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Joyeux Noël est un film français réalisé par Christian Carion, sorti en 2005. Ce film a pour sujet la Trêve de Noël de 1914 lors de la Première Guerre mondiale.
Pendant l'été 1914, la Première Guerre mondiale éclate, entraînant des millions d'êtres humains dans son tourbillon. Nikolaus Sprink doit renoncer à la carrière prodigieuse de ténor à l'opéra de Berlin et ne plus voir Anna Sörensen, sa partenaire et compagne. Pour suivre le jeune Jonathan qui s'est engagé, et qui l'aidait beaucoup dans son église, le prêtre anglican Palmer quitte l'Écosse et se retrouve brancardier sur le même front du nord de la France. Quant au lieutenant français Audebert, il a dû laisser sa femme enceinte et alitée pour combattre l'ennemi ; depuis son départ, les Allemands occupent la petite ville du Nord où la jeune femme est censée avoir déjà accouché, à moins que le pire ne soit déjà arrivé ! Ne rien savoir est une souffrance qui taraude toutes les nuits du lieutenant Audebert.
Le temps passant, la neige s'installe. Noël arrive avec son cortège de cadeaux venant des familles et des états-majors. Mais la surprise ne vient pas des nombreux et généreux colis arrivant dans les tranchées françaises, allemandes ou écossaises. Car c'est l'impensable qui se produit : pour quelques instants, on va poser le fusil pour aller, une bougie à la main, voir celui d'en face, pourtant décrit depuis des lustres, à l'école aussi bien qu'à la caserne, comme un monstre sanguinaire, et, la musique coutumière des chants de Noël aidant, découvrir en lui un humain, lui serrer la main, échanger avec lui cigarettes et chocolat, et lui souhaiter un « Joyeux Noël », « Frohe Weihnachten », « Merry Christmas ». C'est alors que l'on assiste à une trêve passagère entre les trois camps, qui vont fêter Noël ensemble. Puis, pris d'attachement, les chefs de ces trois camps vont sauver mutuellement leurs ennemis. Une histoire réelle oubliée de l'Histoire elle même qui se serait passée à Frelinghien, dans le Nord, près de Lille, actuellement un parc et un centre équestre nommé l'A.H.F.R.A. .
Fiche technique
Titre : Joyeux Noël Réalisation : Christian Carion Scénario : Christian Carion Musique : Philippe Rombi Photographie : Walther van den Ende Montage : Andrea Sedláčková Décors : Jean-Michel Simonet Costumes : Alison Forbes-Meyler Production : Christophe Rossignon et Christopher Borgmann Société de production : Nord-Ouest Production Budget : 18,15 millions d'euros Pays d'origine : France Langue : français, anglais, allemand Format : Couleurs – 2,35:1 – Dolby Digital – 35 mm Genre : Guerre, drame Durée : 116 minutes Dates de sortie : 16 mai 2005 (festival de Cannes), 9 novembre 2005 ( France), 30 novembre 2005 ( Belgique)
Distribution
Diane Kruger : Anna Sörensen, soprane danoise Benno Fürmann : Nikolaus Sprink, ténor à l'opéra de Berlin. Voix française: Dimitri Rataud Guillaume Canet : le lieutenant Audebert Gary Lewis : Palmer, écossais, prêtre anglican et brancardier Daniel Brühl : Horstmayer, le lieutenant allemand Dany Boon : Ponchel, coiffeur nordiste et aide de camp d'Audebert Lucas Belvaux : Gueusselin Bernard Le Coq : le général Audebert Alex Ferns : le lieutenant Gordon Christopher Fulford : le major britannique Michel Serrault : le châtelain Suzanne Flon : la châtelaine Robin Laing : William Joachim Bissmeier : Zimmermann Thomas Schmauser : le Kronprinz Ian Richardson : L'évêque britannique Natalie Dessay : la voix de Anna (chant) Rolando Villazon : la voix de Nikolaus (chant)
Autour du film
