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8 articles taggés Président de la République

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Jacques Chirac




Jacques Chirac  
 
 
 
Jacques Chirac né le 29 novembre 1932 à Paris et mort le 26 septembre 2019 dans la même ville, est un haut fonctionnaire et homme d'État français. Il est président de la République française du 17 mai 1995 au 16 mai 2007.

Après des études à l'Institut d'études politiques de Paris et à l'École nationale d'administration (ENA), il rejoint en 1962 le cabinet de Georges Pompidou, alors Premier ministre, comme chargé de mission

Élu député de la Corrèze au sein de la majorité de droite et nommé plusieurs fois secrétaire d'État ou ministre à partir de 1967, il est choisi comme Premier ministre par Valéry Giscard d'Estaing en 1974, notamment à la suite de l'appel des 43. Deux ans plus tard, entretenant de mauvaises relations avec celui-ci, il démissionne de Matignon et lance le Rassemblement pour la République (RPR), un parti politique se réclamant du gaullisme. Tout en poursuivant sa carrière d'élu en Corrèze, il devient maire de Paris en 1977 et se présente à l'élection présidentielle de 1981, où il participe à l'échec du président sortant.

Il exerce à nouveau la fonction de Premier ministre de 1986 à 1988, sous la présidence du socialiste François Mitterrand : il est ainsi le premier chef du gouvernement d'une cohabitation sous la Ve République et, par la même occasion, la seule personnalité politique sous ce même régime ayant assumé par deux fois la charge de Premier ministre. Il est battu au second tour de l'élection présidentielle de 1988 face au président sortant, puis prend la tête de l'opposition, bien que confronté par la suite à la popularité croissante d'Édouard Balladur.

À l'issue de l'élection présidentielle de 1995, il est élu chef de l'État avec 52,6 % au second tour, face au socialiste Lionel Jospin. Le début de son premier mandat est marqué par une réforme des retraites et de la Sécurité sociale qui est massivement contestée et en partie abandonnée, et par la reconnaissance de la responsabilité de l'État français dans la déportation des Juifs au cours de l'Occupation. À la suite de la dissolution manquée de l'Assemblée nationale en 1997, il est contraint à une cohabitation avec Lionel Jospin, lors de laquelle a notamment lieu un référendum instaurant le quinquennat présidentiel : Jacques Chirac est ainsi le dernier président de la Ve République à avoir effectué un septennat.

Lors de l'élection présidentielle de 2002, il est réélu pour cinq ans avec 82,2 % des voix au second tour, bénéficiant d'un « front républicain » face au candidat du Front national, Jean-Marie Le Pen. Pendant son second mandat, après avoir lancé l'Union pour un mouvement populaire (UMP), il prend la tête de l'opposition internationale à la guerre d'Irak lancée par George W. Bush, et s'implique pour le « oui » dans le référendum de 2005 sur la Constitution européenne, qui se solde par la victoire du « non ». À la fin de sa présidence, confronté à une faible popularité ainsi qu'à une succession d'échecs électoraux et affaibli par un accident vasculaire cérébral en 2005, il renonce à briguer un troisième mandat.

Retiré de la vie politique, il siège jusqu'en 2011 au Conseil constitutionnel, dont il est membre de droit en tant qu'ancien président de la République. Mis en cause dans de nombreuses affaires judiciaires pendant sa carrière, il a bénéficié de son immunité présidentielle, mais reste après son départ de l'Élysée poursuivi dans l'affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris, dans le cadre de laquelle il est condamné à deux ans d'emprisonnement avec sursis en 2011, ce qui fait de lui le premier chef de l'État français à être condamné en justice. Malade, il effectue sa dernière apparition publique en 2014.
Durant son parcours politique, il se montre changeant au niveau idéologique. Engagé à gauche dans sa jeunesse, il est généralement considéré comme gaulliste et classé à droite de l'échiquier politique, bien que certains observateurs qualifient sa pratique du pouvoir de radicale-socialiste.



