N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.238.94.194) si quelqu'un porte plainte.
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Covid-19 et alerte maximale : comment ça va se passer dans les restaurants à Paris ?
Les restaurants peuvent rester ouverts dans les zones d'alerte maximale, à condition de respecter un protocole sanitaire renforcé.
Par J.P. avec AFP
Le 5 octobre 2020 à 13h10, modifié le 5 octobre 2020 à 14h13
Pour lutter contre l'épidémie de Covid-19, de nouvelles mesures sanitaires vont entrer en vigueur dans les zones placées en alerte maximale. Paris et ses trois départements limitrophes sont concernés à partir de mardi, à l'instar de la métropole d'Aix-Marseille et de la Guadeloupe.
Contrairement aux bars et cafés, les restaurants pourront rester ouverts, sans restriction d'horaires, dans ces zones où le virus se propage rapidement. Le gouvernement suit en effet l'avis du Haut Conseil de santé publique qui a validé le protocole sanitaire renforcé proposé par les professionnels du secteur.
La mairie de Paris et la préfecture de police ont détaillé ce lundi les mesures prises par arrêté qui s'appliqueront jusqu'au 19 octobre inclus au moins à Paris et dans les Hauts-de-Seine, la Seine-Saint-Denis et le Val-de-Marne.
Distanciation. Le restaurateur devra maintenir 1 mètre de distance entre les chaises des différents groupes de convives. Ces groupes seront limités à six - enfants compris - contre dix actuellement. Le paiement à table sera privilégié et les clients seront « incités » à réserver pour éviter les attroupements aux abords des restaurants.
Mesures d'hygiène renforcées. Le restaurateur devra mettre du gel hydroalcoolique à disposition sur toutes les tables et non plus seulement à l'intérieur de l'établissement. Les convives devront de leur côté conserver leur masque la plupart du temps, sauf au moment de la consommation des plats.
Contrôles renforcés. Le restaurateur devra afficher, à l'extérieur de son établissement, une jauge indiquant la capacité totale d'accueil de celui-ci, afin de faciliter d'éventuels contrôles. Afin de s'assurer que ces protocoles renforcés sont bien respectés, le gouvernement prévoit qu'une « procédure accélérée » puisse être mise en place, pour fermer les établissements en infraction.
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Val-de-Marne : une fête clandestine avec plus de 300 personnes dégénère, au moins un participant positif au Covid
15 nov. 07:23 - TG
Où ça, un confinement ? Appelés vendredi soir par un riverain en raison d'un tapage nocturne à Joinville-le-Pont (Val-de-Marne), les policiers se sont retrouvés au c½ur d'une fête. Ou plutôt, une boîte de nuit : entre 300 et 400 personnes étaient rassemblées dans un loft. La soirée a rapidement dégénéré à l'arrivée des forces de l'ordre, ces derniers essuyant des jets de projectiles.
Selon Le Parisien, qui révèle l'information, les forces de l'ordre sont arrivées vers 2 heures du matin. Le lieu, un loft qui serait loué par son propriétaire pour des soirées clandestines, se situe dans un pavillon ultra sécurisé. C'est un convive qui, quittant la fête, permet à la douzaine de policiers d'entrer.
Deux grenades de désencerclement utilisées
La porte du loft est, elle, gardée par un vigile. Quand ce dernier permet aux policiers de pénétrer des lieux, ils découvrent une véritable discothèque, faisceaux lumineux et bar installé pour l'occasion. L'ambiance est lourde : une bagarre a éclaté, impliquant "une centaine d'individus" parmi les fêtards, a précisé la branche locale du syndicat Unité SGP Police.
Selon le quotidien, les convives pensent dans un premier temps que les policiers sont des personnes déguisées. Les fonctionnaires sont finalement pris à partie. Au point de devoir jeter deux grenades de désencerclement. S'ensuit une scène de panique, les invités cherchant à quitter les lieux. L'un d'entre eux a été retrouvé un peu plus tard dans une rue adjacente, grièvement blessé à l'½il et dénonçant un tir de LBD. Il a été pris en charge par le Samu.