Portrait d'exposition de la situation des deux lignes est clair : trois pays sont en présence, deux sont alliés (la France et le Royaume-Uni par le corps expéditionnaire, ici des Écossais), mais l'absence de commandement interallié est montrée directement : les protagonistes n'ont aucun moyen de se connaître, chaque pays se lance à l'assaut indépendamment, la lice n'existe pas et le seul rapport laissé est celui de la mort par tuerie. Le film rassemble plusieurs épisodes de fraternisation, survenus en différents endroits du front à la Noël 1914, afin de renforcer son propos. Cependant, tous sont attestés par différents témoignages et preuves historiques, à l'exception de la présence de la cantatrice. Les fraternisations, l'envoi de sapins dans les tranchées allemandes, la partie de football, les échanges de denrées, chants (dont celui interprété par un ténor allemand reconnu par un soldat écossais), la messe de Noël commune dans le no man's land, la trêve pour relever les corps, la photo de groupe, et le passage d'une tranchée à une autre pour se protéger des bombardements d'artillerie ont donc bien existé
Cependant, ces fraternisations ne sont pas une révolte contre la hiérarchie, ni contre l'absurdité de la guerre. Elles sont plus à rapprocher des fraternisations entre troupe britannique et troupe française lors de la campagne d'Espagne sous Napoléon 1er, un siècle auparavant, que des mutineries de 1917 ; la plupart des soldats ne pensaient s'accorder qu'une trêve, à un moment privilégié (la fête de Noël) avant de reprendre le combat, et ne remettaient pas en cause ni leur devoir, ni le bien-fondé de cette guerre qui commençait. La reconstitution est d'ailleurs très précise : les soldats français portent encore l'uniforme garance (l'uniforme bleu horizon arrive plus tard, avec le casque Adrian).
Le film traite avec intelligence chacune des parties et montre par les images la curieuse trêve qui a pu avoir lieu entre des hommes que tout leur environnement préparait à s'entretuer ; l'humanité en chacun d'eux s'avère la plus forte, ne serait-ce que l'espace de cette fête, connue quel que soit le pays. Symbole de l'avènement d'une guerre d'une ampleur et d'une horreur inégalée, la reprise des autorités embarrassées face au phénomène annonce également que désormais la pratique de la guerre va devenir une guerre totale, crépuscule industriel de l'Europe.
La sortie initiale d'exploitation en France (9 novembre 2005) correspond à la semaine où est commémoré le 11 novembre, l'anniversaire de l'armistice de la Première Guerre mondiale. L'argument du film provient d'un livre que Christian Carion a lu en 1993 : Batailles de Flandres et d'Artois 1914-1918. Il fut touché par un passage (L'Incroyable Noël de 1914) qui rapportait les fraternisations entre lignes ennemies. Le réalisateur a effectué ensuite un important travail de fond pour se documenter avant de lancer le tournage.
Suite à une série de désaccords, l'armée française a refusé de prêter ses terrains pour relater ce passage tabou de son histoire. Si plusieurs scènes ont été tournées dans le Nord, la plus grande partie du film a été filmée en Roumanie dans les studios MediaPro et en Écosse. Selon Christian Carion, à la question Pourquoi refuser de collaborer pour un film impliquant des soldats ayant fraternisé avec l'ennemi ?, un général de l'armée française aurait répondu L'armée est immuable. Depuis ce tournage manqué, l'Armée française s'est dotée d'une structure pour promouvoir le tournage de films sur les terrains militaires français. Ces mêmes événements ont été librement mis en scène dans le cadre de la vidéo de la chanson Pipes of Peace de Paul McCartney en 1983. Ce dernier y interprète le double rôle d'un soldat anglais et d'un soldat allemand, qui après la trève brutalement interrompue, retournent dans leurs lignes avec la photo de la fiancée de l'autre.
Chaque camp parle dans sa langue dans ce film : ainsi, dans la version Francaise les Francais parlent Francais, les Ecossaies parlent Anglais (sous-titrés Francais) et les Allemands parlent Allemands (sous-titrés Francais).