Tags : Jacques Chirac, 29 novembre 1932, 29 novembre, 1932, Paris, Décès, 26 septembre 2019, 26 septembre, 2019, Président de la République, Jacques, Politique
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#Posté le samedi 26 septembre 2020 02:00

Modifié le lundi 29 novembre 2021 10:31

Raymond Poincaré



Raymond Poincaré, né le 20 août 1860 à Bar-le-Duc (Meuse) et décédé le 15 octobre 1934 à Paris, fut un homme d'État français.
Ministre à plusieurs reprises, président du Conseil des ministres puis président de la République de 1913 à 1920, Raymond Poincaré fut l'une des plus grandes figures politiques de la IIIe République. Il fut également l'un des personnages centraux de la Première Guerre mondiale, conflit durant lequel il appela « le Tigre », Georges Clemenceau, à la présidence du Conseil, en 1917.



Raymond Poincaré
Raymond Poincaré en 1914


Raymond Poincaré est le fils d'un ingénieur des Ponts et Chaussées.
Par ailleurs, il est l'arrière-petit-fils d'un député ayant exercé ses fonctions sous le règne de Louis-Philippe; il est également le petit-fils du doyen de la faculté de médecine.
Il est enfin le cousin du mathématicien et savant Henri Poincaré.


Formé à la politique par Jules Develle dont il est, pendant dix-huit mois, directeur de cabinet au ministère de l'Agriculture en 1886, élu ensuite conseiller général du canton de Pierrefitte dans la Meuse, Poincaré se forge une réputation de républicain modéré et conciliant dès son premier mandat de député de la Meuse en 1887. Cela n'empêche pas ce fils de polytechnicien, entré avec réticence sur la scène politique, de s'y imposer rapidement.
Après des études à Nancy puis à la faculté de droit de Paris, il entre au barreau de Paris en tant que stagiaire en 1879 ; il est nommé premier secrétaire de la Conférence du barreau de Paris et devient secrétaire de Me Henry du Buit, célèbre avocat d'affaires. En 1883, il prononce un discours à l'ouverture de la Conférence des Avocats dans lequel il fait l'éloge du républicain Jules Dufaure, ancien bâtonnier et ex-président du Conseil décédé deux ans auparavant :
« S'il est à souhaiter que l'éloge d'un mort illustre éveille chez nous le désir de l'imiter, le simple récit de la vie de Dufaure contiendra, je crois, pour notre génération, un précieux exemple de travail, d'indépendance et de dignité . »
(Éloge de Dufaure à l'ouverture de la Conférence des Avocats 1883 Barreau de Paris)
En 1895, il ouvre son propre cabinet, qui obtient rapidement un grand succès et détient une clientèle très prestigieuse pour les affaires de presse, les affaires littéraires—il est notamment l'avocat de l'écrivain Jules Verne—et le droit des sociétés. Poincaré a parmi ses clients les plus grandes entreprises industrielles et financières du moment.


Il entre en politique en 1887, en se faisant élire député de la Meuse. En 1892, il est rapporteur de la commission des Finances, au moment du scandale de Panamá, et est réélu l'année suivante.
À trente-six ans, il a déjà été trois fois ministre : de l'Instruction publique (1893), sous Dupuy, puis des Finances dans le second cabinet Dupuy, après la victoire électorale des modérés (1894-1895), et de nouveau chargé de l'Instruction publique, dans le cabinet Ribot, en 1895. Il est partisan de la laïcité mais éloigné de l'anticléricalisme radical. Il prône en effet une « école neutre », dont la vocation serait de produire de vrais patriotes. Poincaré devient alors l'un des leaders en vue des modérés, qui arborent l'étiquette « progressiste » qui a remplacé l'ancienne appellation d'« opportunisme » utilisée par Gambetta et Jules Ferry. Au fil du temps, ces « républicains progressistes » évoluent du centre gauche vers le centre droit, suivant le phénomène du sinistrisme.
Durant l'affaire Dreyfus, il adopte une attitude prudente. Il fait d'abord partie de ceux qui souhaitent étouffer un scandale qu'ils jugent contraire à la raison d'État. Il se rallie finalement au camp dreyfusard, plus par légalisme que par conviction.

