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11 articles taggés 1975

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Kate Winslet : dessinsagogo55



Kate Winslet : dessinsagogo55
Tags : Kate Winslet, Cinéma, Actrice, 5 octobre 1975, 5 octobre, 1975, Kate, dessinsagogo55
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#Posté le vendredi 16 octobre 2020 04:00

Modifié le vendredi 16 octobre 2020 08:15

Marion Cotillard


Marion Cotillard


Marion Cotillard , née le 30 septembre 1975 à Paris , actrice française dont la carrière est internationale . En 2008 , elle remporte de nombreuses récompenses grâce à son interprétation d'Edith Piaf dans le film La Môme , dont un César , un Golden Globe , un BAFTA et un Oscar . Elle devient la troisième Française à être désignée « meilleure actrice » par la prestigieuse Académie hollywoodienne des Oscars , Taille 1m69

Marion CotillardMarion Cotillard




Tags : Marion Cotillard, Cinéma, Cinéma M, 30 septembre 1975, 30 septembre, 1975, Actrice, Mannequin, Marion
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#Posté le jeudi 10 mai 2012 04:00

Modifié le lundi 03 septembre 2012 18:08

Marion Cotillard

Marion Cotillard

Marion Cotillard, née le 30 septembre 1975 à Paris, est une mannequin et actrice française dont la carrière est internationale.

Marion Cotillard

En 2008, elle remporte de nombreuses récompenses grâce à son interprétation d'Edith Piaf dans le film La Môme, dont un César, un Golden Globe, un BAFTA et un Oscar. Elle devient la troisième Française à être désignée « meilleure actrice » par la prestigieuse Académie hollywoodienne des Oscars, après Claudette Colbert en 1935 et Simone Signoret en 1960. Ce prix lui ouvre les portes des studios outre-Atlantique et lui permet de tourner avec de grands réalisateurs américains et britanniques (Michael Mann, Woody Allen, Rob Marshall, Christopher Nolan, Steven Soderbergh, James Gray).

Marion Cotillard

La mère de Marion Cotillard, Niseema Theillaud, est comédienne, et son père, Jean-Claude Cotillard, est comédien, mime, metteur en scène et directeur pédagogique de l'école supérieure d'art dramatique de la ville de Paris. Elle a vécu une grande partie de son enfance à Puiseaux, près de Fontainebleau.

Marion Cotillard

Elle est l'aînée de deux frères, les jumeaux Quentin (peintre et sculpteur) et Guillaume (scénariste et réalisateur), nés le 6 novembre 1977.
Elle étudie au lycée Voltaire d'Orléans, situé dans le quartier de La Source, où elle a notamment pris une option théâtre, puis au lycée Molière (Paris).

Marion Cotillard

Sa première pièce, Y a des nounours dans les placards, est mise en scène par son cousin, Laurent Cotillard. En 1994, elle obtient le premier prix du conservatoire d'art dramatique d'Orléans. Elle est à la fin du siècle la petite amie de l'acteur Julien Rassam (fils de Claude Berri) qui se défenestre sous ses yeux.

Marion Cotillard
 
Tags : Marion Cotillard, 30 septembre 1975, 30 septembre, 1975, Actrice, Mannequin, Marion, Cinéma
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#Posté le mercredi 30 septembre 2020 04:00

Marion Cotillard



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Tags : Marion Cotillard, 30 septembre 1975, 30 septembre, 1975, Actrice, Mannequin, Marion, Cinéma, Cinéma M
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#Posté le mardi 09 octobre 2012 11:00