Récompenses Le film fut présenté en sélection officielle hors compétition lors du festival de Cannes 2005. Nomination au César du meilleur film, meilleur scénario, meilleure musique, meilleur second rôle masculin (Dany Boon), meilleurs décors et meilleurs costumes en 2006. Nomination au prix du meilleur film en langue étrangère, lors des BAFTA Awards 2006. Nomination au Golden Globe du meilleur film étranger en 2006. Nomination à l'Oscar du meilleur film étranger en 2006.
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La guerre des Dix Ans (1868-1878), dite aussi Guerre de 68, ou Grande Guerre, est la première tentative de Cuba pour obtenir l'indépendance. Elle se solde finalement par le maintien de la présence espagnole. L'insurrection recommence en 1895 avec la guerre d'indépendance cubaine.
Le 10 octobre 1868, Carlos Manuel de Céspedes (1819-1874), riche propriétaire terrien, libère ses esclaves et fonde une armée, tentant le lendemain 11 octobre de libérer la ville de Yara et déclenchant la guerre des Dix Ans (1868-1878). Malgré le soutien des États-Unis — plusieurs bateaux américains débarquent à Cuba avec des armes et des volontaires, dont de nombreux vétérans de la guerre de Sécession — les Espagnols remportent une victoire sanglante face aux insurgés.
Du côté cubain, la guerre fut terrible. Il y eut plus de 300 000 morts civils et militaires tandis que l'industrie et l'agriculture (plantations de sucre) furent ravagées. Les ravages de la guerre n'empêcheront pas les Cubains de se révolter de nouveau avant d'obtenir l'indépendance en 1902.
Du côté espagnol, la guerre coûta la vie à de nombreux soldats.
Toutefois, il s'agit tout de même d'une demi-victoire pour le peuple cubain, car il obtient par le pacte de Zanjón (10 février 1878) une certaine autonomie, l'abolition de l'esclavage en 1880 — mise en pratique uniquement en 1886 — et l'égalité des droits entre les Blancs et les Noirs, proclamée en 1893. Le pacte a aussi des répercussions politiques, puisqu'il engendre l'apparition des premiers partis politiques.
Les réformes promises à la suite de la guerre des Dix Ans ne sont pas réalisées, ce qui occasionne un nouveau soulèvement : la guerre d'indépendance cubaine.
Le premier jour du soulèvement de 1868 est commémoré officiellement sous le nom de Cri de Yara (El Grito de Yara).
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Date de sortie 1966 Réalisé par Gérard Oury Avec : Bourvil , Louis De Funès , Claudio Brook Genre : Comédie , Guerre Nationalité : Français
En 1942 , un avion anglais est abattu par les Allemands au-dessus de Paris . Les trois pilotes sautent en parachute et atterrissent dans différents endroits de la capitale . Ils sont aidés par deux civils français , un chef d'orchestre et un peintre en bâtiment qui accèptent de les mener en zone libre ; ils deviennent ainsi , malgré eux , acteurs de la Résistance .
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]John Rambo (Rambo en VO) est le quatrième opus de la série des films Rambo. Ce nouvel épisode a vu le jour sous l'impulsion de la société de production Nu Image/Millennium Films, et de Sylvester Stallone lui-même. L'acteur a accepté de reprendre son rôle, d'écrire le film et de le réaliser. John Rambo vit dans l'ouest de la Thaïlande, à la frontière birmane, où il survit en chassant des serpents au venin mortel qu'il revend à un animateur de spectacles. Un groupe de missionnaires chrétiens américains souhaite l'engager pour être guidés en territoire hostile, en Birmanie, où ils doivent apporter vivres et médicaments au peuple karen, harcelé par l'armée birmane. Rambo commence par refuser, puis cède devant l'insistance de Sarah, une jeune et belle femme idéaliste. Le groupe est capturé par l'armée birmane. Le responsable du groupe humanitaire, venu spécialement des États-Unis, demande à Rambo d'accompagner un commando de mercenaires qu'il a engagé vers la zone où son groupe a été capturé. Rambo les emmène, et décide de prendre part à l'opération de sauvetage.