Bien que républicain et laïque - signe sûr, à la Belle Époque, d'une appartenance à la gauche - Poincaré demeure cependant prudent envers les gauches, et reste très modéré. En juin 1899, le président de la République Émile Loubet le pressent comme président du Conseil. Mais il n'arrive pas à mettre d'accord les différentes tendances républicaines pour composer un gouvernement, tandis que Clemenceau déclarait :
« Le don de Poincaré n'est pas à dédaigner : c'est l'intelligence. Il pourrait faire remarquablement à côté de quelqu'un qui fournirait le caractère »

Raymond Poincaré
Raymond Poincaré.


Aussi Poincaré conseille-t-il à Loubet d'appeler plutôt Waldeck-Rousseau, qui forme un cabinet de Défense républicaine. Néanmoins, Poincaré s'oppose à celui-ci, et plus encore, après la victoire du Bloc des gauches aux élections de 1902, à la politique anticléricale d'Émile Combes. En tant que membre de l'Alliance libérale démocratique (centre-droit), il soutient cependant, de façon générale, le cabinet combiste.
Plus tard, c'est au Sénat que Poincaré décida de se présenter. Élu sénateur de la Meuse en 1903, il quitte ses fonctions en 1913, date à laquelle il est élu à l'Élysée, puis reprend ses fonctions en 1920 et ce jusqu'en 1934, date de son décès.
En 1906, Clemenceau, qui juge pourtant Poincaré un peu trop mou — c'est lui qui aurait inventé l'expression « poincarisme » dans son hebdomadaire Le Bloc du 15 mars 1902 — lui propose néanmoins d'entrer dans son gouvernement. Poincaré, peut-être par animosité, s'y refuse.
Belle consécration, il est élu à l'Académie française en 1909, et est également professeur aux écoles HEI-HEP.








 
Tags : Raymond Poincaré, Bar-le-Duc, Raymond, 20 août 1860, 20 août, 1860, Décès, 15 octobre 1934, 15 octobre, 1934, IIIe République, Homme d'État, Député de la Meuse, Sénateur de la Meuse, Président de la République, Conseiller général de la Meuse, Président du Conseil général de la Meuse, Personnalité née en Meuse
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#Posté le jeudi 15 octobre 2020 05:30

Raymond Poincaré

Le président du Conseil (1912 - 1913)

En janvier 1912, il est nommé président du Conseil et forme un gouvernement de républicains modérés avec Briand aux Affaires étrangères ; Théophile Delcassé à la Marine ; Jules Pams à l'Agriculture ; Albert Lebrun aux Colonies et Léon Bourgeois au Travail et à la Prévoyance sociale.
Du 6 au 12 août 1912, il est en visite officielle en Russie dans le cadre de l'alliance franco-russe et assiste à des revues militaires.

Raymond Poincaré
Poincaré au front.



L'élection présidentielle de janvier 1913

Alors que le mandat présidentiel d'Armand Fallières touche à sa fin, Poincaré se présente comme candidat à l'élection présidentielle de janvier 1913. Le président du Conseil est en lice face au président de la Chambre, Paul Deschanel, et au président du Sénat, Antonin Dubost. Avec Clemenceau, les radicaux soutiennent Jules Pams, le ministre de l'Agriculture, une personnalité considérée comme effacée et dont la candidature vise essentiellement à contrer Poincaré.