Une enquête notamment pour violences volontaires sur personnes dépositaires de l'autorité publique a été ouverte samedi, a appris LCI auprès du parquet de Créteil.
Cette grave entorse aux règles du confinement pourrait par ailleurs avoir des conséquences sanitaires. Dans un tweet, la préfecture de police de Paris indique samedi qu'au moins un des convives était positif au Covid-19. Tous les participants sont donc invités à se faire dépister dans les plus brefs délais.
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Emmanuel Macron a été diagnostiqué positif au Covid-19 Le président de la République s'est placé en isolement, mais « continuera de travailler ». Le premier ministre, Jean Castex, s'est lui aussi isolé.
Le Monde avec AFP et Reuters Publié aujourd'hui à 10h43, mis à jour à 14h28
Emmanuel Macron a été diagnostiqué positif au Covid-19, a annoncé l'Elysée jeudi 17 décembre. Le président de la République va s'isoler pendant sept jours.
Après le diagnostic établi par « des tests RT-PCR réalisés dès l'apparition de premiers symptômes », le chef de l'Etat « s'isolera pendant sept jours », mais « continuera de travailler et d'assurer ses activités à distance », ajoute la présidence dans un communiqué.Un fidèle d'Emmanuel Macron se veut rassurant sur son état de santé. « Il n'est pas abattu, il va bien et n'a que des légers symptômes. Il continue à bosser. Ce matin, il a même organisé des visios à distance », confie cette source. Brigitte Macron, cas contact mais qui « ne présente aucun symptôme », s'est elle aussi placée en isolement. Elle était négative au Covid-19 mardi 15 décembre, selon les résultats d'un test avant une visite dans un service pédiatrique de l'hôpital Saint-Louis à Paris.
Un dîner politique s'est tenu à l'Elysée mercredi soir autour d'Emmanuel Macron, comme l'a révélé Le Point, au sujet de la préparation des élections régionales. Etaient présents le premier ministre, Jean Castex, le président de l'Assemblée nationale, Richard Ferrand, le président du MoDem, François Bayrou, le délégué général de LRM, Stanislas Guerini, les conseillers politiques d'Emmanuel Macron, Thierry Solère et Stéphane Séjourné, le président du groupe LRM à l'Assemblée nationale, Christophe Castaner, celui du groupe Modem, Patrick Mignola, et le secrétaire général de l'Elysée, Alexis Kohler. « Les règles de distanciation ont été respectées », rapporte un participant, qui assure que le chef de l'Etat ne présentait alors « aucun » symptôme. Les personnes présentes ne sont pas pour autant considérées comme cas contacts, assure-t-on au sommet de l'Etat, « car il y avait de la distance et les masques entre les plats ». « Sauf peut-être les voisins de table », précise un conseiller.
Test négatif pour Jean Castex, qui reste en isolement
Emmanuel Macron et Jean Castex s'étaient par ailleurs vus en tête à tête pour un café mardi soir. C'est pour cette raison que le chef du gouvernement a été considéré comme un cas contact. Un test PCR a été réalisé jeudi matin et s'est révélé négatif. Le premier ministre doit cependant rester en isolement pendant sept jours après le dernier contact avec Emmanuel Macron, conformément au protocole sanitaire.
« Son agenda va être adapté de manière à ce qu'il puisse travailler en distanciel pendant les sept prochains jours», a expliqué Matignon. Le chef du gouvernement a donc renoncé à présenter au Sénat le plan de stratégie vaccinale jeudi matin – c'est le ministre de la santé, Olivier Véran, qui a prononcé le discours à sa place. Il a dit avoir une « pensée particulière » pour le président de la République.