Fiche technique Titre original : Rambo 4 Titre français : John Rambo 4 Réalisation : Sylvester Stallone Scénario : Art Monterastelli et Sylvester Stallone Musique : Brian Tyler Société de distribution : Sony Pictures Format : Couleur - Dolby stéréo Budget : 47 500 000 $ estimation Genre : Action/guerre Durée : 91 minutes / 99 minutes (Director's Cut) Dates de sortie : États-Unis / Canada : 25 janvier 2008 ; France : 6 février 2008 Ce film a été interdit aux moins de 12 ans lors de sa sortie en salles et interdit aux moins de 16 ans lors de sa diffusion à la télévision.
Distribution Sylvester Stallone (VF: Alain Dorval et VQ : Pierre Chagnon) : John J. Rambo Julie Benz (VF : Charlotte Marin) : Sarah Miller Graham McTavish (VQ : Benoit Rousseau) : Lewis Paul Schulze (VQ : Sylvain Hétu) : Le docteur Michael Burnett Matthew Marsden : l'écolier Richard Crenna : Samuel Trautman (flashback) Récompenses et nominations Golden Trailer Awards (9ème édition) : Meilleure publicité au cinéma, Meilleure affiche de film
La saga 1982 : Rambo (First Blood) de Ted Kotcheff 1985 : Rambo 2 : La Mission (Rambo : First Blood Part II) de George Cosmatos 1988 : Rambo 3 (Rambo III) de Peter MacDonald 2008 : John Rambo de Sylvester Stallone
Autour du film Le tournage a eu lieu en Thaïlande, dont les autorités ont émis le souhait que le film affiche une « violence raisonnable ». Malgré cela, le film fait montre d'une violence bien plus soutenue que les 3 précédents films (« rated R » aux USA)
Après avoir été intitulé un temps Dans l'¼il du Serpent, La Perle du Cobra et Hell and Back, ce quatrième opus se nomme finalement John Rambo : le titre original anglais, Rambo, ne pouvait être utilisé dans la version française, le premier opus ayant déjà été nommé ainsi. On ne verra malheureusement pas, dans ce quatrième épisode, Richard Crenna (interprète du colonel Samuel Trautman), décédé en 2003 (excepté le temps d'un flash-back). Exceptionnellement, Rambo n'utilise pas son traditionnel couteau de survie, lui préférant une arme blanche conçue manuellement. La confection de cette arme fait référence à l'apprentissage de base des Bérets Verts, à qui l'on apprend à créer une arme blanche à l'aide d'une simple pierre. Il est cependant armé du fameux arc déjà vu dans Rambo II et III.
Dans la version française, la séquence d'introduction est commentée par Patrick Poivre d'Arvor. Le « slogan » du film (« When you're pushed, killing is as easy as breathing » : « Quand vous êtes poussé à bout, tuer devient aussi facile que respirer ») fait directement référence à une réplique du premier film, quand Rambo menace d'égorger le shérif qu'il maintient sous son emprise (« Don't push me, or I'll make you a war you won't believe » : « Me pousse pas à bout, ou je te ferai une guerre comme t'en as jamais vu ») Sylvester Stallone travaille pour la première fois avec un acteur de la série Dexter - en l'occurence Julie Benz (Rita) - pour ce quatrième opus. En 2010, il donnera un rôle à un autre acteur de la série, David Zayas (Angel) dans Expendables : Unité spéciale
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Sur les sites les plus bouleversés où les explosifs et les toxiques de combat sont encore trop nombreux pour que l'on puisse rendre les sols à l'agriculture ou à l'urbanisation, on plantera des forêts de guerre, dont la forêt de Verdun et la forêt d'Argonne, qui ont poussé sur d'anciens champs criblés de trous d'obus et de tranchées. Dans ces forêts, certains villages ne sont pas reconstruits. Ces séquelles terrestres sont connues des spécialistes, en particulier des démineurs, mais il semble que la pollution libérée par les dizaines de milliards de billes de plomb des shrapnel et les balles, ou le mercure des amorces soient lentement capables de s'accumuler dans les écosystèmes et certains aliments. C'est un problème qui n'a pas été traité par les historiens ni les spécialistes en santé publique. Aucune étude officielle ne semble s'être intéressée au devenir des métaux lourds et des toxiques de combat dans les sols et les écosystèmes de la zone rouge.