Selon la tradition républicaine, un scrutin préparatoire a lieu pour choisir le candidat du « camp républicain » ; les « modérés » (républicains de droite) d'un côté, de l'autre les socialistes, refusent toutefois d'y participer. Au troisième tour, Pams l'emporte avec 323 voix contre 309 pour Poincaré, classé à gauche à l'époque (dreyfusard, laïc, il s'était marié civilement). La discipline républicaine aurait voulu que, battu à ces primaires, il se retire, et c'est ce que lui demande une délégation conduite par Combes et Clemenceau.

Mais Poincaré refuse, sachant que lors du scrutin officiel, il serait soutenu par la droite républicaine : il se présente donc à Versailles, et est élu le 17 janvier 1913 au deuxième tour, avec 482 voix contre 296 à Pams et 69 pour le socialiste Édouard Vaillant. Clemenceau conservera une rancune tenace contre Poincaré pour n'avoir pas respecté la discipline républicaine, que lui-même respectera lors de l'élection présidentielle de 1920.

L'Élysée (1913 - 1920)

Son mandat de chef de l'État va évidemment être marqué par la Première Guerre mondiale, pendant laquelle il est l'artisan de l'Union Sacrée politique et sociale, aux côtés de René Viviani, d'Aristide Briand puis de Georges Clemenceau. Avec Briand et Clemenceau, et contre Jaurès et la SFIO, il soutient la loi des trois ans, votée en juillet 1913.

Son rôle dans le déclenchement de la guerre est controversé : il aurait poussé à la fermeté la Russie lors de son voyage officiel du 13 au 23 juillet 1914 en Russie, afin de renforcer les alliances deux semaines après l'attentat de Sarajevo. Le 4 août, son message est communiqué aux Chambres par Viviani : la France « sera héroïquement défendue par tous ses fils, dont rien ne brisera devant l'ennemi, l'Union sacrée, et qui sont aujourd'hui fraternellement assemblés dans une même indignation contre l'agresseur, et dans une même foi patriotique ».
Il n'hésite pas, parfois au péril de sa vie, à venir au front (essentiellement dans la Meuse et dans la Somme) afin de juger du moral des troupes et des populations déplacées. Il visite à plusieurs reprises la partie de l'Alsace redevenue française dès le 7 août 1914 : au Col de la Schlucht, à Thann, Masevaux, Saint-Amarin et Dannemarie entre le 11 février 1915 et le 10 avril 1916.

Fin 1917, il nomme le radical-socialiste Clemenceau, qu'il n'apprécie guère mais dont il admire la fermeté de caractère, comme président du Conseil. Son rôle devient alors plus discret, et il se plaint même, dans ses écrits, d'être mis de côté. Il conserve toutefois une certaine influence : selon l'historien Michel Winock, une certaine forme de cohabitation se met en place entre les deux hommes.
Tags : Raymond Poincaré, Bar-le-Duc, Raymond, 20 août 1860, 20 août, 1860, Décès, 15 octobre 1934, 15 octobre, 1934, IIIe République, Homme d'État, Député de la Meuse, Sénateur de la Meuse, Président de la République, Conseiller général de la Meuse, Président du Conseil général de la Meuse, Personnalité née en Meuse
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#Posté le jeudi 20 août 2020 04:00

Raymond Poincaré

Raymond Poincaré
Dès 1920, alors que son mandat n'est pas achevé, il se fait élire sénateur de la Meuse. Aristide Briand ayant démissionné de la Présidence du Conseil à la suite des critiques subies du fait de ses prises de position en matière de politique étrangère à la Conférence de Cannes, Poincaré accepte de redevenir président du Conseil en janvier 1922, à la demande du Président de la République Alexandre Millerand.