Mike Brant

Né Moshé Michaël Brand, plus connu sous le nom de Mike Brant (1er février 1947 à Famagouste, Chypre - 25 avril 1975 à Paris), était un chanteur crooner israélien.
Il est le fils de Bronia Rosenberg, originaire de Lodz en Pologne, rescapée d'Auschwitz, et de Fichel Brand, résistant polonais originaire de Bilgoraj, de 20 ans son aîné. Ses parents se marient au sortir de la guerre puis essaient d'immigrer en Palestine mandataire, mais seront refoulés par les Britanniques dans un camp d'accueil à Famagouste à Chypre. C'est dans ce camp que naît Mike Brant. La famille Brand parvient finalement à débarquer en Israël à Haïfa fin septembre 1947 et y vit de l'agriculture dans un kibboutz en Galilée. Mike Brant ne parle qu'à l'âge de 4 ans et affirme très tôt à son entourage « plus tard, je serai vedette... ou clochard ! ». Il rentre à l'âge de 11 ans dans la chorale de son école.
À 15 ans, il est choisi pour animer le réveillon de la Saint Sylvestre dans un grand hôtel d'Haïfa et à 17 ans il devient un artiste reconnu dans les grands hôtels israéliens à la tête de son groupe, « les Chocolate's ». Il interprète pour la clientèle internationale des hits américains de ses chanteurs préférés : Tom Jones, Elvis Presley, Frank Sinatra, Aretha Franklin, les Platters.
Son père décède en 1967 et Mike Brant en est très affecté. Désormais il commencera chacune de ses prestations par interpréter en son honneur la chanson préférée de son père. Peu après, à l'âge de 20 ans il entre comme chanteur dans la célèbre troupe du grand music-hall d'Israël, Lakat Karmon et pendant deux ans, il fait connaître en Afrique, en Australie et aux États-Unis des airs du folklore israélien. Puis il est embauché dans un night-club en Iran à Téhéran, le Baccara, et est remarqué par Sylvie Vartan et Carlos qui l'invitent en France bien qu'il ne parle pas le français et à peine l'anglais.
C'est en 1969 qu'il arrive à Paris et se produit grâce à Carlos au club Bistingo. Carlos lui fait également rencontrer Jean Renard, l'un des compositeurs de Johnny Hallyday qui lui écrit Laisse moi t'aimer. Il passera 2 mois à travailler la chanson dans les studios, en réécrivant phonétiquement les paroles en hébreu. Grâce à son travail acharné la chanson devient rapidement un énorme succès et il est invité dans les émissions de télévision qui le font connaître. Il vendra plus d'un million de disques de son premier hit.
Le 28 octobre 1970, il interprète « Mais dans la lumière » et remporte le Grand Prix RTL international, référence de l'époque. Le 14 février 1971, il est victime d'un accident de la route à Bourg-en-Bresse. Il subit un traumatisme crânien et s'en sort très secoué. En novembre 1971 Dalida lui propose de participer à son prochain spectacle à l'Olympia de Paris qui dure 17 jours. À cette époque il part en tournée avec Esther Galil avec qui il noue une grande amitié.
En 1972, il chante Qui saura, reprise de Ché Sara de José Feliciano, qui devient rapidement numéro 1 des hits et dépasse Claude François en popularité. Puis c'est au tour de C'est ma prière et, en 1973, viennent trois autres succès : Rien qu'une larme, Tout donné, tout repris et Viens ce soir. Il enchaîne tournée sur tournée et soixante-dix galas pendant l'été. En 1974 d'autres succès voient le jour : C'est comme ça que je t'aime, Serre les poings et bats-toi, On se retrouve par hasard et Qui pourra te dire ?.
Epuisé par sa vie trépidante et très affecté psychologiquement par le cambriolage de son appartement, il fait une première tentative de suicide le vendredi 22 novembre 1974 en se jetant du 5e étage de l'hôtel de la Paix, à Genève. Par chance, il est bloqué aux rambardes du 3e étage : il en est quitte pour un nouveau traumatisme crânien et deux fractures des jambes. Une version rapporte qu'il aurait voulu faire une farce à un ami résidant à l'étage en dessous en se suspendant à la balustrade du balcon de sa chambre. C'est là qu'il aurait fait une chute.
Mais le vendredi 25 avril 1975 à 11 h du matin, Mike Brant fait une nouvelle tentative de suicide en se jetant du 6e étage d'un immeuble situé au 6 de la rue Erlanger à Paris. La chute lui est fatale : Mike Brant avait 28 ans. Plusieurs thèses ont été mises en avant pour expliquer sa mort prématurée. Certains ont parlé d'assassinat, de sa difficulté grandissante à assumer les conséquences de son succès (vie désorganisée, harcèlement des fans), tandis que d'autres ont défendu la version du traumatisme psychologique qui touche les enfants de déportés. Parmi les autres versions qui firent également les gros titres des magazines à sensation : une implication dans un trafic d'½uvres d'art, une obscure histoire d'espionnage avec le Mossad (les services secrets israéliens) en toile de fond ou bien encore une dispute avec Simon Wajntrob (son dernier producteur qui sera retrouvé mort quelques années plus tard dans le Bois de Boulogne) qui aurait tourné à la tragédie. Il faut néanmoins employer le conditionnel tant les raisons expliquant sa disparition demeurent matières à controverse. Comme toute vedette morte de façon aussi tragique, une sorte de légende entoure sa mort car on a du mal à admettre qu'il ait disparu...
Mike Brant a été enterré dans le cimetière Camp David de Haïfa en Israël le 7 mai 1975
Principaux succès
1970 Laisse moi t'aimer