Le conseil des ministres en visioconférence
Le président de l'Assemblée nationale, Richard Ferrand, est également considéré comme cas contact et s'est lui aussi placé en isolement. Certains présidents de groupes politiques, comme Valérie Rabault (PS) ou Olivier Becht (Agir ensemble), qui comme le président de l'Assemblée nationale, ont déjeuné mardi avec le chef de l'Etat, ont annulé leurs rendez-vous ou se sont isolés, ont fait savoir des sources parlementaires. Le secrétaire général de l'Elysee, Alexis Kohler, est également cas contact de M. Macron et doit lui aussi s'isoler, a fait savoir l'Elysee.
nt pas considérés comme cas contacts, car ils portaient des masques et se trouvaient à distance », selon un conseiller de l'exécutif. Le dernier conseil des ministres de l'année, prévu lundi 21 décembre, se déroulera en visioconférence.
Le chef du gouvernement espagnol cas contact de Macron
Le chef du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, qui a rencontré M. Macron lundi à Paris, a fait savoir jeudi qu'il se mettait en quarantaine jusqu'au 24 décembre à la suite de l'annonce du test Covid-19 positif du président français. Les deux hommes se sont vus à l'occasion du 60e anniversaire de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Le premier ministre du Portugal, Antonio Costa, s'est lui aussi placé en « isolement préventif » après s'être entretenu mercredi avec M. Macron. Il s'est soumis à un test Covid-19 dans la matinée de jeudi.
Le premier ministre britannique, Boris Johnson, lui aussi touché par le coronavirus en avril, a souhaité jeudi un prompt rétablissement à Emmanuel Macron dans un message en français sur Twitter :
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Invités par dizaines, champagne : la fête de départ d'une sous-préfète fait scandale dans le Grand Est
Un pot de départ de la sous-préfète de Rethel (Ardennes) organisé par la mairie et réunissant 60 personnes, dont le préfet, provoque une vive polémique dans le Grand Est.
Par Nicolas Zaugra Publié le 27 Jan 21 à 15:53
La fête pourrait bien être celle du scandale en pleine crise sanitaire du Covid-19 et alors que restaurants, bars et soirées font toujours l'objet de fermetures ou de restrictions.
La mairie de Rethel (Ardennes) a organisé dans l'après-midi du jeudi 21 janvier 2021 un pot de départ en l'honneur de la sous-préfète Mireille Higinnen-Bier. Une petite sauterie qui a rassemblé plusieurs dizaines d'invités, dont de nombreuses personnalités et représentants de l'État, alors que la loi d'état d'urgence interdit tout rassemblement dans des salles communales.
Selon le quotidien local L'Ardennais, il y avait environ 60 invités dont le préfet des Ardennes, le procureur de la République et plusieurs élus. Nos confrères s'agacent d'ailleurs de la tenue de l'événement : « faites ce que je dis, pas ce que je fais ».
Un buffet avec champagne et petits fours
Les invités ont dû faire tomber leurs masques à un moment puisque le pot de départ proposait du champagne et des petits fours.
« Ce n'était pas une boum », se défend le maire de Rethel qui a organisé cet événement où l'élite locale était conviée. Il assume et s'insurge contre ceux qui n'ont « rien d'autre à commenter en ce moment ».
Gestes barrières respectés
Joseph Afribo, le maire de Rethel, l'assure : les gestes barrières ont été scrupuleusement respectés.
Selon lui, « les tables prévues pour douze n'ont compté que cinq personnes ». Tous les convives auraient par ailleurs respecté la distanciation sociale et n'auraient pas quitté leur place.
« Nous jugions normal de dire au revoir à la sous-préfète, cela fait partie des usages », a quant à lui indiqué le préfet des Ardennes assurant avoir inscrit cet événement à son agenda public. Le même qui doit sanctionner en cas d'organisation de cocktails privés, professionnels, mariages ou tout autre soirée en cette période de fortes restrictions sanitaires.
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