Face à l'Allemagne qui refuse de payer les « réparations de guerre », Raymond Poincaré a recours à la force, faisant occuper la Ruhr. Mais sa politique de rigueur budgétaire le rend impopulaire et, en 1924, après la victoire du Cartel des gauches, il doit présenter sa démission, tout comme le président Millerand.
On le rappelle à la tête du gouvernement en 1926, devant l'ampleur de la crise financière. Il forme alors un cabinet d'union nationale, en conservant Briand aux Affaires étrangères, et en revenant à une politique d'austérité financière ; le franc Germinal est remplacé par le franc Poincaré d'une valeur cinq fois moindre, dévaluation qui se borne à entériner le change réel. Malade et fatigué, il démissionne et se retire de la scène publique en 1929. Mort à Paris en 1934, il est inhumé à Nubécourt (Meuse), dans son département natal.


Mandats électifs

Député de la Meuse (1887-1903)
Sénateur de la Meuse (1903-1913 puis 1920-1934)
Président de la République (1913-1920)
Conseiller général de la Meuse : 1886-1913 / 1920-1934
Président du Conseil général de la Meuse : 1910-1913


Fonctions gouvernementales

Ministre de l'Instruction publique en 1893 puis en 1895.
Ministre des Finances en 1894.
Il fut cinq fois président du Conseil :
du 14 janvier 1912 au 21 janvier 1913, cumule ces fonctions avec les Affaires étrangères
du 15 janvier 1922 au 29 mars 1924 cumule ces fonctions avec les Affaires étrangères
29 mars 1924 au 1er juin 1924
du 23 juillet 1926 au 6 novembre 1928 cumule ces fonctions avec les Finances
du 11 novembre 1928 au 20 juillet 1929

Décorations

Grand-croix de la Légion d'honneur en 1913 en tant que président de la République.
Grand-Maître de la Légion d'honneur de 1913 à 1920
Chevalier de l'ordre de la Toison d'or (Espagne) en 1913


Œuvres de Raymond Poincaré

Du droit de suite dans la propriété mobilière, 1883.
Idées contemporaines, 1906.
Questions et figures politiques, 1907.
Messages, discours, allocutions, lettres et télégrammes (1914-1919), 1919.
Histoire politique, chroniques de quinzaine, 4 vol. , 1921-22.
Au service de la France, neuf années de souvenirs, 1926-1934.
L'Invasion 1914, Paris, Plon (livre tiré à 100 exemplaires qui retrace le septennat du président).
Ce que demande la cité, Hachette, 1911. Vingt textes de Raymond Poincaré extraits de la revue pour enfants "Au seuil de la vie" (Hachette, 1910). Réédition en 2010 aux Éditions Nouvelles Mémoires (voir bibliographie).


Bibliographie

Henry Girard, Raymond Poincaré, chez lui, au Parlement, à l'Élysée, A. Méricant, 1913
René Dumesnil, Poincaré, Flammarion, vers 1930
Gaston Gros, Mr. Poincaré mémorialiste (sa psychologie), Ed. Baudinière, 1930
Dr. Georges Samné, Raymond Poincaré, Politique et personnel de la IIIe République, Les œuvres représentatives, 1933
Fernand Payen, Raymond Poincaré, chez lui, au Parlement, au Palais, Grasset, 1936
Jacques Chastenet, Raymond Poincaré, Julliard, 1948
Pierre Miquel, Raymond Poincaré, Paris, Fayard, 1961.(Prix Broquette-Gonin de l'Académie française)
Pierre Miquel, Les Souvenirs de Raymond Poincaré, publication critique du XIe tome avec Jacques Bariéty, Plon, 1973
Daniel Amson, Raymond Poincaré, l'acharné de la politique, Tallandier, 1997
John Keiger, Raymond Poincaré, Cambridge, Cambridge University Press, 1997
S. Jeannesson, Poincaré, la France et la Ruhr (1922-1924), histoire d'une occupation, Presses universitaires de Strasbourg, 1998
François Roth, Raymond Poincaré, Paris, Fayard, 2000
Alain Ostenga et Christian Gérini, "Raymond Poincaré. Ce que demande la cité", Pierrefeu du Var, Éditions Nouvelles Mémoires, diffusion : HDiffusion, 6 rue de la Sorbonne, 75005 Paris, 2010.