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(Remix)


1970 Mais dans la lumière
1970 Parce que je t'aime plus que moi
1971 A corps perdu
1972 Qui saura

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1972 C'est ma prière

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1972 Sans amis
1973 Rien qu'une larme
1973 Toi mon enfant
1973 Tout donné, tout repris
1973 Viens ce soir
1974 Serre les poings et bats toi
1974 Qui pourra te dire
1974 C'est comme ça que je t'aime

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1974 Toutes les couleurs


1975 Dis lui

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Tags : Mike Brant, Musique, Chanteur, Clip Vidéo-Musique, Moshé Michaël Brand, 1 février 1947, 1 février, 1947, Famagouste, Décès, 25 avril 1975, 25 avril, 1975
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#Posté le jeudi 24 novembre 2011 08:40

Modifié le jeudi 03 septembre 2015 16:16

Nino Ferrer : Le Sud - 1975

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Tags : Nino Ferrer, 1975, Musique, Clip Vidéo-Musique, 1 vidéo, Musique N
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#Posté le mardi 20 novembre 2012 10:00

Renaud : 1975

En juin 1975, il partage l'affiche avec Yvan Dautin à La Pizza du Marais devant un petit public comprenant les déjà célèbres Julien Clerc et Maxime Le Forestier. Il y fait aussi la connaissance de Bernard Lavilliers qui essaye de percer comme lui. L'auditoire ne sait pas trop quoi penser de ce jeune homme ni très bon chanteur, ni très bon musicien mais quelques journalistes s'intéressent déjà à lui. Renaud, lui, ne croit pas à une quelconque carrière et continue de faire le figurant dans des petits feuilletons ou le mécanicien dans un magasin de moto. Début 1977, il joue même plusieurs soirs dans Le Secret de Zonga, une pièce de Martin Lamotte au café-théâtre La Veuve Pichard. Il y rencontre Dominique Lanvin, sa future femme.

Renaud : 1975

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Tags : Renaud, 11 mai, 1952, 11 mai 1952, Auteur, Compositeur, Chanteur, Musique, Musique R, 1975, Clip Vidéo-Musique, Renaud Sechan
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#Posté le jeudi 11 octobre 2012 02:30

Soutien-gorge

Soutien-gorge
Soutien-gorge à balconnet porté par Hannah Harper.
Le soutien-gorge est un sous-vêtement féminin composé de deux bonnets servant à soutenir et mettre en valeur les seins. Il est habituellement coordonné avec les autres pièces de lingerie (porte-jarretelles, shorty, slip, string, etc.).