Fleury (Meuse)
Les séquelles marines, bien que préoccupantes semblent avoir été oubliées durant 70 à 80 ans. Ainsi les pays baltes voient-ils la situation écologique de la mer Baltique s'effondrer des années 1990 à 2006, tout en redécouvrant des dizaines de milliers de tonnes de munitions immergées de 1914 à 1918 et après (incluant des armes chimiques dont certaines commençant à fuir). Les pêcheurs remontent parfois de l'ypérite dans leurs filets dans la Baltique. En Belgique, à Zeebrugge, on retrouve incidemment un dépôt immergé de 35 000 tonnes d'obus noyés là peu après 1918 puis oubliés. Parmi ces obus, 12 000 tonnes sont chargés d'ypérite et de chloropicrine toujours actives, à quelques centaines de mètres de la plage et de l'embouchure du port méthanier. C'est encore plus tardivement en 2005 que quelques articles de presse évoquent la publication discrète d'un rapport à la Commission OSPAR listant les dépôts immergés de millions de munitions dangereuses et polluantes, datant de la grande guerre et des périodes suivantes. C'est face au littoral français que le nombre de dépôts immergés est le plus important. Alors que ces munitions commencent à fuir et à perdre leurs contenus toxiques, la question de leur devenir se pose. Une centaine de zones mortes ont été répertoriées en mer par l'ONU, la plupart coïncident avec des zones d'immersion en mer de munitions, ce qui pose la question de l'évaluation des impacts environnementaux de ces déchets toxiques et/ou dangereux immergés. Les taux de mercure augmentent de manière préoccupante dans les écosystèmes et notamment dans le poisson. On peut craindre qu'une partie de ce mercure provienne des milliards d'amorces au fulminate de mercure des têtes d'obus et des douilles d'obus ou de balles ou d'autre munitions (1 g de mercure par amorce en moyenne) non utilisée ou non explosée et jetées en mer après cette guerre ou la suivante.
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À la veille de l'attaque japonaise du dimanche 7 décembre 1941 à 8 heure 15, la flotte de guerre américaine du Pacifique, stationnée à Pearl Harbor, comprenait 86 unités : 28 destroyers, 9 croiseurs, 8 cuirassés, 5 sous-marins, un cuirassé-cible (l'USS Utah) et une trentaine de bâtiments auxiliaires. On comptait enfin 25 000 hommes sur la base et 231 avions dans l'île. Le général Walter Short était le commandant des forces terrestres, tandis que la flotte du Pacifique était sous les ordres de l'amiral Husband Kimmel. La défense des installations et des ateliers de réparation était assurée par 35 B-17, la DCA et les défenses littorales.
L'attaque du dimanche 7 décembre 1941 à 8 heures 15
L'escadre japonaise comportait 353 avions, elle était située à environ 300 km au nord d'Oahu, à bord de 6 porte-avions. L'attaque se fit en deux vagues. La première attaque eut lieu à 7h49 précise et était composée de 43 chasseurs, 49 bombardiers à haute altitude, 51 bombardiers en piqué et 40 avions lance-torpilles. Les forces aériennes américaines disponibles à Hawaï ce jour-là étaient de 231 avions mais beaucoup furent endommagés au sol et ne purent servir. La première vague a pu bénéficier de l'effet de surprise malgré le fait que les renseignements américains possédaient les codes japonais, car ils n'ont déchiffré le message annonçant l'attaque sur Pearl Harbor qu'environ une demi-heure après l'attaque.