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#Posté le jeudi 20 août 2020 05:00

François Mitterrand (1981-1988)

 
François Mitterrand (1981-1988)
 
 
 
 
 
Le 21 mai 1981, le septennat du nouveau président s'ouvre par une cérémonie au Panthéon. Puis il nomme son premier gouvernement dirigé par Pierre Mauroy.
 
Le lendemain, il dissout l'Assemblée nationale. Les élections qui suivent, les 14 et 21 juin 1981, lui donnent la majorité absolue au Parlement. Un deuxième gouvernement de Pierre Mauroy fait entrer quatre ministres communistes. De nombreuses réformes sociales sont alors adoptées.
 
Sur le plan économique, le septennat est marqué dans un premier temps par une vague de nationalisations (loi du 13 février 1982) et par une politique de maîtrise de l'inflation, infléchie vers l'austérité à partir du tournant de la rigueur, passage à une culture de gouvernement.
 
Le septennat s'achève en 1988 sous la première cohabitation de la Ve République.
 
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Mitterrand

A, B, C, D, E, F, G, H, I, J, K, L, M, N, O, P, Q, R, S, T, U, V, W, X, Y, Z, 0-9,


Tags : François Mitterrand, François, 26 octobre 1916, 26 octobre, 1916, Jarnac, 8 janvier 1996, 8 janvier, 1996, Paris, Président de la République, dessinsagogo55
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#Posté le samedi 08 janvier 2022 04:00

Modifié le samedi 08 janvier 2022 05:35

L'ancien président de la République Valéry Giscard d'Estaing est mort

L'ancien président de la République Valéry Giscard d'Estaing est mort








L'ancien président de la République Valéry Giscard d'Estaing est mort
 
L'ancien président de la République de 1974 à 1981 avait été hospitalisé à Tours le 17 novembre dernier pour «une insuffisance cardiaque». Il s'est éteint à l'âge de 94 ans, entouré des siens.
 
Par Le FigaroPublié il y a 28 minutes, mis à jour il y a 13 minutes
 
L'ancien président de la République Valéry Giscard d'Estaing est décédé ce mercredi soir à l'âge de 94 ans, a annoncé son entourage. Il est décédé mercredi soir «entouré de sa famille» dans sa propriété d'Authon dans le Loir-et-Cher.
L'ancien chef de l'Etat avait été admis dans «le service de cardiologie» de l'hôpital de Tours le 17 novembre dernier pour «une insuffisance cardiaque», avait alors indiqué son entourage. En septembre, l'ancien chef de l'Etat avait déjà été hospitalisé à l'hôpital Georges Pompidou, à Paris, pour «une légère infection aux poumons». VGE avait déjà été hospitalisé à plusieurs reprises à l'hôpital Georges Pompidou il y a quelques années, en cardiologie pour la pose de stents.
Plus jeune président de la Vème République lorsqu'il est élu en 1974, Valéry Giscard d'Estaing avait fait l'une de ses dernières apparitions publiques le 30 septembre 2019 lors des obsèques à Paris d'un autre président de la République, Jacques Chirac, qui fut son Premier ministre de 1974 à 1976.
 
Incarnation de la modernité triomphante
 
Valéry Giscard d'Estaing n'a que 48 ans lorsqu'il accède à l'Élysée en 1974, battant sur le fil François Mitterrand, et devient ainsi, dans une France qui enterre les Trente-Glorieuses et digère mai-68, le premier non-gaulliste à s'emparer de l'Élysée. Il se voulait alors l'incarnation d'une modernité triomphante, issue du centre-droit libéral et démocrate-chrétien qui a bâti l'Europe d'après-guerre
.
Polytechnicien et énarque, issu d'une grande famille bourgeoise, VGE était entré au gouvernement dès 1959, multipliant les postes ministériels à l'Économie et aux Finances dans les années 60 et 70. Cependant, le 10 mai 1981, il échoue à se faire réélire face à François Mitterrand. Européen convaincu, il prend en 2001 la tête de la Convention pour l'Europe, chargée de rédiger une constitution européenne, qui sera rejetée par référendum. Économiste brillant, auteur de plusieurs ouvrages, il a été élu en 2003 à l'Académie française.