Soutien-gorge
Femme portant un strophium, villa romaine du Cesale à Piazza Armerina (Sicile)

Soutien-gorge
Mastodeton


Depuis l'Antiquité, les femmes utilisent différents dispositifs pour soutenir leur poitrine : apodesme ou strophium, mastodeton, sangles, mamillare, brassières, bandeaux, corsets et corselets.
Antiquité
Sous le traditionnel chiton, la femme de la Grèce hellénistique (-400 à -100) porte une tunique en lin recouvrant plusieurs systèmes composés de bandelettes pour contrôler la morphologie féminine1. Pour gommer la féminité en aplatissant la poitrine et les hanches, elle porte l'apodesme, un bandage formant une ceinture sous la poitrine pour la maintenir. Il se porte indifféremment sur le chiton ou directement au contact de la peau. Pour dissimuler les hanches et le ventre, elle utilise le zona, une bande abdominale. Les jeunes filles portent le mastodeton, un mince ruban ceignant la poitrine pour empêcher le développement du sein. La silhouette de la femme grecque est volontairement androgyne et témoigne du goût des Grecs anciens pour les femmes aux seins peu développés. Certains médecins iront jusqu'à proposer des traitements pour empêcher le développement du buste.
La femme romaine porte habituellement une tunique ou une stola et, en dessous, les mêmes dispositifs que la femme grecque. Les hanches sont effacées par un zona, la poitrine des jeunes filles bandée à l'aide d'un taenia ou d'un fascia, équivalent romain du mastodeton. Les bustes plus volumineux sont écrasés par un mamilliare en cuir. Le dispositif le plus répandu est le strophium, un bandage similaire à l'apodesme grec. Certains dessous de l'époque, dont la représentation la plus connue est celle de la villa romaine du Casale à Piazza Armerina en Sicile, ressemblent étrangement au bikini ou aux culottes et soutien-gorges actuels.
Invention du soutien-gorge


Soutien-gorge
Corset Bien-être

Soutien-gorge
Wonderbra vers 1975

L'origine du soutien-gorge dans son acception « moderne » reste discutée. Parfois appelé « gorgerette » ou « maintien-gorge », le terme « soutien-gorge » apparaît en 1904 dans le dictionnaire Larousse et en 1912, sous le nom de « brassiere », dans l'Oxford English Dictionary. Son diminutif, « bra », ne sera pas utilisé dans les pays anglophones avant 1937.
Un premier prototype de soutien-gorge est breveté en 1859 à New York par Henry S. Lesher. Cet ancêtre du soutien-gorge présentait des défauts de conception qui le rendaient inconfortable.

Soutien-gorge
Corset Bien-être (détail du brevet)

Le 27 juin 1889, Herminie Cadolle présente lors de l'exposition universelle de Paris le premier soutien-gorge moderne sous le nom de Bien-être. Il s'agit d'un corset coupé en deux sous la poitrine, plus confortable pour les femmes. Cependant, ce modèle est encore lié à un corset et présente des problèmes de maintien. Commercialisé en France, il fut peu remarqué.

En mars 1893, aux États-Unis, Marie Tucek dépose le brevet d'un dispositif nommé Breast supporter composé d'une « poche » pour chaque sein et d'un système de bretelles maintenues à l'aide d'½illets et d'agrafes. Ce modèle ressemble beaucoup au soutien-gorge à balconnet moderne. Porté par quelques amies de Marie Tucek, ce sous-vêtement fut également un échec commercial.

En 1913, Mary Phelps Jacob crée un soutien-gorge séparant les deux seins. Elle revend le brevet pour 1500$ (aujourd'hui, environ 25 600$), en 1914, à la société Warner Brothers Corset Company domiciliée à Bridgeport dans le Connecticut1. Au même moment, Rosalind Kind invente un soutien-gorge composé de deux triangles croisés devant et dans le dos.