La deuxième vague eut pour mission d'achever les navires très endommagés, mais la fumée les empêchait de voir correctement leurs objectifs et ils lancèrent leurs bombes sur des navires moins endommagés. En définitive, l'amiral Nagumo ramène une flotte aérienne presque intacte, mais il refusera une troisième attaque, sollicitée par son entourage.
Cette attaque nippone incita le lendemain les États-Unis à officiellement entrer dans la Seconde Guerre mondiale, sous les ordres du Président Roosevelt.
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De nombreuses femmes dans le monde sont victimes de la guerre : victimes de la violence, déplacées, détenues, veuves, séparées de leurs proches et plus spécifiquement victimes de viols.
Si la guerre et la violence, aujourd'hui, n'épargnent personne, elles touchent les hommes, les femmes, les garçons et les filles de façons différentes. On assiste de nos jours à un plus grand nombre de conflits armés internes opposant des groupes ethniques, religieux ou politiques qui s'affrontent pour la maîtrise de ressources, de territoires ou de populations. Que la violence soit interne ou transfrontalière, cependant, les civils se retrouvent que trop souvent dans la ligne de tir, soit parce qu'ils sont directement pris pour cible, soit parce que la proximité des combats les met en péril.
L'impact de la guerre sur les femmes dépend en grande partie de la mesure dans laquelle leur sécurité personnelle est touchée, des moyens qu'elles ont pour assurer leur survie et celle de leur famille, des éventuelles blessures ou pertes qu'elles subissent et, en pareil cas, de la manière dont elles en sont affectées. Leur sort résulte aussi, souvent, de ce qui est arrivé aux hommes de la famille.
La protection des femmes en temps de guerre est consacrée par le droit international humanitaire (DIH), qui lie aussi bien les États que les groupes d'opposition armés. Cette branche du droit, dont les quatre Conventions de Genève de 1949 et leurs deux Protocoles additionnels de 1977, protège les femmes en tant que personnes civiles et que combattantes capturées ou blessées. Nombre de ses règles relèvent du droit coutumier et ont donc force obligatoire pour les parties à un conflit que celles-ci aient ratifié ou non les traités pertinents.
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La 7e division blindée US (surnommée Lucky Seventh) était une division blindée de l'armée de terre des États-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale.
Créée en 1942, Lucky Seventh participa notamment à la bataille des Ardennes (Saint-Vith) en 1944 avant d'être dissoute puis être brièvement réactivée pendant la guerre de Corée (1950-1953).
Les membres de la division se virent notamment décerner 1 047 Meritorious Service Medal, 1 211 Purple Heart, 888 Bronze Star Medal, 351 Silver Star et 9 Distinguished Service Cross.
Elle détruisit au total 621 blindés ennemis, 583 pièces d'artillerie et fit prisonniers 113 041 allemands lors de la Libération.
Elle débarque en août 1944 en Normandie et se lance vers Châtres. Durant la Bataille de France, elle livra de nombreux et meurtriers combats.
Elle est dissoute en 1945, puis recréée en 1950 lors de la guerre de Corée et de nouveau dissoute en 1953.
Composition
Headquarters Company
Command Combat A
Command Combat B
Reserve Command
17th Tank Battalion
31th Tank Battalion
40th Tank Battalion
23th Armored Infantry Battailon
38th Armored Infantry Battailon
48th Armored Infantry Battailon
87th Cavalry Reconnaissance Squadron (Mechanized)
33rd Armored Engineer Battalion
147th Armored Signal Company
434th Armored Field Artillery Battailon
440th Armored Field Artillery Battailon
489th Armored Field Artillery Battailon
129th Ordnance Maintenance Battalion
77th Armored Medical Battalion
Military Police Platoon
Band
Commandants
Maj. Général Lindsay M Silverster : 13 juin 1944
Brig. Général Robert W Hasbrouck : 1er novembre 1944 (Il sera nommé Maj. Général le 4 janvier 1944)
Brig. Général Truman E. Boudinot : septembre 44
Maj. Général Robert Sink : février 1953 à novembre 1953
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Les taxis de la Marne ont été au centre d'un épisode historique qui eut lieu lors de la Première bataille de la Marne, à la fin de l'été 1914.