 
Tags : Valéry Giscard d'Estaing, 2 février 1926, 2 février, 1926, Coblence, Décès, 2 décembre 2020, 2 décembre, 2020, President, Président de la République, France, 1974, 1981
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#Posté le mercredi 02 décembre 2020 17:47

Nelson Mandela

 
 Nelson Mandela
 
 
 
Nelson Rolihlahla Mandela (prononcé en xhosa [ xoˈliːɬaɬa manˈdeːla]), dont le nom du clan tribal est « Madiba », né le 18 juillet 1918 à Mvezo (province du Cap) et mort le 5 décembre 2013 à Johannesburg (Gauteng), est un homme d'État sud-africain. Il a été l'un des dirigeants historiques de la lutte contre le système politique institutionnel de ségrégation raciale (apartheid) avant de devenir président de la République d'Afrique du Sud de 1994 à 1999, à la suite des premières élections nationales non ségrégationnistes de l'histoire du pays.
 
Nelson Mandela entre au African National Congress (ANC) en 1943, afin de lutter contre la domination politique de la minorité blanche et la ségrégation raciale imposée par celle-ci. Devenu avocat, il participe à la lutte non-violente contre les lois de l'Apartheid, mises en place par le gouvernement du Parti national à partir de 1948. L'ANC est interdit en 1960 et, comme la lutte pacifique ne donne pas de résultats tangibles, Mandela fonde et dirige la branche militaire de l'ANC, Umkhonto we Sizwe, en 1961, qui mène une campagne de sabotage contre des installations publiques et militaires. Le 5 août 1962, il est arrêté par la police sud-africaine sur indication de la CIA, puis est condamné à la prison et aux travaux forcés à perpétuité lors du procès de Rivonia. Dès lors, il devient un symbole de la lutte pour l'égalité raciale et bénéficie d'un soutien international croissant.
 
Après vingt-sept années d'emprisonnement dans des conditions souvent difficiles et après avoir refusé d'être libéré pour rester en cohérence avec ses convictions, Mandela est relâché le 11 février 1990. S'inspirant alors de la pensée ubuntu dans laquelle il a été élevé, il soutient la réconciliation et la négociation avec le gouvernement du président Frederik de Klerk. En 1993, il reçoit avec ce dernier le prix Nobel de la paix pour avoir conjointement et pacifiquement mis fin au régime de l'apartheid et jeté les bases d'une nouvelle Afrique du Sud démocratique.
 
Après une transition difficile où de Klerk et lui évitent une guerre civile entre les partisans de l'apartheid, ceux de l'ANC et ceux de l'Inkhata à dominante zoulou, Nelson Mandela devient le premier président noir d'Afrique du Sud en 1994. Il mène une politique de réconciliation nationale entre Noirs et Blancs ; il lutte contre les inégalités économiques, mais néglige le combat contre le sida, en pleine expansion en Afrique du Sud. Après un unique mandat, il se retire de la vie politique active, mais continue à soutenir publiquement le Congrès national africain tout en condamnant ses dérives.
 
Impliqué par la suite dans plusieurs associations de lutte contre la pauvreté ou contre le sida, il demeure une personnalité mondialement reconnue en faveur de la défense des droits de l'Homme. Il est salué comme le père d'une Afrique du Sud multiethnique et pleinement démocratique, qualifiée de « nation arc-en-ciel », même si le pays souffre d'inégalités économiques, de tensions sociales et de replis communautaires.