Le soutien-gorge a progressivement remplacé le corset au tournant des XIXe et XXe siècles sous la pression des idées féministes et hygiénistes. Déjà en 1762, Jean-Jacques Rousseau, dans Émile ou de l'éducation, condamne « l'usage de ces corps de baleine » qui coupent la femme en deux « comme une guêpe ». Le soutien-gorge ne connaîtra pourtant un véritable essor qu'à la fin des années 1920. En effet, à la silhouette en « S » qui pousse la poitrine vers l'avant, les hanches et les fesses vers l'arrière, en vogue dans les années 1880-1905, succède une ligne plus fonctionnelle, adaptée aux besoins de l'époque, distillée pas les couturiers Paul Poiret, Madeleine Vionnet ou Nicole Groult. La silhouette revêt alors des formes proches de celles de l'Empire avec une taille haute, une poitrine effacée et des hanches étroites. Amplifiée par la Première Guerre mondiale et les « garçonnes » des « années folles », la mode est alors aux petites poitrines, ce qui retarde son adoption au profit des gaines et des corsets « souples ».

Les premiers soutiens-gorge étaient en lin avant d'être fabriqués, à partir des années 1920, en soie, mousseline ou en batiste.

Dans les années 1930 apparaît la rayonne qui permet d'ouvrir la voie vers les soutien-gorge actuels, même s'ils restent onéreux et peu adaptés aux différentes morphologies féminines.

La première véritable évolution est attribuée aux trois frères de la société Warner (États-Unis) qui mirent au point un tissu extensible, mais surtout qui affinèrent les tailles de bonnets en proposant des tailles allant de A à D et qui remplacèrent les bretelles en tissu par des bretelles élastiques.

D'autres innovations suivront comme le Very secret après la Seconde Guerre mondiale en nylon et muni de coussinets gonflables. En 1943, Howard Hugues crée un modèle de soutien-gorge à armatures renforcées et sans bretelles qui rend les seins pointus pour les besoins du film The Outlaw dans lequel apparaît Jane Russell. En 1956, Lejaby présente le soutien-gorge pigeonnant. Puis, dans les années 1960, Playtex crée C½ur croisé, le premier soutien-gorge à armatures non métalliques.

La révolution sexuelle des années 1970 marque un autre tournant, brûlé en place publique, le soutien-gorge doit être fonctionnel, confortable et éloigné de toute connotation sexy.
Bénéficiant des avancées technologiques en termes de fibres textiles, le soutien-gorge actuel allie généralement fonctionnalité et séduction.


Non-port de soutien-gorge
Certaines femmes refusent l'usage du soutien-gorge, le jugeant inconfortable et inutile à empêcher la chute des seins. Certains courants féministes le refusent également, jugeant le soutien-gorge instrument d'oppression et de souffrance infligée au corps des femmes.
Certains groupes religieux et politiques interdisent le port du soutien-gorge. En 2009, en Somalie, les Shebab ont fouetté en public plusieurs femmes qui portaient ce sous-vêtement.

Types de soutien-gorge
Au fil du temps, différents modèles de soutien-gorge apparurent pour des raisons pratiques ou des raisons de confort :
le soutien-gorge d'allaitement, qui possède des bonnets amovibles pour permettre l'allaitement des nourrissons ;
le soutien-gorge pigeonnant, également dit à balconnet, conçu pour avantager le décolleté. Il fit fureur dans la première moitié des années 1960 ;
le soutien-gorge bandeau qui a la forme d'un bandeau, ne disposant pas de bretelles. Il permet de dégager les épaules ;
le soutien-gorge push-up largement répandu grâce à la publicité faite par la marque Wonderbra. Des coussinets amovibles, situés dans les bonnets, permettent de relever les seins et d'augmenter leur volume apparent ;
le soutien-gorge redresse-seins dont les bonnets sont ouverts de façon à dégager les tétons. Ce soutien-gorge est souvent assorti à un slip également ouvert ;
le soutien-gorge à maintien renforcé, limitant les mouvements des seins. Il permet de faire du sport ;
le soutien-gorge rembourré, destiné à l'origine à celles qui ont de petits seins. Il permet de donner l'impression d'avoir une taille de plus au niveau des bonnets ;