Aux premiers jours de septembre 1914, les troupes allemandes parviennent au nord-est de Paris, notamment dans le département de Seine-et-Marne. Les Allemands ont bivouaqué le 3 au Plessis-Belleville et des détachements d'Uhlans allemands sont signalés à quelques dizaines de kilomètres de Paris seulement. L'état-major français doit trouver une solution rapide pour envoyer des troupes fraîches, afin de réaliser un mouvement tournant pour contenir et détruire les avant-gardes des troupes allemandes. L'idée de l'opération revient conjointement au général Galliéni, gouverneur militaire de Paris, au général Clergerie et à André Walewski, fondateur de la Compagnie française des automobiles de place (aussi appelée « Autoplaces » ou « G7 »). Les 6 et 7 septembre 1914, sur ordre du général Galliéni, environ 600 taxis parisiens sont réquisitionnés pour servir de moyen de transport aux fantassins de la 7e division d'infanterie. Les véhicules sont en majorité des Renault AG1 Landaulet roulant à une vitesse moyenne de 25 km/h.
Rassemblés aux Invalides, ces 600 véhicules partent au cours de la nuit en deux groupes, direction Tremblay-lès-Gonesse, (aujourd'hui Tremblay-en-France) puis Le Mesnil-Amelot. Dans la journée du 7, pour des questions de logistique, ce convoi redescend sur Sevran-Livry tandis qu'un second convoi de 700 véhicules quitte les Invalides pour rejoindre Gagny.
Les taxis sont rassemblés à Gagny et Livry-Gargan pour charger les troupes et organiser les convois. Les deux convois partent dans la nuit du 7 au 8 et sont à pied d'½uvre le 8 au matin aux portes de Nanteuil-le-Haudouin et de Silly-le-Long. Après avoir déposé les soldats, les chauffeurs de taxi rentrent à Paris et sont payés d'après les indications portées au compteur, comme pour n'importe quelle course.
Le dernier Taxi de la Marne, Kléber Berrier, disparait en 1985
Cette opération permit d'acheminer rapidement environ cinq mille hommes mais aucunement de renverser le cours de la Première bataille de la Marne contrairement à une idée reçue. En effet, le nombre de soldats transportés paraît dérisoire par rapport aux effectifs mobilisés pour la bataille.
Toutefois, cette man½uvre inédite dans son ampleur eut une réelle portée psychologique. Sur les soldats français ainsi que sur le commandement allemand mais surtout sur la population, l'épopée devenant rapidement un symbole d'unité et de solidarité nationale. De tous ces taxis mythiques, certains furent achetés par des associations d'anciens combattants américains (dont le n°4449E2 partit en septembre 1935, acheté par la société 40 hommes 8 chevaux de l'Orégon, pour être installé dans son musée de la guerre), et deux « Renault G7 » ont été offerts en 1922 au musée de l'Armée (situé dans l'Hôtel des Invalides à Paris) et en 2011 au musée de la Grande Guerre (situé à Meaux). Ces véhicules sont aujourd'hui très rares : un accord industriel entre Renault et la Compagnie française des automobiles de place stipulait que les taxis déclassés ne pouvaient être vendus avec leur carrosserie, le châssis étant le plus souvent remonté avec une carrosserie de camionnette. Quelques particuliers collectionneurs contribuent également au devoir de mémoire français en participant aux commémorations du 11 novembre, aux reconstitutions historiques (Bataille de Villeroy), ou encore aux inaugurations (musée de la Grande Guerre). Ces deux jours d'opérations, la distance parcourue varie entre 120 et 200 kilomètres, la somme au compteur pouvait atteindre 130 francs de l'époque, les chauffeurs touchèrent réglementairement 27 % du montant. L'opération couta 70000 francs au Trésor public
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