 


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#Posté le dimanche 05 décembre 2021 03:15

Valéry Giscard d'Estaing

  
 
Valéry Giscard d'Estaing


 
 
Valéry Giscard d'Estaing — communément appelé « Giscard » ou désigné par ses initiales, « VGE » —, né le 2 février 1926 à Coblence (Allemagne) et mort le 2 décembre 2020 VGED  à Authon (France), est un homme d'État français, président de la République de 1974 à 1981.
 
Inspecteur des finances, il devient en 1955 directeur adjoint du cabinet d'Edgar Faure, président du Conseil, puis est élu l'année suivante député du Puy-de-Dôme. Sous la présidence du général de Gaulle, il est successivement secrétaire d'État aux Finances (1959-1962) et ministre des Finances et des Affaires économiques (1962-1966). Après son éviction du gouvernement, il exprime ses réserves envers le pouvoir gaulliste, en particulier lors du référendum de 1969, contribuant ainsi au départ du général de Gaulle. Durant la présidence de Georges Pompidou, de 1969 à 1974, il occupe à nouveau la fonction de ministre de l'Économie et des Finances. En parallèle, il fonde et préside les Républicains indépendants, qui constituent la deuxième composante de la majorité de droite.
 
Candidat à l'élection présidentielle de 1974, il élimine au premier tour le gaulliste Jacques Chaban-Delmas et l'emporte face au représentant de l'Union de la gauche, François Mitterrand, à l'issue d'un second tour marqué par une participation record dans l'histoire de France. À 48 ans, il devient le plus jeune président de la République depuis 1895. Prônant une « société libérale avancée », il fait voter l'abaissement de la majorité civile, la dépénalisation de l'interruption volontaire de grossesse, le divorce par consentement mutuel, l'élargissement du droit de saisine du Conseil constitutionnel et la fin de la tutelle de la télévision publique. Sa politique étrangère est marquée par le renforcement de la « construction européenne », par sa contribution au lancement du G7, ainsi que par l'implication militaire de la France dans la bataille de Kolwezi (Zaïre) et dans l'opération Caban (Centrafrique), qui renverse l'empereur Bokassa, qui sera à l'origine de l'« affaire des diamants ».
 
Tout en développant le projet de train à grande vitesse (TGV) et en relançant l'industrie nucléaire, il est confronté à des difficultés économiques alors que les Trente Glorieuses touchent à leur fin. En 1976, après la démission de Jacques Chirac, il nomme à la fonction de Premier ministre l'économiste Raymond Barre, qui mène jusqu'à la fin de son septennat une politique de rigueur très impopulaire. Malgré son positionnement centriste, Valéry Giscard d'Estaing se montre de plus en plus conservateur, en particulier sur l'immigration. Bien que sa majorité de droite ait remporté à la surprise générale les élections législatives de 1978 et qu'il ait longtemps été donné réélu pour un second mandat, il est battu par François Mitterrand à l'élection présidentielle de 1981, notamment à cause des réticences du RPR de Jacques Chirac à le soutenir.
 
Par la suite, il est réélu à l'Assemblée nationale et accède à la présidence du conseil régional d'Auvergne. Devenu président de l'Union pour la démocratie française (UDF), fondée durant son septennat, il est l'un des principaux dirigeants de l'opposition au pouvoir socialiste. Fervent partisan de l'Union européenne, il est député européen puis président de la Convention sur l'avenir de l'Europe. Il se retire en 2004 de la vie politique pour siéger au Conseil constitutionnel français, dont il est membre de droit en tant qu'ancien président de la République.
 
Auteur de plusieurs essais et romans, il est élu en 2003 à l'Académie française.
 

 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Val%C3%A9ry_Giscard_d%27Estaing
 
 


 
 
 

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Tags : Valéry Giscard d'Estaing, Valery, 2 février 1926, 2 février, 1926, Coblence, Allemagne., Décès, 2 décembre 2020, 2 décembre, 2020, Authon, Politique, Homme d'État, Président de la République, dessinsagogo55
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#Posté le lundi 14 mars 2022 05:00

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