Soutien-gorge




Tags : Soutien-gorge, Lingerie féminine, 1975
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#Posté le samedi 31 août 2013 08:00

Wilnelia Merced Cruz

Wilnelia Merced Cruz

Wilnelia Merced Cruz a été élue Miss Monde en 1975
Tags : Wilnelia Merced Cruz, Miss Monde 1975, Porto Rico, Miss Monde, 1975
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#Posté le samedi 18 août 2012 09:59

Modifié le mercredi 02 avril 2014 23:01

Adieu poulet

Adieu poulet
 
 
Adieu poulet est un film français réalisé par Pierre Granier-Deferre et sorti le 10 décembre 1975.
Le scénario est adapté d'un roman inspiré par un fait divers survenu en 1971 à Puteaux.
 
Alors que la campagne électorale bat son plein à Rouen, le commissaire Verjeat et les inspecteurs Lefèvre et Moitrier enquêtent dans une maison close : l'un des clients est mort en pleine extase. Avant que Verjeat ne décide quel tour faire prendre à son enquête, la tenancière de la maison le prévient qu'elle connaît nombre de personnalités importantes. Le commissaire comprend que cette enquête n'ira jamais très loin.
Après avoir déposé Verjeat à son domicile et Lefèvre sur la route, Moitrier s'apprête à rentrer chez lui, quand un message du central le prévient d'un délit en cours : des colleurs d'affiche sont en train de se faire agresser, et l'un d'eux est battu à mort par un voyou. Lorsque Moitrier arrive, il tente de les arrêter, mais le voyou lui tire une balle à bout portant. Arrivé à l'hôpital, Moitrier confie à Lefèvre qu'il a reconnu dans son agresseur Antoine Portor, l'un des hommes de Pierre Lardatte, candidat à l'élection. Peu après, Moitrier meurt. Verjeat se rend accompagné à l'une des permanences de Lardatte, où il trouve Roger Portor, le frère d'Antoine. Il le prévient que son frère a intérêt à se rendre rapidement. Puis il se rend à un meeting de Lardatte : celui-ci dit être attristé par la nouvelle, mais ne pas connaître personnellement les membres de son service de sécurité.
De retour au central, le contrôleur général Ledoux, supérieur de Verjeat, lui conseille « amicalement » de se concentrer sur Portor, lui s'occupant de Lardatte. Quelques jours après, Mercier, le père du colleur d'affiches, fait irruption dans le bureau de Lardatte, à la mairie, et prend en otage avec deux autres hommes les employés qui s'y trouvent. Verjeat, sous la surveillance de Ledoux et de Lardatte, est chargé de le ramener à la raison de façon pacifique : pour ce faire, il lui propose par téléphone de profiter du haut-parleur de la police pour faire passer son message. Mercier s'adresse alors violemment à Lardatte, le traitant d'assassin ; la foule alentour ne perd pas une miette du discours. Puis Verjeat se rend dans la mairie et convainc de manière un peu brusque Mercier et ses complices de se rendre. Mais Lardatte est bien décidé à faire payer cette humiliation au commissaire : grâce à ses relations, il parvient à le faire nommer contrôleur général à Montpellier. Il doit partir la semaine suivante, en laissant l'affaire en cours à son successeur, le commissaire Pignol, plus adepte des méthodes de cow-boy que de celles réclamant de la subtilité. Après son pot de départ, Verjeat explique à Lefèvre qu'il ne peut refuser une telle promotion mais qu'il a bien l'intention de s'amuser un peu avant de s'en aller.
Pendant ce temps, les bureaux de Lardatte sont cambriolés par des complices d'Antoine Portor, aidés de sa femme. Mais à un barrage de gendarmerie, leur voiture part en tonneau : les deux hommes sont tués, la femme grièvement blessée. Verjeat apprend de la bouche de Roger Portor que le cambriolage était destiné à mettre la main sur la comptabilité de Lardatte, pour qu'il aide son frère à quitter la France. La comptabilité a brûlé dans l'accident mais le commissaire cache la vérité aux journalistes. Puis Verjeat met en place à l'hôpital une surveillance de la blessée, dans l'espoir de coincer son mari : en fait, c'est l'un de ses inspecteurs qui est dans le lit, Marie Portor étant décédée. Ledoux et Pignol sont laissés dans l'ignorance de la supercherie.
