulé par Bernadotte à Gross-Beeren (août 1813) ; il conduisit ensuite avec héroïsme deux divisions de la Jeune Garde à Wachau puis à Freiburg (octobre 1813) et, lors de la campagne de France, fit preuve d'une remarquable bravoure à La Rolhière (février 1814) et à Arcis-sur-Aube (mars 1814), où il reçut sa trente-deuxième blessure. Oudinot fut enfin de ceux qui, étant encore à Fontainebleau le 4 avril 1814, incitèrent alors l'Empereur à l'abdication,

Rallié au gouvernement provisoire après l'abdication de Napoléon, le 20 mai 1814 le maréchal Oudinot se vit remettre par Louis XVIII le commandement en chef du corps royal des grenadiers et chasseurs à pied (ex-Garde impériale), puis fut nommé ministre d'Etat, pair de France et gouverneur de la 3e division militaire. Durant les Cent-Jours, dégagé de ses serments envers l'Empereur mais non de ceux qu'il avait prêtés aux Bourbons, il fit savoir à Davout, alors ministre de la Guerre, qu'il n'entendait pas « jouer un double rôle ni servir deux maîtres » et souhaitait rester dans ses terres, ce qu'il confirma ensuite directement à l'Empereur qui l'avait appelé à Paris (avril 1815) : « Je ne servirai personne, Sire, puisque je ne vous servirai pas. » Conduite loyale à laquelle Napoléon rendit hommage à Sainte-Hélène.

Au retour de Louis XVIII, Oudinot devint major général de la Garde royale (8 septembre 1815), puis reçut le commandement en chef de la Garde nationale de Paris qu'il conserva jusqu'à la dissolution de ce corps (1827), tandis que sa femme se voyait confier la charge de dame d'honneur de la duchesse de Berry.
Oudinot, qui bénéficia vraiment de la confiance des gouvernements de la Restauration, fut mis à la tête du 1er corps de l'armée des Pyrénées conduite par le duc d'Angoulême lors de la guerre d'Espagne (1823) et mena ses troupes à Madrid dans une campagne à caractère plus politique que guerrier.

Resté d'abord à l'écart du gouvernement de Juillet, le maréchal vieillissant accepta ensuite les fonctions de grand chancelier de la Légion d'honneur (1839), puis, trois ans plus tard, de gouverneur de l'hôtel des Invalides, où il s'éteignit le 13 septembre 1847.


Nicolas Charles Oudinot

Nicolas Charles Oudinot, by Robert Lefèvre


Nicolas Charles Oudinot
Tags : Nicolas Charles Oudinot, Meuse, Personnalité née en Meuse, Bar-le-Duc, 25 avril 1767, 25 avril, 1767, Décès, 13 septembre 1847, 13 septembre, 1847, Maréchal d'Empire, Nicolas
​ 9 | 0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le dimanche 13 septembre 2020 01:30

Jacqueline Bisset 1968

Jacqueline Bisset 1968
Tags : Jacqueline Bisset, 1968, Jacqueline Fraser, 13 septembre 1944, 13 septembre, 1944, Weybridge, Actrice, Cinéma, Jacqueline
​ 8 | 1 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.222.251.91) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le dimanche 13 septembre 2020 02:00

Design by dessinsagogo55

Signaler un abus

Abonne-toi à mon blog ! (85 abonnés)

RSS

Skyrock.com
Découvrir
  • Skyrock

    • Publicité
    • Jobs
    • Contact
    • Sources
    • Poster sur mon blog
    • Développeurs
    • Signaler un abus
  • Infos

    • Ici T Libre
    • Sécurité
    • Conditions
    • Politique de confidentialité
    • Gestion de la publicité
    • Aide
    • En chiffres
  • Apps

    • Skyrock.com
    • Skyrock FM
    • Smax
  • Autres sites

    • Skyrock.fm
    • Tasanté
    • Zipalo
  • Blogs

    • L'équipe Skyrock
    • Music
    • Ciné
    • Sport
  • Versions

    • International (english)
    • France
    • Site mobile