Alors qu'il doit être de surveillance à l'hôpital, Lefèvre passe à la maison close pour informer la patronne de la teneur de son rapport. Il lui explique que Verjeat, frustré d'être obligé de partir de Rouen, lui a demandé de la charger au maximum : ses protections ne pourront rien contre un fonctionnaire sur le point d'être muté. Après avoir refusé de coucher avec lui, la tenancière de l'établissement lui propose de l'argent. Le soir même, trois complices de Portor tentent d'enlever sa femme à l'hôpital : l'un d'eux est blessé, les deux autres tués par les inspecteurs en embuscade. Le lendemain, Lefèvre est sommé par Verjeat de s'expliquer sur son absence de la nuit. Il lui répond qu'il s'était endormi puis lui remet le rapport sur le décès à la maison close. Verjeat est furieux, et lui demande de revoir le rapport ; Lefèvre appelle la patronne pour lui avouer son échec. Celle-ci se rue au tribunal, où elle est reçue par le juge Delmesse pour répondre d'une accusation de proxénétisme. Très calme, elle lui répond qu'il faut ajouter la corruption de fonctionnaire à cet acte d'accusation puisqu'elle a donné de l'argent à Lefèvre. Celui-ci se défend mal devant le juge, qui apprécie fortement les affaires de corruption ; l'inspecteur poussé à bout finit par dire qu'il n'est pas le seul corrompu dans cette affaire.
De retour au central, il est reçu par une gifle magistrale de Verjeat : pour se sauver, il a accusé son supérieur d'avoir reçu des pots-de-vin bien supérieurs à ceux qui lui sont reprochés. Devant Ledoux, Verjeat clame son innocence, mais cette nouvelle fait le tour de la ville : les indicateurs de police, puis les détenus de la prison de Rouen, le traitent rapidement comme un pourri et refusent de traiter avec lui. Devant Delmesse, le commissaire se défend mais le juge semble convaincu de sa culpabilité. Le temps de l'enquête, le magistrat lui demande de ne pas quitter Rouen mais lui permet de continuer l'enquête sur Portor. Puis Verjeat se rend au domicile de Lefèvre et fête avec lui cette première réussite : il n'est plus obligé de partir pour Montpellier et peut récupérer l'enquête que Ledoux avait fini par confier à Pignol. En fait, les deux policiers avaient organisé cette mise en scène de corruption afin de permettre à Verjeat de pouvoir rester à Rouen par ordonnance judiciaire. Cerise sur le gâteau : Lardatte lui a téléphoné. Lorsqu'il le rencontre, le candidat lui explique qu'il pourrait l'aider dans cette affaire avec Delmesse, en échange de quoi Verjeat pourrait aider Lardatte à son tour. Le jour suivant, les deux policiers apprennent que Portor a été « logé ». En dépit des précautions prises, celui-ci arrive tout de même à s'enfuir. De retour au central, Ledoux les convoque et leur apprend que Pignol est passé voir « Madame Portor » à l'hôpital. Verjeat et Lefèvre sont obligés de lui avouer que l'affaire de corruption n'était qu'un plan monté par le commissaire pour pouvoir continuer l'enquête et coffrer à la fois Portor et Lardatte ; l'argent extorqué à la tenancière du lupanar a été déposé chez un huissier, il n'y a donc pas d'affaire. Sans Portor, impossible de s'occuper de Lardatte ; le plan a échoué. Ledoux, furieux, lui ordonne de partir dès le lendemain pour Montpellier ; il expliquera au juge Delmesse de quoi il retourne dans son affaire, mais prévient Verjeat qu'il n'empêchera pas le juge de l'accuser d'outrage à magistrat si Delmesse le souhaite.
Pignol apprend à ce moment que Portor est dans la maison de Lardatte et l'a pris en otage. Le criminel réclame Verjeat et refuse de discuter tant avec Pignol qu'avec Ledoux. Le contrôleur demande alors à Verjeat de parlementer avec Portor ; le commissaire se saisit du haut-parleur et dit : Verjeat, il est à Montpellier, Verjeat ! Puis il se tourne vers Lefèvre et le salue : Adieu poulet...
 
Fiche technique
 
Titre : Adieu poulet
Réalisation : Pierre Granier-Deferre
Scénario : Francis Veber, d'après Adieu poulet !, un roman de Raf Vallet, éditions Gallimard, collection Super noire no 1
Production: Alexandre Mnouchkine et Georges Dancigers pour Les Films Ariane et Mondex Films
Photographie : Jean Collomb
Décors : Maurice Sergent
Montage : Jean Ravel
Son: Bernard Bats
Musique: Philippe Sarde
Genre : policier
Durée : 87 minutes
Pays :  France
Date de sortie : 10 décembre 1975 (France)
Lieux de tournage : Rouen et ses environs.
 
Distribution
 
Lino Ventura: le commissaire principal Verjeat
Patrick Dewaere : l'inspecteur Lefèvre
Victor Lanoux : Pierre Lardatte
Julien Guiomar : le contrôleur général Ledoux, le directeur de la police
Pierre Tornade : le commissaire Pignol
Françoise Brion : Marthe, la tenancière du bordel
Claude Rich : le juge Delmesse
Claude Brosset : Antoine Portor
Michel Peyrelon : Roger Portor
Gérard Hérold : l'inspecteur Moitrier
Gérard Dessalles : l'inspecteur Ransac
Michel Beaune : l'inspecteur Dupuy
Jacques Serres : l'inspecteur Martin
Henri Attal : un homme de Lardatte
Jacques Rispal : Mercier
Dominique Zardi : le blessé hospitalisé
Valérie Mairesse : la fille cocarde
Christine Laurent : la prostituée
Patrick Feigelson : Louis
Jean-Yves Gautier : Letellier
Pierre Londiche : Jeanvier, l'indicateur au chien
Christiane Tissot : Marie Portor
André Malfuson : Estève
Charles Dalin : Sergio
Lionel Vitrant : le pompiste
Sylvie Meyer : une infirmière
Ève Francis : la vieille dame
Marie-Pierre de Gérando : le commandant de gendarmerie
Raoul Curet : le président
Jean Turlier : Moissat, le cafetier
Henri Lambert : Norbert
Sylvain Lévignac : Le faux blessé
Jean Collomb : Le garçon de café
Michel Robin
 
Production
 
Le fait divers dont s'inspire le scénario est la fusillade de Puteaux, qui a lieu en 1971.
 
Autour du film
 
Ève Francis, qui apparaît dans un petit rôle de vieille dame, est une ancienne star du cinéma muet : elle interprétait le rôle principal dans Le Silence de Louis Delluc en 1920 ou El Dorado de Marcel L'Herbier en 1921.
Lors de sa sortie DVD en France en avril 2009, le film est classé sur le verso de la jaquette « interdit aux moins de 12 ans », alors que le film est sorti en salles « tout public ».
 
Distinctions
 
Césars 1976 :
Double nomination au César du meilleur acteur dans un second rôle pour Victor Lanoux et pour Patrick Dewaere
Nomination au César du meilleur montage pour Jean Ravel
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Adieu_poulet
 
 
Tags : Cinéma, Film, 1975, Adieu poulet, Lino Ventura, Patrick Dewaere, Victor Lanoux, Pierre Granier-Deferre
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#Posté le samedi 11 avril 2020 09:03

Modifié le lundi 13 avril 2020 06:34

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